Archive d’étiquettes pour : Le Pacte

POUR LA RÉALISATION DE « LA DÉGUSTATION »

C’est le 7ème long métrage réalisé par celui qui est aussi romancier et auteur de théâtre. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ivan_Calbérac

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Le film est produit par Nicolas et Éric Altmayer (Mandarin et Cgie) pour un budget prévisionnel de 5,3 millions €.

Pour la préparation, 20 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est le double de la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2022. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs/

En fait, il s’agit d’une adaptation de la pièce éponyme écrite et mise en scène par Ivan Calbérac. Les droits d’adaptation de celle-ci ont été acquis 150 000 € et Ivan Calderac a écrit le scénario pour 140 000 €. Comme cela est le plus souvent le cas, le budget du scénario est donc supérieur à celui de la rémunération du réalisateur. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-2/

Le film a été coproduit par StudioCanal et France 2. Troyes Champagne Métropole a apporté son soutien. Canal+, Multithématiques et France 2 ont préacheté un passage. StudioCanal a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution monde. C’est le film qui a démarré en tête mercredi dernier avec plus de 32 000 entrées dans 422 salles.

Le précédent film d’Ivan Calbérac était « Venise n’est pas en Italie », sorti le 25 mai 2019. Il était produit par ASIFILMS pour un budget prévisionnel de 6,8 millions €.

Pour la préparation, 33 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 170 000 €, dont 80 000 € d’à-valoir sur droits d’auteur et 90 000 € de salaire de technicien.

Les droits d’adaptation du roman éponyme d’Ivan Calbérac avaient été acquis 55 000 € et son scénario payé 120 000 €.

StudioCanal et France 2 étaient coproducteurs. Canal+, Multithématiques, France 2 et C8 avaient pré-acheté un passage. StudioCanala avait donné un minimum garanti pour tous les mandats monde.

En France, le film avait rassemblé 515 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « AS BESTAS »

C’est le 6ème long métrage de ce réalisateur espagnol de 42 ans. Il a également réalisé des séries. Il s’agit d’une coproduction entre la France (20%) et l’Espagne (80%) pour un budget prévisionnel de 3,9 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Rodrigo_Sorogoyen

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Pour la préparation, 47 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 122 000 € de salaire de technicien.

https://siritz.com/financine/realisateurs-en-pourcentage-du-budget/

Le producteur français est France Jean Labadie (Le Pacte). https://fr.wikipedia.org/wiki/As_bestas Il a le soutien d’Eurimages.

3 soficas y ont investi. Canal+ et Multithématiques l’ont préacheté.

Le Pacte a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, et vod, s-vod. Le film avait rassemblé 220 000  entrées ses quatre premières semaines  et se maintient très bien.

Les producteurs espagnols sont Caballo Films, Arcadia Motion Pictures, et Cronos Entertainment.

Ils ont bénéficié d’un crédit d’impôt, du soutien de ICAA, CAM et Eurimages. TVE et Movistar l’avaient préacheté. A Contra Corriente Films avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution.

Le précédent film de Rodrigo Sorogoyen était « Madre », sorti en salle en France le 20 juillet 2020. Son budget prévisionnel était de 2,6 millions €. C’était une coproduction entre la France (22%) et l’Espagne (78%). Le producteur français était Noodle Productions & Le Pacte. Le producteur espagnol était Arcadia Motion pictures.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Madre_(film,_2019)

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « ADIEU PARIS »

C’est le 4ème long métrage de cet animateur de radio, comédien, scénariste, auteur de théâtre, etc… https://fr.wikipedia.org/wiki/Édouard_Baer

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Ce film, interprété par une pléiade de comédiens célèbres ainsi que le réalisateur, est produit par Julien Déris & David Gauquié (Cinéfrance Studios) pour un budget prévisionnel de 1,5 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Adieu_Paris_(film,_2021)

Pour la préparation, 10 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 50 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. A noter que c’est une durée de tournage exceptionnellement courte. C’est la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/

Le réalisateur a en outre reçu 25 000 € pour le sujet et le scénario a été coécrit avec Marcia Romano qui a reçu 20 000 €.

Le Pacte est coproducteur et distributeur. Il a donné des minima garantis séparés pour la salle, la vidéo et la S-vod.

Canal+ a acheté la première et la seconde diffusion payante. Il y a une prévente TNT.

Le film est coproduit par la Belgique pour un peu moins de 10%. Le producteur Belge est Patrick Quinet (Artemis).

Le précédent film réalisé par Edouard Baer était « Ouvert la nuit », sorti le 11 janvier 2017. Il était produit par Barka Hjij (Les films en cabine) pour un budget de 4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ouvert_la_nuit

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 90 000 €, dont 50 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 40 000 € de salaire de technicien.

Le scénario était coécrit avec Benoit Graffin et ils s’étaient partagés 120 000 €.

Cinéfrance Studios et Financière Pinault étaient coproducteurs.

Canal+ et OCS avaient acheté un passage.

Le Pacte était le distributeur et il avait donné des minimas garantis séparés pour la salle, la vidéo et l’international.

Le film avait rassemblé 100 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

LA RÉMUNÉRATION DE CHARLOTTE DE TURCKHEIM

Cette comédie est le cinquième long métrage réalisé par cette comédienne qui est aussi interprète du film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Charlotte_de_Turckheim

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Ce film est produit par Christine Gozlan (Thelma Films) et Dominique Besnehard (Mon voisin productions ) pour un budget prévisionnel de 5,2 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mince_alors_2_!

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 300 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

C’est sensiblement plus que la rémunération moyenne des films français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs/

Elle a en outre touché 373 000 € pour le sujet et le scénario a été co-écrit avec Gladys Marciano qui a reçu 10 000 €.

Le film est coproduit par M6 et a bénéficié du soutien de la région Paca.

Il a été préacheté par Canal+, Multithématiques, M6 et W9.

Le Pacte le distribue et a donné un minimum garanti pour tous les mandats sauf la télévision.

Le précédent film réalisé par Charlotte de Truckheim était « Qui c’est les plus forts ? » sorti le 3 juin 2015. Il était produit par Ciné@ pour 6,2 millions € et distribué par Wild bunch.

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 286 000 €, dont     136 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 150 000 € de salaire de technicien.

Le film était tiré du roman de Clément Koch qui avait été acheté 50 000. Ce dernier avait co-écrit le scénario et ils s’étaient partagés 259 000 €.

Le film avait rassemblé 185 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.