Archive d’étiquettes pour : Why not productions

« Pourquoi tu souris ?https://fr.wikipedia.org/wiki/Pourquoi_tu_souris_%3F#:~:text=est%20une%20comédie%20française%20réalisée,Pourquoi%20tu%20souris%20%3F&text=Pour%20plus%20de%20détails%2C%20voir%20Fiche%20technique%20et%20Distribution, son 5ème long métrage, Chad Chenouga, https://fr.wikipedia.org/wiki/Chad_Chenouga est une comédie avec un duo de bras cassés.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Chad Chenouga

Son budget prévisionnel est de 3,1 millions €, soit 90% du budget médian des films français https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/. Pour la préparation, 29 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un quart au-dessus de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/ Il a écrit le scénario avec Géraldine Paillard pour 50 000 €, soit la moitié du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/Les rôles principaux ont reçu 161 000 €, soit 85% de leur rémunération moyenne. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Le producteur délégué est Why not productions (Pascal Caucheteux). La Petite Reine (Thomas Langmann) et Arches films (Etienne Comar) sont coproducteurs. 6 soficas y ont investi. La région Grand Est et Mulhouse lui ont apporté leur soutien. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Ad Vitam est distributeur sans minimum garanti.

Le précédent film réalisé par Chad Chenouga était « Le Principal », sorti le 10 mai 2023 et  dont le budget était déjà de 3,1 millions €. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-chad-genouga/ Son producteur délégué était déjà Why not productions et son distributeur était Le Pacte, sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 120 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Cette comédie sur une arnaque collective, « La Petite Vadrouille,  https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Petite_Vadrouille est le 11ème long métrage réalisé par Bruno Podalydès, https://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Podalydès. Son frère en est l’un des rôles principaux.

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Bruno Podalydes

Son budget prévisionnel est de 4,6 millions €, soit légèrement en-dessous du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/Pour la préparation, 33 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, ce qui correspond à 70% de la rémunération moyenne des réalisateurs cette année. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/Il a écrit le scénario pour 150 000 €, soit les trois quarts du budget moyen des scénarios cette année. Les 4 rôles principaux ont reçu 552 000 €, soit 2,7 fois ce qu’ils ont reçu en moyenne cette année. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Le producteur délégué est Why not productions (Pascal Caucheteux). 2 soficas y ont investi. Canal+, OCS et C8 l’ont préacheté. UCC est distributeur sans minimum garanti.

Le précédent film réalisé par Bruno Podalydes était « Wahou ! », sorti le 7 juin 2023. https://siritz.com/cinescoop/la-modeste-remuneration-de-bruno-podalydes/

Son budget prévisionnel était de 1,2 millions €. Pour la préparation, 22 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 10 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait reçu 5 000 € pour le scénario et les rôles principaux avaient reçu 40 000 €.

Why not productions était déjà le producteur. Canal+ et OCS l’avaient préacheté. UGC était déjà le distributeur, sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 245 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Bis Repetita » est le premier film de cinéma d’Émilie Noblet qui a réalisé plusieurs séries et téléfilms. C’est une comédie jubilatoire sur un professeur qui décide de tricher avec ses élèves.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Émilie Noblet

Il s’agit d’une coproduction entre la France (80%) et l’Italie (20%) pour un budget prévisionnel de 3,3 millions €. C’est un peu moins que le budget médian des films de fiction français sortie en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 33 jours de tournage en France ainsi qu’en Italie, et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Soit 15% de moins que la rémunération médiane des réalisateurs l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Elle a écrit le scénario avec Clémence d’Argent pour 62 000 €, ce qui revient à 60% du budget médian des scénarios des films français en 2023. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 95 000 €, soit 20% de plus que leur rémunération médiane l’année dernière. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs délégués français sont Topshot Films (Bastien Daret, Arthur Goisset et Robin Robles) & Why not Productions (Pascal Caucheteux). France 3 est coproducteur. Le film a bénéficié d’une aide du CNC à la coproduction franco-italienne ainsi que d’une  aide remboursables des Pays de la Loire. Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Le Pacte a les mandats de distribution sans avoir donné de minimum garanti.

Le producteur italien est BIM Produzione (Antonio Medici) qui assure également la distribution.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « WAHOU !»

C’est le 10ème film qu’il a réalisé alors qu’il est aussi scénariste et comédien. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bruno_Podalydès

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Il est produit par Why not Productions (Pascal Caucheteux) pour un budget prévisionnel de 1,2 millions €. C’est le tiers du budget médian des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 22 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 10 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est très modeste puisqu’égal à 12,5% de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Il a écrit le scénario pour 5 000 €. C’est 5% de la rémunération médiane des scénarios de ces films. Les deux rôles principaux, dont lui, ont reçu40 000 €. C’est moins de la moitié de la rémunération médiane des principaux rôles de ces films.

