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Le 4ème long métrage réalisé par  Jennifer Devoldère https://fr.wikipedia.org/wiki/Jennifer_Devoldère#:~:text=Jennifer%20Devoldère%20est%20une%20réalisatrice,de%20l’acteur%20Bruno%20Devoldère, « Le Panache » https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Panache On y suit un jeune élève passer de l’enfance au monde des adultes.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Jennifer Devoldère

Son budget prévisionnel est 6,4 millions €, soit 20% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 180 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, ce qui est 50% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/ Il s’agit d’une adaptation de la pièce Dans la Peau de Cyrano de Nicolas Devort. La réalisatrice a écrit le scénario avec Cécile Sellam. Le tout revient à un budget de 206 000 €, soit  trois quarts de plus que le budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/Les rôles principaux ont reçu 520 000 €, soit soit deux fois et demi leur rémunération moyenne. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Les producteurs délégués sont Vertigo Films ( Farid Lahoussa, Aïssa D’abri et Denis Penot) et SND. M6 films est coproducteur. Le film a bénéficié du soutien de la Région Auvergne-Rhône-Alpe. Il a été préacheté par Canal+ (catch up, suisse, international), Ciné+ et M6. SND a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent film réalisé par Jennifer Devoldère était « Sage-Homme », sorti en 2003. Son budget prévisionnel était de 4,6 millions € et il avait la même co-scénariste. Karé production  producteur délégué et Warner Bros distributeur. Il avait rassemblé 628 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-jennifer-devoldere/soit

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

« Boléro, le mystère Ravel » https://fr.wikipedia.org/wiki/Boléro_(film,_2024)est le 19 ème film, de la réalisatrice, scénariste et comédienne franco-luxembourgoise Anne Fontaine . https://fr.wikipedia.org/wiki/Boléro_(film,_2024). Rappelons qu’en 1980 c’est le Boléro de Ravel qui avait été l’une des principaux ingrédients du succès du film de Claude Lelouch, « Les uns et les autres », qui avait rassemblé 3,2 millions de spectateurs.

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Il s’agit d’une coproduction entre la France (95%) et la Belgique (5%) pour un budget de 12,4 millions €, soit 2,4 fois le budget moyen des films de fiction français en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ C’est le 3ème budget le plus élevé des films français sortis depuis le début de l’année.

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération de la  réalisatrice est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Cela revient à 10% de plus que le budget moyen des réalisateurs en 2023. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Il s’agit d’une adaptation du livre « Maurice Ravel »  de Marcel Marnat, dont les droits  ont été acquis pour 58 000€. La réalisatrice a écrit le scénario avec Claire Barré pour 368 000 €. Le budget de ce scénario est donc plus du double du budget moyen des films de l’année dernière. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 197 000 €, soit 90% de ce qu’ils ont reçu en moyenne en 2023. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs délégués sont  Ciné-@(Philippe Carcassonne)  et Cinéfinances Studio (Julien Déris). Cinéfrance Studio (Julien Déris), SND, F Comme Films (Jean-Louis Livi) et France 2 sont coproducteurs. Le film a bénéficié de 700 000 € d’avance sur recettes. Netflix et France 2 l’ont préacheté. Deux soficas, dont une garantie, y ont investi.

SND est le distributeur. Il a donné quatre minima garantis séparés. Un pour les salles, un autre pour le vidéo, la vod et la s-vod, un troisième pour la télévision et un quatrième pour l’international. SND va-t-il poursuivre sa série de succès, notamment après « Cocorico » qui en est déjà à plus de 1,4 millions d’entrées et se dirige vers les 2 millions. https://siritz.com/cinescoop/cocorico-pour-le-demarrage-de-cococico/ Le producteur belge est Artemis Productions (Pascal Quinet) qui a bénéficié du Tax shelter.

Le précédent film d’Anne Fontaine était « Présidents https://fr.wikipedia.org/wiki/Présidents#:~:text=Présidents%20est%20un%20film%20français,politiques%20de%20bords%20politiques%20opposés. Il était sorti le 30 juin 2021 et  avait rassemblé 431 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-dune-realisatrice/Il était produit par Philippe Carcassonne (Ciné-@) pour un budget de 4,5 millions €. Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Elle avait écrit le scénario pour 150 000 € et les deux rôles principaux avaient reçu 297 000 €. Universal Pictures International avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

La comédie “Cocorico » https://fr.wikipedia.org/wiki/Cocorico_(film) est le second film réalisé par Julien Hervé qui a co-scénarisé plusieurs grands succès tels « Asterix et Obelix-l’empire du milieu », « Les Tuches 4 », https://fr.wikipedia.org/wiki/Julien_Hervé#:~:text=Julien%20Hervé%2C%20né%20à%20Cholet,Philippe%20Mechelen%20et%20Benjamin%20Morgaine. Il a démarré en tête des films de la semaine avec plus de 63 000 entrées le premier jour. C’est ce qu’on appelle typiquement un film pour la profondeur puisque la France fait près de 9 fois la fréquentation de Paris.

