La première semaine de l’année démarre avec une offre nouvelle limitée, un seul film français d’envergure, « Iris et les hommes ». C’est le troisième film de Caroline Vignal. https://fr.wikipedia.org/wiki/Caroline_Vignal Il s’agit d’une comédie dramatique avec Laure Calamy qui avait triomphé dans un autre film de Caroline Vignal, « Antoinette dans les Cévennes ».

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Iris_et_les_Hommes Son budget prévisionnel est de 4,6 millions €, soit le budget prévisionnel moyen des films français sortis en 2023, jusqu’à fin septembre. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 70 000 €, dont 25 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. Ce n’est même pas 90% de la rémunération médiane des réalisateurs. Elle a écrit le scénario avec Noémie Laparrent pour 125 000 €, ce qui revient à un tiers de plus que le budget médian des scénarios des films français. Les rôles principaux ont reçu 134 000 €, soit deux tiers de la réunération moyennes des rôles principaux des films français.

Les producteurs délégués sont Chapka Films (Laetitia Galitzine) et La Filmerie (Aurélie Rivière). Playtime et France 3 sont coproducteurs. Cinq soficas, dont une garantie, y ont investi. Le CNC a apporté une aide au développement. Diaphana sa donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et svod. Playtime a donné un minimum garanti pour le mandat international.

Le précédent film de Caroline Vignal,  était donc « Antoinette dans les Cévennes », sorti le 16 septembre 2020. Il avait rassemblé 787 000 spectateurs pour un budget prévisionnel de 3,5 millions €. Il avait les mêmes producteur et les mêmes distributeurs.

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 60 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 40 000 € de salaire de technicien. Catherine Vignal avait écrit seule le scénario pour 70 000 € et les rôles principaux avaient reçu 50 000 €.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

La comédie « Les Sedpa au ski » https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_SEGPA_au_ski, le deuxième film réalisé par les frères Ali et Hakim Bougheraba ehttps://fr.wikipedia.org/wiki/Ali_Bougheraba est l’une des très rares bonnes surprises de ce dernier trimestre.

Ali Bougheraba

Hakim Bougheraba

En effet, dès le premier jour il est largement en tête avec 148 000 entrées, loin devant le second, « Vermines », qui n’est qu’à 20 000 entrées. dans … 5 salles à Paris. Dans 4 d’entre elles il fait d’ailleurs de beaux scores. Sa première semaine il pourrait rassembler plus de 600 000 spectateurs. Et pourtant, le premier « Les Sedpa », sorti le 24 avril 2022 n’avait rassemblé « que » 62 000 entrées le premier jour et 730 000 sur l’ensemble de sa carrière. C’était très bien mais beaucoup moins que son numéro 2. Il démarre au même niveau que « Les trois mousquetaires-Milady » qui était sorti dans plus du double de salles.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Ce qui est remarquable c’est que c’est un film bon marché, puisque son budget prévisionnel de 2,6 millions n’est que trois quarts du budget médian des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération des deux réalisateurs est de 60 000 €, dont 19 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 41 000 € de salaire de technicien. C’est, là encore, les trois quarts de la rémunération médiane des réalisateurs de film. Ils ont écrit le scénario avec leur frère Ichem pour 75 000 €, soit 80% du budget médian des scénarios. Les rôles principaux, dont Ichem Bougherab, ont reçu 60 000 €, soit les trois quarts de leur rémunération médiane.

Les heureux producteurs sont Mandarin & Cie (Eric Altmayer) et Kallouche Cinéma (Jean Rachid). Apollo et StudioCanal sont coproducteur. LE film a été préacheté par Canal+, ciné+ et C8. Apollo a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et vod et StudioCanal un minimum garanti pour le mandat international.

« Les Sedpa », le premier film des deux frères avait, lui aussi coûté 2,6 millions €. https://siritz.com/cinescoop/pour-la-realisation-de-les-segpa/ La rémunération des réalisateurs, des scénaristes et des rôles principaux était la même. Le film avait les mêmes producteurs et les mêmes distributeurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

“Vermines », la première réalisation de Sebastien Vanicek, est un film d’épouvante avec une dimension sociale. https://larucheproductions.com/sebastien-vanicek/

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Son budget prévisionnel est de 5 millions €, légèrement au-dessus de celui de la moyenne des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, dont 24 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 36 000 € de salaire de technicien. C’est trois quarts de la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario avec Florent Bernard pour 60 000 €, ce qui revient à deux tiers du budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 174 000, soit 80% de leur rémunération moyenne.