Le film a été préacheté par Canal+ et OCS. UGC a le mandat de distribution en salle sans minimum garanti.

Le précédent film de Bruno Podaydes était « Les 2 Alfred », sorti le 16 juin 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-bruno-podalydes/ Il était  également produit par Why not Productions pour un budget prévisionnel de 3,9 millions €.

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 150 000 €. Sandrine Kiberlain et lui occupaient les premiers rôles en plus de son frère Denis. Ils avaient reçu 302 000 €. Le film était déjà préacheté par Canal+ et OCS. UGC était le distributeur sans minimum garanti.Le film avait rassemblé 401 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LE PRINCIPAL »

Cette comédie dramatique est le 4ème long métrage pour le cinéma de celui qui est aussi comédien et scénariste.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Why Not Productions (Pascal Caucheteux) pour un budget prévisionnel de 3,1 millions €. C’est 90% du budget médian des films de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération de Chad Genouga réalisateur est de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 10% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces fims. Il a écrit le scénario avec Christine Paillard et ils se sont partagés 50 000 €. C’est 55% du budget médian des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 161 000 €. C’est 70% de ce que les rôles principaux ont reçu en moyenne pour ces films.

Le film a bénéficié du soutien de la Région Grand Est et de la ville de Mulhouse. Six soficas y ont investi. Canal + et Ciné + l’ont préacheté. Le Pacte n’a pas donné de minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod.

Le précédent film de Chad Genouga était « De toutes mes forces », sorti le salle, vidéo et vod. Il était produit par TS Productions pour un budget prévisionnel de 2,7 millions €.

Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération de Chad Genouga réalisateur était de 66 000 €, dont 25 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 41 000 € de salaire de technicien.  Il avait écrit le scénario avec Christine Paillard et ils s’étaient partagés 50 000 €. Les rôles principaux aveint reçu 21 000 €.

Le film avait bénéficié de 520 000 € d’avances sur recettes, d’une aide à la diversité du CNC et d’une aide du Commissariat général à l’égalité du territoire. La Région Aquitaine et le Département des Pyrénées Atlantique lui avaient apporté leur soutien. Deux soficas dont une adossée y avaient investi.

Canal+ et Multithématiques l’avaient préacheté. Ad Vitam avait donné un minimum garanti  pour la distribution en salle et en vidéo. Le film, sorti dans 93 salles, avait rassemblé 146 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « À LA BELLE ÉTOILE »

Cette comédie est son premier long métrage. https://www.agencesartistiques.com/Fiche-Artiste/746564-sebastien-tulard.html

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par De l’autre côté du périph (Laurence Lascary) pour un budget prévisionnel de 4,4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/À_la_belle_étoile_(film,_2023) C’est le budget moyen des films français de fiction sortis en 2022 et en janvier dernier. https://siritz.com/financine/barometres-des-films-francais-de-fiction/

Pour la préparation, 41 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 70 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 30% de moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2022 et un peu moins que ceux sortis le mois dernier.

Le film est tiré de l’œuvre de Yazid Ichemrazen. Le réalisateur a écrit le scénario avec Cédric Ido. L’ensemble représente un budget de 148 000 € ce qui se situe entre la moyenne de celui des films français de fiction sortis en 2022 et ceux de janvier 23.

France 2, Ateliers de production (Thomas et Mathieu Verhaegue) et Kiss films (Jamel Debbouze) sont coproducteurs. Une sofica y a investi. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté.

Bac Films a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et S-vod. France 2 a donné un minimum garanti pour le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film produit par De l’autre côté du périph (Laurence Lascary) était « L’Ascension » réalisé parLudovic Bernard, sorti le 12 juillet 2017. Son budget prévisionnel était de 5,6 millions €. Mars film l’avait distribué et il avait rassemblé 1,14 millions de spectateurs.

Le précédent film distribué par Bac Films était « La Passagère », réalisé par Héloïse Pelloquet, sorti le 28 décembre 2022. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-heloise-pelloquet/ Il était produit par Why not Productions et avait rassemblé 73 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « R.M.N »

C’est le 5ème film de ce réalisateur roumain. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cristian_Mungiu

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (38%), la Roumanie (52%) et la Belgique (10%)), pour un budget prévisionnel de 2,8 millions €.

https://fr.wikipedia.org/wiki/R.M.N.

Pour la préparation, 58 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 48 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs/

Christian Mungiu a écrit le scénario et a reçu 22 000 € d’à-valoir. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-2/

C’est 6 fois moins que le budget des scénarii de films français sortis depuis le début de l’année.

En France le film est produit par Pascal Caucheteux (Why Not Productions). France 3 est coproducteur et l’a préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti pour le mandat salle.

Le producteur roumain est Mobra Films et le Belge est Les films du Fleuve.