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Son budget prévisionnel est 10 millions €, soit presque le double du budget moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 350 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, ce qui revient à 2,6 fois le budget moyens des réalisateurs de films français de fiction. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/Il a écrit le scénario pour 490 000 €, soit près de deux fois et demi le budget moyen des scénarios en 2023. Les rôles principaux ont reçu 1,2 millions € soit 6 fois la moyenne de ce qu’ils ont reçu en 2023 https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/ , et les place largement en tête des rémunération depuis le début de l’année.

Les producteurs délégués sont White and Yellow Films (Julien Hervé) et SND. M6 est coproducteur. Canal+, Ciné+, M6 (2 passages) et W9 l’ont préacheté. SND a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution. La société Belge Belga Films (Christophe Toulemonde) est coproducteur à 4%.

Julien Hevré avait coréalisé « Doudou » avec Philippe Michelin https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Doudou Cette comédie était sorti le 20 juin 2018. Elle avait un budget prévisionnel de 6,7 millions €. Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération des réalisateurs était de 350 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Pour le scénario ils avaient reçu 490 000 € et les rôles principaux aveint reçu 420 000 €. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-mechelon-et-herve/

Les producteurs étaient Eskwad et Pathé. TF1 étai coproducteur. Canal+, Multithématiques, TF1 et TMC l’avaient préacheté.  Pathé avait donné un minimum garanti. Le film avait rassemblé 402 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Un coup de dés » , https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_coup_de_dés, est un thriller dont Yvan Attal est à la fois réalisateur, scénariste, interprète et producteur. C’est son 9ème long métrage en tant que réalisateur. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yvan_Attal

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Son budget prévisionnel est 6,6 millions €, ce qui est 30% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération d’Yvan Attal est de 300 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 2,2 fois la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a coécrit le scénario avec Yaël Langmann et ils se sont partagés 330 000 €, soit deux tiers de plus que le budget moyen des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux, dont lui, se sont partagés 213 000 €, comme la moyenne des rôles principaux en 2023. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Curiosa films  (Olivier Delbosc) et Films sous un influence (Yvan Attal) sont producteurs délégués. SND et France 2 sont coproducteurs. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. SND a investi en tant que coproducteur et pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film d’Yvan Attal était également un thriller, « Les choses humaines », sorti le 1er décembre 2021. Il y exerçait déjà ces 4 rôles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Choses_humaines_(film)

Il était tiré du roman de Caroline Thuil, dont les droits d’adaptation avaient été acquis 202 000 € Les producteurs délégués et les scénaristes étaient les mêmes. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-yvan-attal/

Le budget prévisionnel du film était de 7,9 millions €. Pour la préparation, 43 jours de tournage et la post-production la rémunération d’Yvan Attal  était de 450 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Les scénaristes avaient reçu 335 000 € et les rôles principaux 161 000 €. Gaumont avait donné un minimum garanti pour tous les mandats. Le film avait rassemblé 182 000 spectateurs.

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« La Tresse » est le 3ème long métrage réalisé par Laetitia Colombani qui est également actrice de nombreux films et auteur de romans. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lætitia_Colombani Ce film est d’ailleurs tiré de son roman « La Tresse » qui a vendu 2 millions d’exemplaires en France et qui a été un succès mondial. Ce best-seller porté au cinéma vise à devenir un blockbuster français.

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C’est une coproduction, tournée en anglais, entre la France (54%), l’Italie (21%), le Canada (21%) et la Belgique (2%) pour un budget prévisionnel de 8 millions €.  C’est deux tiers de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 64 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 128 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu moins que la moyenne de la rémunération des réalisateurs de films français de fiction. Les droits d’adaptation ont été acquis pour 200 000 € et la réalisatrice a écrit le scénario avec Sarah Kaminski  pour 114 000 €. Le budget du scénario est donc supérieur d’un peu plus de 50% au budget moyen des scénarios des films de fiction français. Les rôles principaux ont reçu 153 000 €, ce qui revient à trois quart de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films de fiction.