Le producteur délégué est My Box Films (Harry Tordjman). Last Dance et Tandem (Mathieu Robinet) sont coproducteurs. Le CNC a fournit une aide pour les effets spéciaux et une autre pour les Images de la diversité. La Région Ile de France lui a apporté son soutien. Cinq soficas y ont investi. Netflix et France 3 (2 passages) l’ont préacheté.

Le distributeur pour la France est Tandem qui a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et vod. Charades + WT Films on donné un minimum garanti pour les mandats de ventes internationales.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Mon ami Robot » réalisé par  Pablo Berger a été sacré meilleur film d’animation 2023 au Prix du cinéma européen. Il est en outre applaudi par la critique française. C’est le 3ème long métrage de cinéma de ce réalisateur espagnol. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mon_ami_robot

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Il s’agit d’une coproduction entre l’Espagne (77%) et France (23%) pour un budget prévisionnel 5,2 millions €. C’est 15% de moins que le budget prévisionnel moyen des films d’animation français, https://siritz.com/editorial/la-france-reste-grand-producteur-danimation/mais 10% de plus que le budget moyen des films de fiction, car les films d’animation sont forcément chers. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, ce qui est la rémunération moyenne des réalisateurs de films d’animation. C’est une adaptation de la bande dessinée de Sara Varon. L’ensemble du scénario revient à 150 000 €, ce qui est légèrement en-dessous du budget moyen des scénarios des films d’animation.

Les producteurs français sont Noodles Productions (Nicole et Jérôme Vidal) et Les films du Worso (Sylvie Pialat). Le film a reçu 250 000 € d’avances sur recettes et le soutien d’Eurimages. Deux soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Wild bunch a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod, et svod.

Les producteurs espagnols sont Aracdai Motion Pictures et Noodles Production. TVE est coproducteur. Le film a bénéficié du crédit d’impôt, d’aides nationales et du soutien d’Eurimages. TVE et Movistar l’ont préacheté tandis que Elle Driver a donné un minimum garanti pour la distribution en Espagne et dans le monde.

Le précédent film de Pablo Berger était « Abracadabra », sorti en France le 4 avril 2018.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Abracadabra_(film,_2017)

C’était une fiction, tournée en Espagnol. Il s’agissait d’une coproduction entre la France (20%) et l’Espagne (80%) pour 5,5 millions €. La rémunération du réalisateur était 220 000 €.

Les producteurs français étaient Noodles Production et Film distribution Production. Le CNC avait donné un aide aux cinémas du monde. Condor avait donné un minimum garanti pour les mandats salle et vidéo. Le film avait rassemblé 31 000 spectateurs en France.

Arcadia Motion Pictures était le producteur Espagnol. Sony avait donné un minimum garanti pour la distribution aux USA et en Amérique Latine.

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« Une affaire d’honneur » est le quatrième long métrage réalisé par Vincent Perez, qui a avant tout été l’interprète de très nombreux films et, dans celui-ci, joue le rôle du méchant. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Perez Il se passe à l’époque où les duels étaient rois. https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_affaire_d%27honneur_(film)

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel est de 11,4 millions €, soit 2,4 fois le budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 39 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 50% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario avec la dialoguiste Karine Silla pour 200 000 €, ce qui correspond à peu près au budget moyen des scénarios des films de fiction. Les rôles principaux ont reçu 398 000 €, soit un peu moins du double de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour les films français de 2023..

Gaumont est producteur délégué et France 2 cinéma coproducteur. Le film a bénéficié de l’aide du CNC pour les effets visuels numériques et d’un soutien de la région Ile de France. Canal+, Ciné+ (2 passages) et France 2 l’on préacheté. Gaumont a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent film réalisé par Vincent Perez était « Seul dans Berlin », sorti le 23 novembre 2016. C’était une coproduction entre la France (21%), l’Allemagne (59%) et le Royaume-Uni (20%)  pour un budget prévisionnel de 14,7 millions €. Il était tourné en anglais. https://fr.wikipedia.org/wiki/Seul_dans_Berlin_(film,_2016)

En France son producteur était Master Movies et Pathé était coproducteur. La rémunération de Vincent Perez était de 80 000 €. Il était tiré d’un livre de Hans Fallada dont les droits d’adaptation ont été acquis pour 150 000 €. Le réalisateur a écrit le scénario avec  Akim et Bettina Von Borries pour 310 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 1,63 millions €. Le film avait été préacheté par Canal+. Pathé avait donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod. Le film n’avait rassemblé que 45 000 spectateurs.

