POUR LA RÉALISATION DE « ENTRE LA VIE ET LA MORT »
Pour la préparation, 38 jours de tournage et la post-production la rémunération de Giordano Gederlini est de 80 000 €, dont 35 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. C’est moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2022 et 2021. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Il a écrit le scénario pour lequel il a reçu 120 000 € d’à-valoir.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Giordano Gederlini est un comédien et un scénariste. Il avait notamment été l’un des scénaristes du film « Les misérables » de Laj Ly, sorti en 2019.https://fr.wikipedia.org/wiki/Giordano_Gederlini

Son deuxième long métrage en tant que réalisateur
Le film est une coproduction entre la France (32%), La Belgique (58%) et l’Espagne (10%). Son budget prévisionnel est de 4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Entre_la_vie_et_la_mort
Le producteur français est Nicole Vidal (Noodles Production) qui n’a pas investi de numéraire et ne prend pas en compte son crédit d’impôt dans le plan de financement. Le film a bénéficié d’une avance sur recette de 46 000 €. Le Pacte et Eurimages sont coproducteurs et 5 soficas y ont investi.
Le Pacte a donné un minimum garanti pour le mandat salles, un autre pour le mandat s-vod et un troisième pour le mandat international. Pour son premier week-end le film, sorti dans 250 salles, a rassemblé 19 spectateurs.
Le producteur Belge est Frakas qui n’a pas investi de numéraire et a bénéficié du tax shelter. Eurimages y a investi. Le film a bénéficié d’un soutien de la Communauté française de Belgique, de Screen Bruxelles, de Vlaams Audiovisueels fonds, de Wallimage. La RTBF et Proximus sont coproducteurs et ont acheté un passage.
Le producteur espagnol est Fasten Films qui a bénéficié du Tax credit. TV3000 est coproducteur et a acheté un passage.
Giordano Gederlini avait réalisé un premier film, « Samouraïs», sorti le 19juin 2002, produit par Fidélité productions et distribué par Pathé.
Le film avait rassemblé 255 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE CHRISTOPHE DUTHURON
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « LES VIEUX FOURNEAUX 2 BONS POUR L’ASILE »
Cette comédie interprétée, entre autres, par Pierre Richard et Eddy Mitchel est le deuxième long métrage réalisé par Christophe Duthuron.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Christophe Duthuron, qui a 49 ans, a débuté sa carrière comme comédien puis a été scénariste de films et de séries ainsi que qu’auteur de théâtre. Son premier film comme réalisateur était « Les vieux fourneaux » adapté de la bande-dessinée de Wilfrid Lupano et Paul Causet. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs-fin-mai-2022/
« Les vieux fourneaux 2 Bons pour l’asile » a les mêmes producteurs et son budget prévisionnel est de 6 millions €.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vieux_Fourneaux_2_:_Bons_pour_l%27asile
Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs-fin-mai-2022/
Les droits d’adaptation de la BD et le scénario ont été rémunérés 399 000 €.
Le film a été coproduit par France 3 et Orange Studio. Il a été préacheté par Canal+, Multithématiques et France 3.
Le précédent film du réalisateur était « Les vieux fourneaux ». Il était sorti le 22 août 2018. Il était produit par Radar Films & Égérie productions pour un budget prévisionnel de 5,8 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vieux_Fourneaux_(film)
Distribué par Gaumont il avait rassemblé 940 000 spectateurs.
Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
Les droits d’adaptation de la BD avaient été acquis 110 000 € et le scénario, écrit par le réalisateur Wilfrid Lupano avait été rémunéré 100 000 €.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
RÉALISATEURS EN POURCENTAGE DU BUDGET
FinanCinéDE TRÈS GRANDS ÉCARTS
Nous avons créé un baromètre de la rémunération des réalisateurs en pourcentage du budget de leur film.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Comme on va le voir les écarts sont très importants puisqu’ils vont de 0,6% à 10,8%
Ce dernier pourcentage est celui de Jean Heches pour la réalisation de « Memento Mori », sorti le 18 mai dernier. Mais c’est un film dont le budget prévisionnel n’était que de 390 000 €. La rémunération du réalisateur était de 42 000 €.