Les producteurs français sont Moana Films (Marc Missonnier) et Curiosa Films (Olivier Delbosc). SND et France 2 sont coproducteurs. Canal+, Ciné+ ou OCS, ainsi que France 2 l’ont préacheté. SND a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et S-Vod et un autre pour le mandat ventes internationales.

En Italie le producteur est Indigo Film (Nicola Guiliano, Francesca Cima et Carlotta Calori) qui a bénéficié du crédit d’impôt et du soutien d’Apulia Film fund. Sky et Rai Cinéma l’ont préacheté. Au Canada le film est produit par Forum Films (Richard Lalonde) qui a bénéficié du Crédit Fédéral et du Crédit Provincial. Le producteur Belge est Panache Productions qui a investi son Tax shleter.

Le précédent film de Laetitia Colombani était « Mes stars et moi », sorti le 29 octobre 2008. Il était produit par Nord Ouest films  pour un budget prévisionnel de 7,6 millions €. StudioCanal avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution. Le film avait rassemblé 334 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« L’Abbé Pierre-Une vie de combats », un film qui est une biographie de ce véritable héros, est le 4ème long métrage de Frédéric Tellier. https://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Tellier

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Il est produit par Wy Productions (Wassim Béji) et SND films (Thierry Desmichelle) pour un budget prévisionnel de 14,9 millions €. C’est le 12ème budget le plus élevé des films de fiction français sortis depuis le début de l’année et c’est plus de trois fois le budget moyen de ces films. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 53 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 270 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est deux fois la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. Il a écrit le scénario avec Olivier Gorce et ils se sont partagés 223 000 €. Là encore c’est juste un peu plus que le double du budget moyen des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 325 000 €. C’est 50% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

M6 Studio et France 3 sont coproducteurs. Le film a bénéficié du soutien de l’Angoa et de  l’aide automatique à la Création Visuelle et Sonore y a été investie. La région Ile de France a apporté son aide remboursable. Canal+ et France 3 l’ont préacheté. SND a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent de Philippe Tellier était « Goliath » sorti le 9 mars 2022. https://fr.wikipedia.org/wiki/Goliath_(film)

Produit par Single man production le film avait un budget prévisionnel de 11,2 millions €. C’était une coproduction entre la France (90%) et le Belgique (10%)Pour la préparation, 44 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 120 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Canal+ avait donné un minimum garanti en échange de tous les mandats. Le film avait rassemblé 790 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Pour la première fois, dans « La Petite », Fabrice Luchini apparait dans un rôle dramatique. C’est 15ème long métrage de Guillaume Nicloux, romancier, scénariste et réalisateur, qui change constamment de genre. https://fr.wikipedia.org/wiki/Guillaume_Nicloux

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Il s’agit, comme pour « Acide » , d’une coproduction entre la France (85%) et sa Belgique (15%)  pour un budget prévisionnel de 7,4 millions €, soit 50% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction Français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/

Pour la préparation, 29 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 180 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Soit 40% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Il s’agit d’une adaptation du roman de Fanny Chesnel (Le berceau) dont les droits ont été acquis pour 108 000 €. Guillaume Nicloux a écrit le scénario avec cette dernière pour 234 000 €. C’est dire que le budget du scénario est de 342 000 €, soit 55% de plus que le budget moyen de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/ Les rôles principaux ont reçu 329 000 €, soit 60% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/

Le producteur Français est Les films du kiosque (François Kraus et Denis Pineau-Valencienne). SND et France 2 sont coproducteurs. 3 soficas y ont investi. La région Aquitaine et le Département de la Gironde lui ont apporté leur soutien. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. SND a donné un minimum garanti pour tous les droits de distribution France et les ventes à l’étranger.

Le producteur Belge est Umédia (Adrian Politowsky) qui a bénéficié du Tax shelter.

Le précédent film de Guillaume Nicloux était « La Tour », sorti le 8 février 2023. C’était un film de genre. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Tour_(film,_2022)

Il était produit par Unité & Les Films du Worso pour un budget prévisionnel de 2,4 millions €. Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 80 000 €, dont 45000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 35 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 75 000 € et les rôles principaux avaient reçu 7 000 €. Le film avait bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes. Wild bunch avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution. Le film avait réalisé 32 000 entrées.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Visions » est le 5ème long métrage de Yann Gozlan. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yann_Gozlan Comme son précédent film c’est un suspens, mais d’un genre différent.

