POUR LA RÉALISATION DE « LES GOÛTS ET LES COULEURS »
Pour la préparation, 29 jours de tournage et la post-production la rémunération de Michel Leclerc est de 35 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien.
C’est le tiers de la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction français sortis en 2021 et 2022. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
C’est son 6ème long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Leclerc_(réalisateur)
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le scénario a été coécrit avec Baya Kasmi est ils se sont partagés 105 000 €.

Le 6ème film de Michel Leclerc est une comédie
« Les goûts et les couleurs » a été produit par Éric et Nicolas Altmayer (SNC catalogue/Mandarin et Compagnie) pour un budget prévisionnel de 2,8 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Goûts_et_les_Couleurs_(film,_2022)
Le CNC et la Sacem on apporté une aide à la musique. 3 soficas ont investi dans le film. Canal+ et Multithématiques ont acheté un passage.
Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod ainsi qu’un minimum garanti pour le mandat ventes internationales.
Le précédent film du réalisateur est « La lutte des classes », sorti le 3 avril 2019.

Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 58 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
Le scénario était déjà coécrit avec Baya Kasmi et ils se sont partagés 106 000 €.
Le film était produit par Karé Productions pour un budget prévisionnel de 3,6 millions €.
4 soficas, Chaocorps productions et UGC y avaient investi.
Canal+ et Multithématiques avaient acheté un passage ainsi que France 2 qui était également coproducteur.
UGC et Orange studio avaient donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et étranger.
Le film avait rassemblé 455 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
POUR LA RÉALISATION DE « I LOVE GREECE »
CinéscoopLA RÉMUNÉRATION DE NAFSIKA GUERREY-KARAMAOUNAS
Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération de Nafsika Guerrey-Karamaounas est de 7 000 €, dont 500 € d’à valoir sur droits d’auteur et 6 500 € de salaire de technicien.
C’est évidemment très inférieur à la rémunération de la plupart des réalisateurs de films français sortis en 2021 et depuis le début de l’année. /https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Une coproduction franco-grecque presqu’entièrement tournée en Grèce
C’est le premier long métrage réalisé par Nafsika Guerrey-Karamaounas. Sur 25 jours de tournage 24 ont eu lieu en Grèce.
Le film a été produit par Fanny Pailloux (Apaches) et Pierre Cazenave-Kauman (Soldat Features) pour un budget prévisionnel de 1,1 millions €. C’est une coproduction entre la France (80%) et la Grèce (20%). https://fr.wikipedia.org/wiki/I_Love_Greece En France des fonds privés y ont investi. Multithématiques y a préacheté un passage. Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et un autre pour le mandat de distribution à l’étranger. Le financement grecque est constitué uniquement par du crédit d’impôt de l’État.
Chloé Larouchi était l’une des scénaristes de « Les magnétiques », réalisé par Vincent Cardona et sorti le 17 novembre 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-vincent-cardona-2/ Le film était distribué par Paname distribution et avait rassemblé 56 000 spectateurs.
Pyramide distribution vient de sortir « Les goûts et les couleurs », réalisé par Michel Leclerc. Sa première semaine il a rassemblé 30 000 spectateurs dans 205 salles. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-michel-leclerc/
Le 4 mai de cette année Pyramide distribution avait sorti « Les passagers de la nuit », réalisé par Mikhaël Hers. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-mikhael-hers-2/ Sorti dans 246 salles le film avait rassemblé 192 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE FRANÇOIS OZON
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « PETER VON KANT »
Pour la préparation, 20 jours de tournage et la post-production la rémunération de François Ozon est de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est beaucoup plus que la rémunération moyenne des films français de fiction sortis en 2021 et en 2022. https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Ozon
Ce film est produit par François Ozon
Il s’agit d’une adaptation de la pièce de théâtre de Rainer Fassbinder, « Les larmes de Peter von Kant », dont les droits d’adaptation ont été acquis pour 50 000 €. Le scénario a été payé 100 000 € à François Ozon. https://fr.wikipedia.org/wiki/Peter_von_Kant
C’est le 21ème film réalisé par ce diplômé de la Femis.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le film est produit par François Ozon (Foz) pour un budget prévisionnel de 3,2 millions €. Foz n’a investi aucun numéraire mais du fonds de soutien. Le plan de financement ne prend pas en compte le crédit d’impôt. Le film a bénéficié de 400 000 € d’avances sur recettes. 9 soficas y ont investi. La région Ile de France a apporté une aide.
Le film a été pré-acheté par Canal+ et Multithématiques ainsi que France 2 qui est aussi coproducteur.