En seconde position on trouve la rémunération de Claude Lelouch pour la réalisation de « L’Amour c’est mieux que la vie ». C’est également la rémunération la plus élevée pour les films français de fiction sortis en 2022. Sa rémunération représente 9,5% du budget du film. Mais rappelons que Claude Lelouch est aussi le producteur du film et qu’il savait donc pouvoir adapter cette rémunération aux performances du films. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-claude-lelouch/
En troisième position on trouve Damien Manivel, le réalisateur, de «Magdala» un film dont le budget est de 290 000 €. Sa rémunération représente 8,9% du budget du film.
Ce n’est qu’en 4ème position que l’on trouve un film non atypique. La rémunération de Santiago Mitre pour la réalisation de « Petite fleur », dont le budget prévisionnel est de 2,5 millions €, est de 8,4% de celui-ci. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-santiago-mitre/
La rémunération moyenne est de 2,9%. C’est celle de Carine Tardieu pour la réalisation de « Les jeunes amants » https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-carine-tardieu/et de Sepideh Farsi, pour la réalisation de « Demain je traverse ». https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration- de-sepideh-farsi/
La rémunération médiane est de 2,5% du budget. C’est celle de quatre réalisateurs dont celle de Philippe de Chauveron pour la réalisation «Qu’est-ce qu’on a tous fait au bon dieu ». https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-philippe-de-chauveron/
Le plus étonnant est la rémunération de Claude Zidi.Jr pour la réalisation de « Ténor », son deuxième film. Elle n’est que de 0,6% du budget, c’est-à-dire de 30 000 € pour un film dont le budget est 5 millions €. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-claude-zidi-jr/
Le film a dépassé les 340 000 entrées.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
Arrêt provisoire des publications
CinéscoopJUSQU’AU MERCREDI 17 AOÛT
REMETTRE LE PUBLIC AU CENTRE DU JEU
ÉditorialPLUTÔT QU’AUGMENTER CONTINUELLEMENT LE NOMBRE DE FILMS
Les bonnes performances de la fête du cinéma apportent de l’eau au moulin des optimistes qui pensent que le cinéma va retrouver en France la fréquentation des années d’avant la Covid. Cette année la fréquentation est de 4% au-dessus des années précédentes, y compris de celle de 2019. https://www.leparisien.fr/culture-loisirs/cinema/apres-le-succes-de-la-fete-du-cinema-des-etats-generaux-proposes-pour-relancer-le-desir-et-doper-la-frequentation-07-07-2022-MAP6IV5FZBBPNJPRNTTU7JQZJQ.php?ts=1657385193282
Mais, si on les regarde de près, elles confortent les analyses de ceux qui estiment que le cinéma français doit impérativement être profondément réformé. Car ces bonnes performances sont presqu’essentiellement dues à l’offre de films américains : la sortie des « Minions 2 » comme la continuation de « Top gun », « Jurassic park », « Buzz l’Éclair » ou « Elvis ».
Parti pour largement dépasser les 5 millions d’entrées
Cité par Le Parisien, Richard Patry, le président de la FNCF fait le bon diagnostic à propos des faiblesses du cinéma français : «Les films français sont un peu déconnectés des goûts du public, dit-il avec euphémisme. Il faut remettre le spectateur au centre du jeu, s’adresser d’avantage aux jeunes, accorder plus d’importance au scénario ».
Plusieurs réalisateurs ou scénaristes partagent ce point de vue.
Alors comment en est-on arriver là ? Tout simplement parce qu’au fil des années les pouvoirs publics ont multiplié les sources de financement des films pour gonfler l’offre, c’est â dire multiplier le nombre de films.
