Archive d’étiquettes pour : Le Pacte

Le deuxième long métragehttps://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=262999.html, réalisé pour le cinéma  par le scénariste Dominique Bompard est la comédie« Les règles de l’art » .https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Règles_de_l%27art_(film.: Les règles du casse du siècle.

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Dominique Bompard

Son budget prévisionnel est 2,4 millions €, soit 60% du budget prévisionnel des films de français de fiction sortis l’année dernière. https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/ Pour  la préparation, 25 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 35 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 20 000 € de salaire de technicien. C’est 40% de la rémunération médiane des réalisateurs. Il a écrit le scénario avec Vincent Charbit pour 85 000 €, ce qui revient à 85% du budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 105 000 €, soit un peu moins que leur rémunération médiane.

Le producteur délégué est SRAB Films (Christophe Barral et Toufik Ayadi). Les films Velvet, Les films de Pierre et Rectangle productions sont coproducteurs. Le film a bénéficié d’une aide remboursable de la région Ile de France. OCS et Amazon l’ont préacheté. Le Pacte lui a accordé un minimum garanti pour les mandats de distribution en France et Goodfellas pour le mandat de vente à l’étranger.

Le premier film réalisé par Dominique Baupard était « Les Méchants ». Il l’avait réalisé avec Mouloud Achour et son budget prévisionnel était 2,6 millions €. Il était sorti en 2021. SRAB Films était déjà son producteur délégué et le Pacte le distributeur. Il avait rassemblé 138 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 15 ans d’archives.

Le 8ème long métrage (dont un documentaire) réalisé pour le cinéma par Michel Leclerc https://fr.wikipedia.org/wiki/Michel_Leclerc_(réalisateur) est « Le mélange des genres » https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mélange_des_genres, une comédie policière chez Me#Too.

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Michel Leclerc

Son budget prévisionnel est 4,6 millions €, soit 85% du budget prévisionnel moyen des films français de fiction sortis en 2024. https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/ Pour la préparation, 33 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, ce qui correspond à 15% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs. Il a écrit le scénario pour 103 000 € avec la réalisatrice Baya Kasmi https://siritz.com/cinescoop/fin-de-voyage-pour-une-famille-en-marge/. C’est le budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 326 000 €, soit 45% de plus que leur rémunération moyenne.

Le producteur délégués est Agat Films/Ex Nihilo (Patrick Sobelman, Marie Balducchi, Nicolas Blanc et Marc Bordure). France 2 cinéma est coproducteur. 4 sofica non garanties y ont investi. La région Bourgogne-Franche Comté l’ont soutenu. Canal+, Ciné + et France 2 l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti et dispose de tous les mandats de distribution.

Le précédent film de Michel Leclerc était « Des Goûts et des Couleurs », sorti en 2022, et dont le budget était 2,8 millions €. Mandarin et Cgie était le producteur délégué et Pyramide distribution le distributeur. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-michel-leclerc/Le film avait rassemblé 64 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 15 ans d’archives.

Pour son premier long métrage « Prosper » https://fr.wikipedia.org/wiki/Prosper_(film)Yohann Gloaguen https://www.unifrance.org/annuaires/personne/338858/yohann-gloaguen réalise une comédie policière fantastique pour Zadig.

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Yohann Gloaguen

Son budget prévisionnel est 2,6 millions €, ce qui correspond à deux tiers du budget prévisionnel médian des films de fiction français sortis en 2024. https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/ . Pour  la préparation, 35  jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 40 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien. Le scénario a été écrit par Dominique Baumard, Thierry Lounas, Claire Bonnefoy, Léo Noel pour 67 500 €, soit deux tiers du budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 64 000 €, soit les deux tiers de leur rémunération médiane.

Les producteurs délégués sont Capricci production (Thierry Lounas) & Douze doigts productions (Camille Moulonguet et Jean-Pascal Zadig). France 2 cinéma est coproducteur. La région Ile de France a apporté une aide remboursable. Une sofica garantie y a investi. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti en parti financé par une sofica adossée pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film distribué par Le Pacte était « Le quatrième mur », réalisé par David Oelhoffen et sorti en janvier dernier. Son budget prévisionnel était 3,6 millions € et il avait rassemblé 92 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/la-puissance-de-lart-et-la-realite-de-la-vie/

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Dans son deuxième long métrage, « Planète B », https://fr.wikipedia.org/wiki/Planète_B Aude-Léa Rapin https://fr.wikipedia.org/wiki/Aude_Léa_Rapin décrit un univers carcéral dystopique pour militants.