Le précédent film de Christian Mungiu était « Baccalauréat », sorti le 7 décembre 2016. C’était déjà une coproduction entre ces trois pays et ces trois producteurs. Le budget prévisionnel était 1,9 millions €.

Pour la préparation, 39 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait reçu 30 000 € pour le scénario. Le distributeur en France était Le Pacte qui avait donné un minimum garanti.

Sorti sur 99 copies le film avait rassemblé 135 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « FRÈRE ET SŒUR »

C’est son 13ème long métrage de fiction. https://en.wikipedia.org/wiki/Arnaud_Desplechin

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Pascal Caucheteux (Why not productions) pour un budget prévisionnel de 4,4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Frère_et_Sœur_(film)

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

C’est la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et depuis le début de l’année. Il a également reçu 120 000 € pour son scénario ce qui est moins que le budget médian de ces films. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/

Le film a bénéficié de 550 000 € d’avance sur recettes.

Il est coproduit par Arte, Pictanovo et 8 soficas y ont investi.

Il a été préacheté par Canal+, Multithématiques et Arte.

Le Pacte n’a pas donné de minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo de même que Wild bunch international pour le mandat vente international.

Le précédent film d’Arnaud Desplechin était « Tromperie », sorti le 19 décembre 2021. C’était une adaptation du roman de Philip Roth « Deception » dont les droits avaient été acquis pour 16 000 €.

Il était produit par Why not productions pour un budget prévisionnel de 1,2 millions €.

Pour la préparation, 20 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 8 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait en outre reçu 15 000 € pour le scénario.

Canal+ et Multithématiques l’avaient préacheté. Le Pacte avait le mandat de distribution sans minimum garanti.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

POUR LA RÉALISATION DE « TROMPERIE »

Ce film est tiré du roman du même nom de Philipe Roth. C’est le onzième long métrage de fiction réalisé par Arnaud Desplechin. https://fr.wikipedia.org/wiki/Arnaud_Desplechin

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Pascal Caucheteux (Why Not Productions) pour un budget prévisionnel de 1,2 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Tromperie_(film,_2021)

Les droits d’adaptation du livre ont été achetés 16 000 €.

Pour la préparation, 20 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 19 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 4 000 € de salaire de technicien.

Il a été préacheté par Canal+ et Multithématiques. Le Pacte le distribue sans avoir donné de minimum garanti.

Le précédent film d’Arnaud Desplechin était « Roubaix, une lumière », sorti en salle le 21 août 2019. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-desplechin-pour-roubaix-une-lumiere/

Il avait le même producteur et le même distributeur. Son budget prévisionnel était de 3,8 millions €.

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait en outre reçu 25 000 € pour le sujet.

Il avait co-écrit le scénario avec Léa Mysius. Ils s’étaient partagés 165 000 €.

Léa Seydoux en était déjà l’une des interprètes.

Sorti sur 200 copies le film avait rassemblé 400 000 entrées.

« Les fantômes d’Ismaël », sorti le 17 mai 2017, avait lui-aussi le même producteur et le même distributeur. Son budget était de 6 millions €.

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

Le scénario avait été coécrit avec Julie Peyr et Léa Mysisus. Elles avaient reçu 31 000 € et Arnaud Desplechin 150 000 €.

Le film avait rassemblé 390 000 spectateurs.

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POUR LA RÉALISATION DES « GARDIENNES »

Ce film a été diffusé par France 3 jeudi 31 mars. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Gardiennes_(film)

C’est le 9ème long métrage de Xavier Beauvois qui mène aussi une carrière de comédien. https://fr.wikipedia.org/wiki/Xavier_Beauvois

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Il est sorti en salle le 6 décembre 2017. Produit par Sylvie Pialat (Les Films du Worso), son budget initial est 8,8 millions €. La Suisse est coproductrice à 10%. Il est tiré du roman du même titre roman d’Ernest Périchon.

Pour la préparation, 51 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, réparti entre 120 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 80 000 € de salaire de technicien. C’est légèrement supérieur à la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2020. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-fin-octobre. Le scénario a été co-écrit avec Frédérique Moreau qui a reçu 33 000 € d’à valoir. Le sujet qui comprend l’achat des droits du livre a été payé 418 000 €.

Son précédent film, « Les rançons de la gloire » est sorti en 2015. Il a été produit par Pascal Caucheteux (Why not Productions) pour un budget initial de 8,2 millions € et distribué par Mars films. Le film est coproduit à 22% par la Suisse et 10% par la Belgique.

Pour la préparation, 8 semaines de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 350 000 € répartie entre 200 000 d’à valoir sur droits d’auteur et 150 000 € de salaire de technicien. Le co-scénariste Etienne Comar a reçu 150 000 € d’à valoir. Ils se sont partagés 300 000 € pour le sujet.

Le film n’avait rassemblé que 56 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.