Notre soutien automatique est un mécanisme génial parce que le producteur (mais aussi le distributeur et l’exploitant) ne peut récupérer l’ensemble de sa recette que s’il la réinvestie. En outre, il peut récupérer plus que sa recette, parce que les films étrangers, générant aujourd’hui 65% de la recette, n’en bénéficient pas. C’est donc à la fois une épargne forcée qui incite les entreprise à investir constamment et un droit de douane.
Mais ce soutien automatique n’a cessé d’être complété par de plus en plus de nouvelles sources de financement. A tel point qu’aujourd’hui un producteur peut dégager un bénéfice avant que son film ne sorte et qu’en produisant deux ou trois films par an il peut ainsi vivre très confortablement. Il va se consacrer à rassembler les talents qui vont motiver et rassure les décideurs de ces sources de financement. Et, dans cette étapes, les grands agents ont un poids énorme, imposant un casting et une équipe que ne voulaient pas le producteur et le réalisateur au départ.
Puis le producteur peut se consacrer à monter un financement qui couvre plus que largement le vrai coût du film.
Cette évolution explique pourquoi les grands producteurs comme Claude Berri, Serge Silberman, Georges Danciger ou Anatole Dauman, qui prenaient un risque en produisant chacun de leur film, et, donc, dépendaient du succès de ce film, ont disparu. Parce qu’à leur époque ils devaient investir de l’argent en plus de leur temps et que, de ce fait, pour eux, comme le dit Richard Patry, « le public était au centre du jeu ».
Mais pour revenir à cette logique, qui est celle du cinéma américain et explique son succès, le cinéma français doit entamer une vraie révolution. https://siritz.com/editorial/revoir-lecosysteme-de-notre-cinema/
Notre politique du cinéma doit cesser de donner la priorité à l’augmentation perpétuelle de l’offre, car les moyens qui permettent d’atteindre cet objectif sont la cause principales de la crise de notre cinéma.
POUR LA RÉALISATION DE « I LOVE GREECE »
CinéscoopLA RÉMUNÉRATION DE NAFSIKA GUERREY-KARAMAOUNAS
Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération de Nafsika Guerrey-Karamaounas est de 7 000 €, dont 500 € d’à valoir sur droits d’auteur et 6 500 € de salaire de technicien.
C’est évidemment très inférieur à la rémunération de la plupart des réalisateurs de films français sortis en 2021 et depuis le début de l’année. /https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Une coproduction franco-grecque presqu’entièrement tournée en Grèce
C’est le premier long métrage réalisé par Nafsika Guerrey-Karamaounas. Sur 25 jours de tournage 24 ont eu lieu en Grèce.
Le film a été produit par Fanny Pailloux (Apaches) et Pierre Cazenave-Kauman (Soldat Features) pour un budget prévisionnel de 1,1 millions €. C’est une coproduction entre la France (80%) et la Grèce (20%). https://fr.wikipedia.org/wiki/I_Love_Greece En France des fonds privés y ont investi. Multithématiques y a préacheté un passage. Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et un autre pour le mandat de distribution à l’étranger. Le financement grecque est constitué uniquement par du crédit d’impôt de l’État.
Chloé Larouchi était l’une des scénaristes de « Les magnétiques », réalisé par Vincent Cardona et sorti le 17 novembre 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-vincent-cardona-2/ Le film était distribué par Paname distribution et avait rassemblé 56 000 spectateurs.
