Archive d’étiquettes pour : Tandem

« Les derniers hommes », le 4ème long métrage réalisé par David Oelhoffen, est un film de guerre tiré du roman « Les nains jaunes », d’Alain Gandy, paru en 1991 aux Presses de la Cité. https://fr.wikipedia.org/wiki/David_Oelhoffen

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

David Oelhoffen

Il s’agit d’une coproduction entre la France (69%) et la Belgique (31%) pour un budget prévisionnel de 8,8 millions €, soit 70% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis l’année dernière. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 45 jours de tournage en Guyane et la post-production la rémunération du réalisateur est de 125 000 €, dont 76 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 49 000 € de salaire de technicien. C’est une peu moins que la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction français. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Il a écrit le scénario avec Jacques Perrin, Éric Derou, Laurent Gaudé et Christophe Cheysson. L’ensemble du coût du budget est de 841 000 €, ce qui revient à plus de quatre fois le budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçus 517 000 €, soit 2,4 fois ce qu’ils ont reçu en moyenne en 2023. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur français est Galatée film (Christophe Barratier, Nicolas Mauvernay et Nicolas Elgozy). Il a reçu le soutien de Eurimages, Média, le CNC, Procirep/Angoa, la Collectivité territoriale de la Guyane et l’Escadron de Détection et contrôle Aéroportés. Une sofica y a investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Tandem a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et vod, Studio OCS pour le mandat international hors Bénélux.

Le producteur Belge est Versus Productions( Jacques-Henri Bronckaet). Il bénéficié du tax shelter. Allons voir (Frédéric Bouté) est coproducteur. Wallimage et Eurimages ont apporté leur soutien. La RTBF, Proximus et Be tv l’ont préacheté.

Le précédent film de David Oelhoffen était « Frères ennemis » https://fr.wikipedia.org/wiki/Frères_ennemis_(film,_2018). Il est sorti le 3 octobre 2018. Il s’agissait d’une coproduction entre la France (94%) et la Belgique (6%) pour un budget de 4,2 millions €.

Pour la préparation, 38 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 118 000 € et les rôles principaux avaient reçu 301 000 €. Le producteur était One World Films et Bac Films était coproducteur. Trois soficas y avaient investi et la région Ile de France avaient apporté son soutien. OCS l’avait préacheté et Bac Films avait la distribution avec un minimum garanti. Le film avait rassemblé 180  000 spectateurs. Versus Production était le producteur Belge.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

“Vermines », la première réalisation de Sebastien Vanicek, est un film d’épouvante avec une dimension sociale. https://larucheproductions.com/sebastien-vanicek/

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel est de 5 millions €, légèrement au-dessus de celui de la moyenne des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, dont 24 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 36 000 € de salaire de technicien. C’est trois quarts de la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario avec Florent Bernard pour 60 000 €, ce qui revient à deux tiers du budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 174 000, soit 80% de leur rémunération moyenne.

Le producteur délégué est My Box Films (Harry Tordjman). Last Dance et Tandem (Mathieu Robinet) sont coproducteurs. Le CNC a fournit une aide pour les effets spéciaux et une autre pour les Images de la diversité. La Région Ile de France lui a apporté son soutien. Cinq soficas y ont investi. Netflix et France 3 (2 passages) l’ont préacheté.

Le distributeur pour la France est Tandem qui a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et vod. Charades + WT Films on donné un minimum garanti pour les mandats de ventes internationales.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Ramata-Toulaye Sy (37 ans), dont « Banel & Adama » est le premier long métrage, est diplômée de la FEMIS, section scénario. Elle a déjà collaboré au scénario de deux longs métrages et réalisé un court métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ramata-Toulaye_Sy

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Son film est une coproduction entre la France (83%), le Sénégal (14%) et le Mali (3%) dont le budget prévisionnel est 1,9 millions €, soit 55% du budget prévisionnel médian des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 58 000 €, dont 28 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 30 000 € de salaire de technicien. C’est 70% de la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Elle a écrit le scénario pour 44 000 €, soit 50% du budget des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/ Les rôles principaux ont reçu 10 000 €, soit 12% de la rémunération médiane des rôles principaux de ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/

Le producteur français est La Chauve-Souris (Maud Leclair-Névé). Le film a bénéficié du CNC de 500 000 € d’avance sur recettes, du soutien à la préparation et  d’une aide aux créations visuelles et sonores.  Canal+ international et Arte cinéma sont coproducteurs. Le producteur a investi son salaire et ses frais généraux.  Canal+ international et Arte cinéma sont coproducteurs. Une sofica y a investi.

Canal+,Ciné+, Arte, TV5 Monde et Canal +international l’ont préacheté. Tandem a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod en France. Best Friend Forever est le vendeur international, mais n’a pas donné de minimum garanti.

Le producteur sénégalais est Astou Production (Souleyman e Kébé). Il a obtenu le soutien de Fopica (aide nationale), de Jeune création francophone et de l’Organisation internationale de la francophonie. Le producteur Malien est DS productions (Débora Suc).

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.