Diaphana a donné un minimum garanti pour les mandats salles, vidéo et vod. Play Time a les mandats TV, S-Svod et International.
Le précédent film de François Ozon est « Tout s’est bien passé » sorti le 22 septembre 2021. Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de François Ozon était de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Pour son scénario François Ozon avait reçu 377 000 €.
Le film était produit par Mandarin et Compagnie, coproduit par Play time et 6 soficas y avaient investi. Il avait été préacheté par Canal+, Multithématiques et France 2 qui était également coproducteur.
Diaphana avait donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod. Le film avait rassemblé 260 000 spectateurs.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article. www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE GIORDANO GEDERLINI
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « ENTRE LA VIE ET LA MORT »
Pour la préparation, 38 jours de tournage et la post-production la rémunération de Giordano Gederlini est de 80 000 €, dont 35 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. C’est moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2022 et 2021. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Il a écrit le scénario pour lequel il a reçu 120 000 € d’à-valoir.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Giordano Gederlini est un comédien et un scénariste. Il avait notamment été l’un des scénaristes du film « Les misérables » de Laj Ly, sorti en 2019.https://fr.wikipedia.org/wiki/Giordano_Gederlini
Son deuxième long métrage en tant que réalisateur
Le film est une coproduction entre la France (32%), La Belgique (58%) et l’Espagne (10%). Son budget prévisionnel est de 4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Entre_la_vie_et_la_mort
Le producteur français est Nicole Vidal (Noodles Production) qui n’a pas investi de numéraire et ne prend pas en compte son crédit d’impôt dans le plan de financement. Le film a bénéficié d’une avance sur recette de 46 000 €. Le Pacte et Eurimages sont coproducteurs et 5 soficas y ont investi.
Le Pacte a donné un minimum garanti pour le mandat salles, un autre pour le mandat s-vod et un troisième pour le mandat international. Pour son premier week-end le film, sorti dans 250 salles, a rassemblé 19 spectateurs.
Le producteur Belge est Frakas qui n’a pas investi de numéraire et a bénéficié du tax shelter. Eurimages y a investi. Le film a bénéficié d’un soutien de la Communauté française de Belgique, de Screen Bruxelles, de Vlaams Audiovisueels fonds, de Wallimage. La RTBF et Proximus sont coproducteurs et ont acheté un passage.
Le producteur espagnol est Fasten Films qui a bénéficié du Tax credit. TV3000 est coproducteur et a acheté un passage.
Giordano Gederlini avait réalisé un premier film, « Samouraïs», sorti le 19juin 2002, produit par Fidélité productions et distribué par Pathé.
Le film avait rassemblé 255 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE DIDIER BARCELO
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « EN ROUE LIBRE »
Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération de Didier Barcello est de 60 000 €, répartie en part égale entre à-valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu plus que la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le scénario a été écrit avec Marie Dehaires et ils se sont partagés 66 000 €. C’est la moitié de la rémunération médiane des scénarios des films français de fiction sortis depuis le début de l’année.
Cette comédie est le premier film réalisé par Didier Barcello qui a déjà été coproducteur d’un documentaire, « Swagger », sorti en 2016. https://fr.wikipedia.org/wiki/Swagger_(film,_2016)
https://www.ubba.eu/fiche/scenariste/didier-barcel
Le film est produit par Mikhaël Gentille (The film) & Jean Ozannat et Dirdier Barcelo (Anomalie film) pour un budget prévisionnel de 3,1 millions €. Les producteurs délégués ont mis leurs salaires et leurs frais généraux en participation, ont investi du soutien financier et du numéraire. Mais dans leur plan de financement ils ne prennent pas en compte leur crédit d’impôt qui réduit sensiblement leur apport en numéraire.
Memento film est coproducteur et 6 soficas ont investi. La région Bourgogne Franche-Comté. Canal+ et OCS ont pré-acheté une fenêtre.
Memento films a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod. Elle Driver a donné un minimum garanti pour le mandat de ventes internationales.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE BARTHÉLÉMY GROSSMANN
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « ARTHUR, MALÉDICTION »
C’est le retour de Luc Besson au cinéma, mais par la petit porte. Cette fois-ci il est à la fois le producteur et le scénariste de ce film d’épouvante. https://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur,_malédiction
C’est Luc Besson qui a écrit le scénario
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article. www.Cinefinances.info
Pour la préparation, 30jours de tournage et la post-production la rémunération deBarthélémy Grossmann est de 42 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 22 000 € de salaire de technicien. C’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Ce dernier a surtout mené une carrière de comédien. Il a surtout été réalisateur et scénariste pour des fictions ou des séries télévisuelles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Barthélemy_Grossmann
Le scénario est donc écrit par Luc Besson qui a reçu 55 000 € d’à-valoir.