Pyramide distribution vient de sortir « Les goûts et les couleurs », réalisé par Michel Leclerc. Sa première semaine il a rassemblé 30 000 spectateurs dans 205 salles. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-michel-leclerc/
Le 4 mai de cette année Pyramide distribution avait sorti « Les passagers de la nuit », réalisé par Mikhaël Hers. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-mikhael-hers-2/ Sorti dans 246 salles le film avait rassemblé 192 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE FRANÇOIS OZON
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « PETER VON KANT »
Pour la préparation, 20 jours de tournage et la post-production la rémunération de François Ozon est de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est beaucoup plus que la rémunération moyenne des films français de fiction sortis en 2021 et en 2022. https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Ozon
Ce film est produit par François Ozon
Il s’agit d’une adaptation de la pièce de théâtre de Rainer Fassbinder, « Les larmes de Peter von Kant », dont les droits d’adaptation ont été acquis pour 50 000 €. Le scénario a été payé 100 000 € à François Ozon. https://fr.wikipedia.org/wiki/Peter_von_Kant
C’est le 21ème film réalisé par ce diplômé de la Femis.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le film est produit par François Ozon (Foz) pour un budget prévisionnel de 3,2 millions €. Foz n’a investi aucun numéraire mais du fonds de soutien. Le plan de financement ne prend pas en compte le crédit d’impôt. Le film a bénéficié de 400 000 € d’avances sur recettes. 9 soficas y ont investi. La région Ile de France a apporté une aide.
Le film a été pré-acheté par Canal+ et Multithématiques ainsi que France 2 qui est aussi coproducteur.
Diaphana a donné un minimum garanti pour les mandats salles, vidéo et vod. Play Time a les mandats TV, S-Svod et International.
Le précédent film de François Ozon est « Tout s’est bien passé » sorti le 22 septembre 2021. Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de François Ozon était de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Pour son scénario François Ozon avait reçu 377 000 €.
Le film était produit par Mandarin et Compagnie, coproduit par Play time et 6 soficas y avaient investi. Il avait été préacheté par Canal+, Multithématiques et France 2 qui était également coproducteur.
Diaphana avait donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod. Le film avait rassemblé 260 000 spectateurs.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article. www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE GIORDANO GEDERLINI
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « ENTRE LA VIE ET LA MORT »
Pour la préparation, 38 jours de tournage et la post-production la rémunération de Giordano Gederlini est de 80 000 €, dont 35 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. C’est moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2022 et 2021. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Il a écrit le scénario pour lequel il a reçu 120 000 € d’à-valoir.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Giordano Gederlini est un comédien et un scénariste. Il avait notamment été l’un des scénaristes du film « Les misérables » de Laj Ly, sorti en 2019.https://fr.wikipedia.org/wiki/Giordano_Gederlini
Son deuxième long métrage en tant que réalisateur
Le film est une coproduction entre la France (32%), La Belgique (58%) et l’Espagne (10%). Son budget prévisionnel est de 4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Entre_la_vie_et_la_mort
Le producteur français est Nicole Vidal (Noodles Production) qui n’a pas investi de numéraire et ne prend pas en compte son crédit d’impôt dans le plan de financement. Le film a bénéficié d’une avance sur recette de 46 000 €. Le Pacte et Eurimages sont coproducteurs et 5 soficas y ont investi.
Le Pacte a donné un minimum garanti pour le mandat salles, un autre pour le mandat s-vod et un troisième pour le mandat international. Pour son premier week-end le film, sorti dans 250 salles, a rassemblé 19 spectateurs.
Le producteur Belge est Frakas qui n’a pas investi de numéraire et a bénéficié du tax shelter. Eurimages y a investi. Le film a bénéficié d’un soutien de la Communauté française de Belgique, de Screen Bruxelles, de Vlaams Audiovisueels fonds, de Wallimage. La RTBF et Proximus sont coproducteurs et ont acheté un passage.
Le producteur espagnol est Fasten Films qui a bénéficié du Tax credit. TV3000 est coproducteur et a acheté un passage.
Giordano Gederlini avait réalisé un premier film, « Samouraïs», sorti le 19juin 2002, produit par Fidélité productions et distribué par Pathé.