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« La fille de son père », une comédie sur la filiation, est le second film de cinéma d’Erwan Le Duc. https://fr.wikipedia.org/wiki/Erwan_Le_Duc

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel est de 2,8 millions €, soit 60% du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit trois quarts de la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario pour 60 000 €, soit les deux tiers du budget médian des scénarios des films français de 2023. Les rôles principaux ont reçu 42 000 €, soit la moitié de leur rémunération médiane pour ces films.

Le producteur délégué est Domino Films (Stéphanie Bermann et Alexis Dulguerian). Il a obtenu le soutien de Fondation GAN, de la Région Ile de France, de la Région Grand Est et de Metz agglomération. Trois soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod. Playtime a le mandat de vente internationale sans minimum garanti.

Le précédent et premier long métrage d’Erwan Le Duc était la très originale comédie « Perdix », sorti le 14 août 2019. Le budget du film était de 2,5 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Perdrix_(film)

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 45 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 50 000 € et les rôles principaux avaient reçu 93 000 €. Le film avait le même producteur et le même distributeur que « La fille de son père ».  Et il avait rassemblé 144 000 spectateurs.

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« Ma France à moi » est le 7ème long métrage de cinéma réalisé par Benoît Cohen. https://fr.wikipedia.org/wiki/Benoît_Cohen

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C’est une histoire vraie arrivée à sa mère. Il l’a écrite dans un livre paru chez Flammarion et dont c’est l’adaptation. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ma_France_à_moi

Son budget prévisionnel est de 2,4 millions €, soit 50% du budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 36 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Les droits d’adaptation du livre ont été acquis 67 000 € et Benoît Cohen a écrit le scénario avec Éléonore Pourriat et Jim Birmant pour 155 000 €.. Le budget du scénario est donc 60% de plus que la moyenne des budgets de scénarios des films de fiction. Les rôles principaux ont reçu 57 000 €, ce qui est 60% de leur rémunération médiane dans les films.

Les producteurs délégués sont Echo Studio (Emmanuel Priou et Yves Darondeau) et Marvelous Productions (Marco Pacchioni et Romain Le Grand). Prod Lab, Shadows, Belorio et Abelina sont des coproducteurs. Le CNC a a accordé une aide au développement et la région Ile de France une aide remboursable. 2 soficas y ont investi.

Ciné+ et Amazon l’on préacheté. Pan Européenne a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution.

Le précédent film réalisé par Benoît Cohen était « Tu seras un homme », sorti le 15 mai 2013. https://fr.wikipedia.org/wiki/Tu_seras_un_homme  Son budget prévisionnel n’était que de 320 000 €. La rémunération du réalisateur était de 5 000 €. Il avait écrit le scénario avec Jules Sagot et Eleonore Pourriat pour 8 000 €.

BeloriosFilms et Shadows Films étaient les producteurs délégués et Zelig Films Distribution le distributeur, sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 6 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

La comédie « Chasse gardée », sur le choc de bobos parisiens contre chasseurs de la campagne, est co-réalisée par Frédéric Forestier, dont c’est le 9ème film réalisé ou coréalisé, https://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Forestier

et Antonin Fourlon, dont c’est le premier long métrage réalisé.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel est de 9,3 millions €, ce qui revient à un peu moins du double du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération des deux réalisateurs est de 280 000 €, dont 138 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 142 000 € de salaire de technicien. C’est le double de la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. Ils ont coécrit le scénario pour 115 000 €, soit 55% du budget moyen des scénarios des films de fiction. Les rôles principaux ont reçu 376 000 €, soit 1,8 fois ce qu’ils ont reçu en moyenne.

Curiosa Films (Olivier Delbosc) et Starman Films (Julien Arnoux) sont producteurs délégués. TF1 film production est coproducteur. Le CNC a accordé une aide aux Créations visuelles et sonore tandis que Pictanovo (région Hauts-de-France) a apporté son soutien.