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https://fr.wikipedia.org/wiki/Visions_(film,_2023)

Il est produit par Eagle Teams Entertainment (Éric Neubot) et 24 25 Films (Thibault Gast et Matthias Weber) pour un budget prévisionnel de 10 millions €, ce qui le situe au 15ème rang des budgets prévisionnels des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/

Pour la préparation, 54 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Il a écrit le scénario avec Michel Fessler, Aurélie Valat, Jean-Baptiste Delafon, avec la participation d’Audrey Diwan . Ils ont reçu 398 000 €, ce qui les situe au 12ème rang des budgets des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/Quant aux rôles principaux ils ont reçu 265 000 €, soit 30% de  plus que ce que les rôles principaux ont reçu en moyenne pour ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/

Les producteurs ont investi leur salaire, leurs frais généraux et du soutien automatique. SND et France 2 sont coproducteurs. Une sofica adossée y a investi. La région Sud et le département des Bouches-du-Rhône lui ont apporté leur aide.

OCS a préacheté le premier passage, Canal+ le second et France 2 le troisème. SND a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent film de Yann Gozlan était « Boite noire », sorti le 8 septembre 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-yann-gozlan/ Il était produit par Why Productions et 24 25 films  pour 19,6 millions €.

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 240 000 €, dont 100 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 140 000 € de salaire de technicien. Le film, distribué par StudioCanal, avait rassemblé 1,9 millions de spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « KOMPROMAT »

C’est son 6ième film. https://siritz.com/editorial/recul-structurel-du-nombre-de-blockbusters/

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Il en est le producteur délégué par sa société Super 8 production pour un budget de 8,2 millions €.

Pour la préparation, 44 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 370 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est plus du double de la rémunération des réalisateurs de films français de fiction déjà sortis en 2022. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs/

Il en a écrit le scénario, qui est tiré d’une histoire réelle,  avec Caryl Férey et ils se sont partagés 302 000 €. C’est un des rares cas où le budget du scénario est inférieur à la rémunération du réalisateur.

SND est coproducteur. Il est aussi distributeur, avec un minimum garanti lui donnant tous les mandats mondiaux. France 2 est également coproducteur.

Canal+, Multithématiques et France 2 ont acheté un passage. La Lithuanie est coproducteur grâce un tax shelter.

Le précédent film de Jérôme Salle était « L’odyssée » sur la vie du commandant Cousteau, sorti le 12 octobre 2016. Il était produit par la Pan-Européenne  pour un budget prévisionnel de 20,8 millions €.

C’était une adaptation des livres « Capitaine de la Calypso » d’Albert Falco et Yves Paccalet et « Mon père le commandant » de Jean-Michel Cousteau  dont les droits avaient été acquis pour 596 000 €.

Pour la préparation, 58 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 205 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Jérôme Salle avait écrit le scénario  pour  380 000 €.

Le film était coproduit par Wild Bunch et TF1.

Canal+, OCS avaient acheté un passage et TF1 deux passages.

Wild Bunch avait donné un minimum garanti pour tous les mandats monde.

Le film avait rassemblé 1 255 000 entrées en France.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LA PAGE BLANCHE »

Celle qui s’est jusqu’ici consacré à l’écriture (pièces de théâtre, séries, romans) réalise son premier film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Murielle_Magellan

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Il est produit par Reginald de Guillebon   (Partners in crime )& Marion Delord (Folimage animation) pour un budget prévisionnel de 2,7 millions €.

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 46 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.C’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs/

En fait il s’agit de l’adaptation de la bande dessinée de Pénélope Bagieu et Boulet dont les droits ont été acquis pour 65 000 €. Pour l’écriture du scénario la réalisatrice a reçu 70 000 €. Le scénario a donc coûté 135 000 €, montant plus élevé que la rémunération de la réalisatrice et légèrement supérieur à la rémunération médiane des scénarios.https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-2/

Le film est coproduit par SND et une sofica y a investi. OCS a préacheté deux passages. SND a donné un minimum garanti pour tous les mandats monde.

Le précédent film pour lequel Murielle Magellan était scénariste était « Profession du père », sorti le 28 juillet 201. Il était réalisé par Jean-Pierre Améris qui avait co-écrit le scénario avec elle. Ils avaient reçu 200 000 € pour ce scénario. C’était l’adaptation du roman éponyme de Sorj Chalandon qui avait été acquis pour 118 000 €. Le film était distribué par Ad vitam et, sorti dans 275 salles, avait rassemblé 37 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.