Archive d’étiquettes pour : 24 25 films

« Visions » est le 5ème long métrage de Yann Gozlan. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yann_Gozlan Comme son précédent film c’est un suspens, mais d’un genre différent.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Visions_(film,_2023)

Il est produit par Eagle Teams Entertainment (Éric Neubot) et 24 25 Films (Thibault Gast et Matthias Weber) pour un budget prévisionnel de 10 millions €, ce qui le situe au 15ème rang des budgets prévisionnels des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/

Pour la préparation, 54 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Il a écrit le scénario avec Michel Fessler, Aurélie Valat, Jean-Baptiste Delafon, avec la participation d’Audrey Diwan . Ils ont reçu 398 000 €, ce qui les situe au 12ème rang des budgets des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/Quant aux rôles principaux ils ont reçu 265 000 €, soit 30% de  plus que ce que les rôles principaux ont reçu en moyenne pour ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/

Les producteurs ont investi leur salaire, leurs frais généraux et du soutien automatique. SND et France 2 sont coproducteurs. Une sofica adossée y a investi. La région Sud et le département des Bouches-du-Rhône lui ont apporté leur aide.

OCS a préacheté le premier passage, Canal+ le second et France 2 le troisème. SND a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent film de Yann Gozlan était « Boite noire », sorti le 8 septembre 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-yann-gozlan/ Il était produit par Why Productions et 24 25 films  pour 19,6 millions €.

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 240 000 €, dont 100 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 140 000 € de salaire de technicien. Le film, distribué par StudioCanal, avait rassemblé 1,9 millions de spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « SÉXIGÉNAIRES »

Cette comédie est son deuxième long métrage de cinéma. https://www.unifrance.org/annuaires/personne/318325/robin-sykes

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par 24 25 films (Thibault Gast et Matthias Weber) pour un budget prévisionnel de 5 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Sexygénaires . C’est légèrement moins que le budget moyen des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 31 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 110 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 40% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films.  Il a écrit le scénario avec Antoine Raimbault, Jean-François Halin, Haroun,Malek Oudjail et  Elise Larnicol pour 636 000 €.  C’est 2,8 fois le budget moyen des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 300 000 €. C’est un tiers de plus de ce qu’ils ont reçu en moyenne dans ces films.

Orange studios, Apollo Films et France 3 sont coproducteurs. Le CNC  lui a donné une aide à la musique et une sofica y a investi. Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Apollo a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et S-Vod.

Le premier film de Robin Sykes était « La Finale » sorti le 14 février 2018. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Finale

Il était déjà produit par 24 25 films et son budget prévisionnel était 4,4 millions €. Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 40 000 € de salaire de technicien. La rémunération des rôles principaux était  de 284 000 €.

France 3 était coproducteur. Le film avait bénéficié d’une aide à la musique et d’une aide  aux nouvelles technologies du CNC ainsi que du soutien de la région Ile-de-France. Une sofica y avait investi. Canal+, OCS et France 3 l’avaient préacheté. L’UGC avait donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et étranger.

Le film avait rassemblé 601 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE ZAÏ ZAÏ ZAÏ ZAÏ

Cette adaptation d’une célèbre bande dessinée est son 7eme film. https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Desagnat

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Mathias Weber et Thibault Gast (24 25 Films) pour un budget prévisionnel de 4,3 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Zaï_zaï_zaï_zaï_(film)

Pour la préparation, 31 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 103 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

C’est un tiers de moins que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction sortis en janvier 2022. https://siritz.com/financine/barometre-2022-remuneration-des-realisateurs/

Les droits d’adaptation de la BD ont été achetés 60 000 €.

Le scénario a été coécrit avec Jean-Luc Gaget et ils se sont partagés 82 500 €.

Apollo Films et France 3 sont coproducteurs ainsi que trois soficas. La région Occitanie a apporté son soutien.

Le film a été préacheté par Canal+, Multithématiques, France 3 et C8. Il est distribué par Apollo Films qui a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et international.

Le précédent film de François Desagnat était « Le gendre de ma vie », sorti le 19 décembre 2018.

Pour la préparation, 41 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 262 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

Le scénario avait été co-écrit avec Thomas Ruast et Jérôme L’Hostky et ils se sont partagés, 125 000 €.

Le film avait été préacheté par Canal+, Multithématiques, TF1, TMC et C8.

Pathé avait donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et international.

Le film avait rassemblé 400 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

LA RÉMUNÉRATION DE EMMANUEL POULAIN-ARNAUD

C’est le deuxième long métrage qu’il a réalisé. http://www.agencesartistiques.com/Fiche-Artiste/416778-emmanuel-poulain-arnaud.html

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Thibault Gast et Matthias Weber (24 25 films). Pour un budget prévisionnel de 4,5 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Test_(film,_2021)


Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 140 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est sensiblement plus que la rémunération médiane des films français sortis depuis le début de l’année.

https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs/

Il a en outre reçu 92 000 € pour le scénario qu’il a co-écrit avec Noé Debré. Ce dernier a reçu 42 000 €.

Apollo Films et France 3 en sont coproducteurs ainsi que quatre soficas. Il  bénéficie du soutien de la région Sud et de la région Occitanie. OCS a préacheté 2 passages et France 3 un passage.

Apollo Films a les mandats de distribution en salle et en vidéo pour un minimum garanti de 600 000 €.

Le premier film réalisé par Emmanuel Poulain-Arnaud était « Les Cobayes »,  qui n’est pas sorti. Il a été produit par Fluxus Films pour un budget d’un million €. Et coproduit par Davis Films.

Pour la préparation, 27 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur avait été de 42 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait en outre reçu 50 000 € pour le scénario.

OCS avait préacheté un passage.

Le distributeur était Metropolitan FilmExport qui avait tous les mandats crosscollateralisés.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.