Besson est le producteur du film
Pour financer ce film Besson a mis tout son salaire de producteur, tous ses frais généraux, du soutien automatique et un apport en numéraire.
Pathé est le distributeur mais n’a pas donné de minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod. Kinology a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution internationale.
Barthélémy Grossmann avait réalisé un film de cinéma sorti en salle le 26 juin 2007. « 13 m2 » était produit et distribué par Rezzo Films. https://fr.wikipedia.org/wiki/13_m²
Le film avait rassemblé 12 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE VARANTE SOUDJIAN
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « LA TRAVERSÉE »
Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération de Varante Soudjian est de 400 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
C’est plus du double de la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et 2022. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le scénario a été coécrit avec Thomas ponte et ils se sont partagés 420 000 €. Cette comédie le 3ème film du réalisateur. https://fr.wikipedia.org/wiki/Varante_Soudjian
Une comédie distribué par Metropolitan Film Export
Il est produit par Aïssa Djabri & Farid Lahoussa (Vertigo productions) pour un budget prévisionnel de 5,8 millions €. Le film est coproduit par Davis film et France 2. Il a été préacheté par Canal+, Multithématiques, France 2 et C8.
Metroplitan Film export a donné un minimum garanti pour tous les mandats.
Le précédent film du réalisateur était « Inséparables », sortis le 4 septembre 2019.
Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération de Varante Soudjian était de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
Le film était coproduit par M6 films et SND. Une sofica y avait investi. OCS, Multitémathiques, M6 et W9 avaient préacheté un passage. SND avait donné un minimum garanti pour la distribution en salle. Le film avait rassemblé 1 041 000 entrées.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
RÉMUNÉRATION DE JÉRÔME COMMANDEUR
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « IRRÉDUCTIBLE »
Pour la préparation, 46 jours de tournage et la post-production la rémunération de Jérôme Commandeur est de 175 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fictions sortis en 2021 et 2022. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Un budget de 11,4
Jérôme Commandeur qui est avant tout comédien réalise là son 2ème long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jérôme_Commandeur
Cette comédie est l’adaptation du film italien de Gennario Nunziate dont les droits ont été acquis pour 700 000 €. Le film est produit pat SND, filiale de M6, pour un budget prévisionnel de 11,4 millions €. Il a été préacheté par Canal+, Multithématiques, M6 et W9. SND a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.
Le précédent et premier film de Jérôme Commandeur, réalisé avec Alain Como, était « Ma famille t’adore déjà ! » sorti le 9 novembre 2016.Il était produit par HBB 26 et Pathé Films pour un budget prévisionnel de 7,9 millions €.
Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération de Jérôme Commandeur et Alan Como était de 160 000 €, dont 60 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 100 000 € de salaire de technicien.Le scénario avait été coécrit avec Frédéric Jurie et Kevin Knepper. Ils se sont partagés 96 000 €.
Le film était coproduit par Les Productions du Ch’timi et TF1 Films production. Trois soficas y ont investi. Il a bénéficié du soutien de la région Poitou Charente. OCS, TF1 2, TMC, NT1 ont préacheté un passage.
Pathé avait donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution et le film avait rassemblé 562 000 entrées.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
REVOIR L’ÉCOSYSTÈME DE NOTRE CINÉMA
ÉditorialPLUS DE FILMS NE GARANTIT PAS UN MEILLEUR CINÉMA
L’écosystème de notre cinéma est déréglé. C’est ce qui explique que les films américains sont en train de retrouver leurs performances d’avant Covid alors que les films français stagnent bien en-dessous. Tout notre écosystème est bâti pour produire un nombre toujours croissant de films français par an pour sortir, de plus en plus de films- actuellement au moins 750 films par an, dans nos salles. https://siritz.com/editorial/fin-de-la-multiplication-des-petits-pains/
Cet écosystème repose sur la croyance que, plus il y a de films produits et qui sortent, plus on a de chances de découvrir un grand talent. Au point que de plus en plus de films ne peuvent avoir que des sorties croupions d’une ou deux salles ou d’une séance par jour. Leurs réalisateurs et leurs producteurs sont persuadés que c’est la cause de leurs performances lamentables. Mais si elles sortaient dans toutes les séances de beaucoup plus de salles leurs entrées seraient tout aussi lamentables.