Canal+, Ciné+, et TF1 (2 passages), l’ont préacheté. UGC a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film de Frédéric Forestier était « Les Bodin’s en Thaïlande », sorti le 17 novembre 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-frederic-forestier-2/ Son budget prévisionnel était de 6,9 millions €. Cheyenne Prooduction était producteur délégués. M6 et SND étaient coproducteurs.

Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur avait été de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Vincent Dubois, Jean-Christian Fraiscinet et Eric Leroch  pour 686 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 60 000 €.

M6 et W9 l’avaient préacheté. SND avait donné des minima garantis séparés pour tous les mandats. Le film avait rassemblé 1 643 000 spectateurs.

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La comédie  » Jeff Panacloc à la poursuite de Jean-Marc  »  est le le 8ème long métrage de cinéma réalisé par Pierre-François Martin-Laval qui est par ailleurs comédien. https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-François_Martin-Laval

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel est de de 9,8 millions €, ce qui est plus du double du budget moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année.  https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 315 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 2,3 fois la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénarios avec Daive Cohen pour 300 000 €, soit 50% de plus que la moyenne des budgets de scénario des films de fiction. Le rôle principal, le célèbre ventriloque Jeff Panacloc et sa poupée, a reçu 30 000 €, soit le tiers de la rémunération médiane des rôles principaux.

74 films (Daniel Tordjman) et SND sont producteurs délégués. M6 est coproducteur. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/ Le film a été préacheté par Canal+, Ciné + et M6. SND a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent film de Pierre-François Martin-Laval était « Les vengeances de Monsieur Poutifard », sorti le 28 juin de cette année. C’était une coproduction entre la France (75%) et la Belgique (25%). https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-martin-laval/ Son budget prévisionnel était de 15,6 millions €.

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 315 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il s’agissait d’une adaptation de l’œuvre de Jean-Claude Morlevat dont les droits avaient été acquis pour 55 000 €. Le réalisateur avait écrit le scénario pour 185 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 1,45 millions €. TF1 était coproducteur.

Le film avait été préacheté par Canal+, Ciné+, TF1 (2 passages) et TMC.  UGC avait donné un minimum garanti pour tous les mandats. Le film avait rassemblé 530 000 spectateurs.

Le coproducteur belge était Umedia (Cédric Iland et Nadia Kamlichi) qui avait le soutien de Wallimage.

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Le thriller urbain « Rue des dames » est le 2ème long métrage réalisé par deux célèbres rappeurs, Ekoue Labitey  https://fr.wikipedia.org/wiki/Ekoué

Ekoue Labitey

et Mohamed Bourokba. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hamé_(rappeur)

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Mohamed Bourokba

Ils avaient coréalisé et écrit ensemble un téléfilm pour Canal+.

Le film est produit pour un budget prévisionnel de 2 millions €, soit 40% du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 27 jours de tournage et la post-production la rémunération des réalisateurs est de 81 000 €, dont 40 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 41 000 € de salaire de technicien. C’est la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction. Ils ont écrit le scénario pour 75 000 €, ce qui est 15% de moins que le budget médian des scénarios de ces films. Le budget prévisionnel ne sépare pas la rémunération des rôles principaux de celle des autres rôles.

Les producteurs délégués du film sont La Rumeur Filme (Hamé) et Les Films du cercle (Sarah Marx). France 2 est coproducteur. Le film a bénéficié  de 120 000 € d’avance sur recettes après réalisation. Le CNC a également a accordé un aide aux Images de la diversité et une aide à la création de musiques originales. La région Ile de France lui a aussi apporté son soutien.

Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. Bookmakers a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution salle et France télévision distribution un minimum garanti pour le mandat de vente à l’étranger, hors Bélélux.

Le précédent film réalisé par Ekoue Labitey et Mohamed Bourokba était « Les derniers des parisiens », sorti le 22 février 2017. Son budget était de 2,3 millions €. Pour la préparation, 28 jours de tournage et la post-production la rémunération des réalisateurs était de 60 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 40 000 € de salaire de technicien. Ils avaient reçu 70 000 € pour le scénario. Le film avait bénéficié de 600 000 d’avance sur recettes. Haut et Court était distributeur sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 30 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.