Le film avait rassemblé 255 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE DIDIER BARCELO
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « EN ROUE LIBRE »
Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération de Didier Barcello est de 60 000 €, répartie en part égale entre à-valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu plus que la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le scénario a été écrit avec Marie Dehaires et ils se sont partagés 66 000 €. C’est la moitié de la rémunération médiane des scénarios des films français de fiction sortis depuis le début de l’année.
Cette comédie est le premier film réalisé par Didier Barcello qui a déjà été coproducteur d’un documentaire, « Swagger », sorti en 2016. https://fr.wikipedia.org/wiki/Swagger_(film,_2016)
https://www.ubba.eu/fiche/scenariste/didier-barcel
Le film est produit par Mikhaël Gentille (The film) & Jean Ozannat et Dirdier Barcelo (Anomalie film) pour un budget prévisionnel de 3,1 millions €. Les producteurs délégués ont mis leurs salaires et leurs frais généraux en participation, ont investi du soutien financier et du numéraire. Mais dans leur plan de financement ils ne prennent pas en compte leur crédit d’impôt qui réduit sensiblement leur apport en numéraire.
Memento film est coproducteur et 6 soficas ont investi. La région Bourgogne Franche-Comté. Canal+ et OCS ont pré-acheté une fenêtre.
Memento films a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod. Elle Driver a donné un minimum garanti pour le mandat de ventes internationales.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE BARTHÉLÉMY GROSSMANN
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « ARTHUR, MALÉDICTION »
C’est le retour de Luc Besson au cinéma, mais par la petit porte. Cette fois-ci il est à la fois le producteur et le scénariste de ce film d’épouvante. https://fr.wikipedia.org/wiki/Arthur,_malédiction
C’est Luc Besson qui a écrit le scénario
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article. www.Cinefinances.info
Pour la préparation, 30jours de tournage et la post-production la rémunération deBarthélémy Grossmann est de 42 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 22 000 € de salaire de technicien. C’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Ce dernier a surtout mené une carrière de comédien. Il a surtout été réalisateur et scénariste pour des fictions ou des séries télévisuelles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Barthélemy_Grossmann
Le scénario est donc écrit par Luc Besson qui a reçu 55 000 € d’à-valoir.
Besson est le producteur du film
Pour financer ce film Besson a mis tout son salaire de producteur, tous ses frais généraux, du soutien automatique et un apport en numéraire.
Pathé est le distributeur mais n’a pas donné de minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod. Kinology a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution internationale.
Barthélémy Grossmann avait réalisé un film de cinéma sorti en salle le 26 juin 2007. « 13 m2 » était produit et distribué par Rezzo Films. https://fr.wikipedia.org/wiki/13_m²
Le film avait rassemblé 12 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.
LA RÉMUNÉRATION DE VARANTE SOUDJIAN
CinéscoopPOUR LA RÉALISATION DE « LA TRAVERSÉE »
Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération de Varante Soudjian est de 400 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
C’est plus du double de la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et 2022. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le scénario a été coécrit avec Thomas ponte et ils se sont partagés 420 000 €. Cette comédie le 3ème film du réalisateur. https://fr.wikipedia.org/wiki/Varante_Soudjian
Une comédie distribué par Metropolitan Film Export
Il est produit par Aïssa Djabri & Farid Lahoussa (Vertigo productions) pour un budget prévisionnel de 5,8 millions €. Le film est coproduit par Davis film et France 2. Il a été préacheté par Canal+, Multithématiques, France 2 et C8.
Metroplitan Film export a donné un minimum garanti pour tous les mandats.
Le précédent film du réalisateur était « Inséparables », sortis le 4 septembre 2019.
Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération de Varante Soudjian était de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
Le film était coproduit par M6 films et SND. Une sofica y avait investi. OCS, Multitémathiques, M6 et W9 avaient préacheté un passage. SND avait donné un minimum garanti pour la distribution en salle. Le film avait rassemblé 1 041 000 entrées.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.