Désormais les distributeurs ont subi de telles pertes qu’ils vont être contraints de réduire leurs risques, donc leurs minima garantis. https://siritz.com/financine/rentabilite-de-la-distribution/Est-ce que notre écosystème continuera à permettre la production de films qui n’ont pas besoin d’entrées pour être bénéficiaires? Ça n’est pas certain. Cette évolution devrait en tout cas obliger les producteurs à être plus sélectifs et, tout particulièrement, à être plus exigeants quant aux scénarios.
Car maintenant le cinéma est en concurrence avec les plateformes et des chaînes qui doivent résister aux plateformes. Ces diffuseurs seront de plus en plus exigeants quant à la qualité de leurs séries. Et, pour fabriquer ces séries, ils rechercheront les plus grands talents, y compris ceux du cinéma, car, aujourd’hui, en France, il n’y en a pas suffisamment pour satisfaire leurs besoins.
Jusqu’ici, pour ces talents le film de cinéma était l’art suprême. Mais la série, qui permet de créer un véritable univers, avec de multiples personnages, un environnement, un contexte et des histoires qui s’entremêlent, acquiert de plus en plus de lettres de noblesse.
LA RÉMUNÉRATION DE MICHEL LECLERC
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « LES GOÛTS ET LES COULEURS »
Pour la préparation, 29 jours de tournage et la post-production la rémunération de Michel Leclerc est de 35 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien.
C’est le tiers de la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction français sortis en 2021 et 2022. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
C’est son 6ème long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Leclerc_(réalisateur)
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le scénario a été coécrit avec Baya Kasmi est ils se sont partagés 105 000 €.
Le 6ème film de Michel Leclerc est une comédie
« Les goûts et les couleurs » a été produit par Éric et Nicolas Altmayer (SNC catalogue/Mandarin et Compagnie) pour un budget prévisionnel de 2,8 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Goûts_et_les_Couleurs_(film,_2022)
Le CNC et la Sacem on apporté une aide à la musique. 3 soficas ont investi dans le film. Canal+ et Multithématiques ont acheté un passage.
Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod ainsi qu’un minimum garanti pour le mandat ventes internationales.
Le précédent film du réalisateur est « La lutte des classes », sorti le 3 avril 2019.
Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 58 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
Le scénario était déjà coécrit avec Baya Kasmi et ils se sont partagés 106 000 €.
Le film était produit par Karé Productions pour un budget prévisionnel de 3,6 millions €.
4 soficas, Chaocorps productions et UGC y avaient investi.
Canal+ et Multithématiques avaient acheté un passage ainsi que France 2 qui était également coproducteur.
UGC et Orange studio avaient donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et étranger.
Le film avait rassemblé 455 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
POUR LA RÉALISATION DE « JUNGLE ROUGE »
CinéscoopLA RÉMUNÉRATION DE JUAN JOSÉ LOZANO & ZOLTAN HORVATH
Ce dessin animé n’est pas destiné aux enfants. C’est plutôt un documentaire sur les derniers instants de la vieille guérilla communiste des Farcs, en Colombie. Il est coréalisé par le réalisateur de documentaire, Juan José Luzano, suisse d’origine colombienne
Juan José Lozano est un réalisateur de documentaires
https://fr.wikipedia.org/wiki/Juan_José_Lozano
et le réalisateur suisse de films d’animation Zoltan Horvath, dont c’est le 4ème long métrage.
Zoltan Horvath réalisateur de films d’animation
https://www.lesfilmsdunord.com/zoltan-horvath
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
La rémunération des deux réalisateurs, pour la préparation, le tournage et la post-production de « Jungle rouge » est de 175 000 €, uniquement en salaire.
Il s’agit d’une coproduction entre la Suisse (60%) et la France (40%). Le budget prévisionne du film est de 3,8 millions €.
Le scénario a été écrit par Juan José Lozano avec l’historien Antoine Germa et ils se sont partagés 72 000 €.
Les producteurs délégués français sont Claire Chassagne et Marc Irmer (Dolce Vita Films) & Luciano Lepinay et Matthieu Liégeois (Alumna Productions). Ron Dyens (Sacrebleu productions) est coproducteur.
Du CNC le film a bénéficié d’une avance sur recettes de 360 000 € ainsi que d’une aide au développement et d’une aide à la création visuelle et sonore.
Pictanovo (région hauts de France) a donné un aide au développement et une aide à la production.
Le distributeur New story a donné un minimum garanti pour le mandat salle et Uurban distribution internationale en a donné un pour les ventes à l’étranger.
Le film a comme producteurs délégués suisses Intermezzo Films et Nadasdy. L’Office fédéral de la culture, Cinéforum, Suissimage, Société suisse des auteurs et média ont accordé un aide. La télévision SSR est coproducteur et Praesens films a donné un minimum garanti pour être distributeur.
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