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Aude-Léa Rapin  

Cette coproduction entre la France (90%) et la Belgique (10%) a un budget prévisionnel de 5,6 millions €, légèrement supérieur au budget prévisionnel moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/Pour la préparation, 43 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 90 000 €, dont 40 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 50 000 € de salaire de technicien. C’est la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/ Elle a écrit le scénario pour 76 000 €, ce qui correspond également au budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/Les rôles principaux ont reçu 185 000 €, soit 90% de ce qu’ils ont reçu en moyenne. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Le financement du film

Le producteur délégué est Les Films du Bal (Ève Robin et Benoit Roland). La région Auvergne Rhône-Alpes et France 3 cinéma sont coproducteurs. Trois sofica y ont investi. Le film a bénéficié de 650 000 € d’avance sur recettes, de l’aide au développement du CNC, du slate media d’Euromedia et du soutien de la région Sud. OCS, Netflix et France 3 l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution en France et OCS pour le mandat de vente à l’étranger.

Le producteur Belge est Wrong men (Benoît Roland) qui a bénéficié du Tax shelter et du soutien de Wallonie Bruxelles. 3 chaînes belges l’ont pré-acheté.

Le premier film de Aude-Léa Rapin était « Les héros ne meurent jamais », sorti en 2020. Tourné en Bosnie il avait un budget prévisionnel de 1 million d’euros. Il était produit par Les Films du Worso et Le Pacte était le distributeur. Il avait rassemblé 10 000 spectateurs.

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Le 8ème long métrage de July Delpy, « Les barbares », est une comédie sur un sujet d’actualité : l’immigration. Elle en est également l’interprète. C’est le 8ème long métrage qu’elle réalise.

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July Delpy

Son budget prévisionnel est de 4,8 millions d’entrées. C’est le budget prévisionnel moyen des films français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/budget-moyen-peut-donner-un-gros-b-o/

Pour la préparation, 27 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 10% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Elle a écrit le scénario pour 161 000 €, soit 80% du coût moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 255 000 €, soit 20% de plus que ce qu’ils reçoivent en moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est The Film (Michaël Gentille). Le Pacte est coproducteur. 2 sofica garanties et 6 non garanties y ont investi. Le film a bénéficié d’une aide au développement du CNC. Canal+ et Disney + l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vad, et étranger.

Le précédent film réalisé par Julie Delpy était « My Zoe », sorti en 2021. Son budget prévisionnel était de 4,7 millions € et son distributeur était Bac Films. Il avait rassemblé 15 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-julie-delpy/

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

 

Ce 6ème film du réalisateur Stéphane Demoustier,, https://fr.wikipedia.org/wiki/Stéphane_Demoustier#:~:text=Cofondateur%20de%20la%20société%20de,Demoustier%20(créatrice%20de%20bijoux), inspiré d’un double assassinat près de Bastia, fait grincer des dents la Corse car le procès des accusés n’a pas encore eu lieu. https://fr.wikipedia.org/wiki/Borgo_(film)

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Stéphane Demoustier

Son budget prévisionnel est de 3,8 millions €, soit un peu plus que le budget prévisionnel médian des films français de fiction sortis en 2023. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 112 000 €, dont 73 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 39 000 € de salaire de technicien, soit 80% de la rémunération moyenne des réalisateurs l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/. Il a écrit le scénario pour 90 000 €, ce qui revient à 90% du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 40 000 € ce qui est la moitié de leur rémunération médiane. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur est Petit Film (Jean des Forêts). France 3 est coproducteur. Le film a bénéficié de 560 000 € d’avance sur recettes. La Procirep et l’Angoa lui ont apporté leur soutien ainsi que la région Corse. Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et Charades pour le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film de Stéphane Demoustier était « La fille au bracelet », sorti le 12 février 2020. Il avait le même producteur et le même distributeur. Il avait bénéficié de 350 000 € d’avance sur recettes et France 3 était coproducteur. Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur ava été de 10 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

Le film avait rassemblé 324 000 spectateurs.

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« Comme un fils »https://fr.wikipedia.org/wiki/Comme_un_fils, dans lequel un enseignant cherche à sauver un jeune délinquant, est le 9ème film réalisé par Nicolas Boukhrief. https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Boukhrief

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Nicolas Boukhrief

Il a un budget de 3,1 millions €, soit 90% du budget prévisionnel médian des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 28 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, ce qui revient à 75% de la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario avec Éric Besnard pour 150 000 €, soit trois quarts du budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 100 000€ ce qui revient à un quart de plus que leur rémunération médiane l’année dernière.

Le producteur délégué est Eskwad (Richard Grandpierre). Une sofica adossée y a investi. La région Ile de France l’a soutenu. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution salle et un autre pour les mandats vidéo, vod et s-vod. Wild Bunch en a donné un pour le mandat de distribution internationale.

Le précédent film de Nicolas Boukhrief était le drame psychologique « Trois jours et une vie «, sorti en France le 18 septembre 2019.  Il s’agissait d’une coproduction entre la France (58%) et la Belgique (42%) pour un budget prévisionnel de 7,2 millions €.

Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 250 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il s’agissait d’une adaptation du roman éponyme de Pierre Lemaitre, dont les droits d’adaptation avaient été acquis 75 000 €. Le réalisateur avait écrit le scénario avec Perrine Margaine pour 225 000 €.

Les producteurs français étaient MAHI films (Julien Colombani) & Gaumont (Sidonie Dumas). France 3 était coproducteur. Canal+, Multithématiques et France 3 l’avaient préacheté. Gaumont avait donné un minimum garanti pour tous mandats de distribution France et un autre pour le mandat international. Le producteur belge était Umedia (Adrian Politowski) qui avait bénéficié du Tax shelter et du soutien de Wallimage. En France le film avait rassemblé 100 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Ladj Ly, le réalisateur de « Les Misérables » (Prix du Jury du Festival de Cannes 2019, 4 Césars, dont Meilleur film, en 2020) revient avec son troisième film, « Bâtiment 5 », qui sort en salle demain. Comme son premier film c’est un véritable coup de poing. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ladj_Ly

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Il est produit par SRAB Films (Christophe Barral et Toufik Ayadi) pour un budget prévisionnel de 9,3 millions €. C’est presque le double du budget prévisionnel des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/ilms pour un budget prévisionnel de

Pour la préparation, 42 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 450 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 3,3 fois la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films de fiction. Il a écrit le scénario et ils se sont partagés 500 000 €. C’est deux fois et demi le budget moyen des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 293 000 €. C’est 40% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

France 2 est coproducteur du film qui a reçu 550 000 € d’avance sur recettes. 8 soficas y ont investi. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et S-Vod. Wild Bunch international en a donné un pour le mandat de vente international.

Les sociétés  belges Panache production (André Logie) & La Cie Cinématographique (Gaetan David) sont également coproducteurs.

« Les Misérables » était sorti en salle le 20 novembre 2019. Il était déjà produit par SRAB Films pour un budget prévisionnel de 2,1 millions €. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-du-realisateur-ladj-ly/ Le film était distribué par Le Pacte. La rémunération du réalisateur pour 28 jours de tournage était de 60 000 €. Le films avait rassemblé près de 2,2 millions de spectateurs.

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« Un métier sérieux », le nouveau film de Thomas Lilti, qui sort demain en salle, est-il parti pour être de nouveau millionnaire en spectateurs ? C’est sont 5ème film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Lilti

Ce médecin qui s’est lancé dans la réalisation a tout d’abord rencontré le succès avec deux films sur des médecins, « Hippocrate » (954 000 spectateurs) et « Médecin de campagne » (1 511 000 spectateurs), avant de le renouveler avec un film sur des étudiants en médecine, (1 015 000 spectateurs). Cette fois-ci ses héros sont des enseignants.

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Comme ses précédents films celui-ci se situe dans la limite supérieure des budget prévisionnels moyens des films français de fiction sortis depuis le début de l’année : 7,5 millions €. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/ Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 500 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est la 4ème rémunération la plus élevée de réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/

Il a écrit le scénario pour 250 000 €. C’est 10% de plus que le budget moyen des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/ Les rôles principaux ont reçu 353 000 €. C’est 70% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/

Les producteurs délégués sont 31 juin Films et les Films du Parc (Agnès Vallée et Emmanuel Barrault). Les Films de Benjamin (Thomas Lilti), Le Pacte et France 2 sont coproducteurs. 9 soficas, dont une garantie, y ont investi. Les régions Ile de France et Normandie ont apporté leur soutien. Canal +, Ciné+ et France 2 (2 passages) l’ont pré-acheté. Le Pacte a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent film de Thomas Lilti, « Première année », était sorti le 12 septembre 2018. Son budget était de 6,1 millions €. Il avait les mêmes producteurs et les mêmes coproducteurs. Le Pacte était déjà distributeur. Pour la préparation, 46 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 250 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il vient donc de doubler sa rémunération.

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Le distributeur Jean Labadie (Le Pacte) n’a pas hésité à choisir le 23 août, une période réputée creuse pour la fréquentation des films Français pour sortir « Anatomie d’une chute », la Palme d’or du Festival de Cannes, réalisé par Justine Triet. C’est un pari jugé audacieux par ses confrères puisqu’il est le seul film français à avoir choisi cette date. Il n’a pas eu tort puisque le film a rassemblé 260 000 entrées spectateurs dans 670 salles pour son premier week-end. Il est donc parti pour largement plus du million d’entrées, ce qui est très confortable pour un film pour lequel le distributeur n’a donné que 300 000 € de minimum garanti.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

A 45 ans c’est le 4ème film que Justine Triet a réalisé. Dès sa première diffusion il avait été considéré comme l’un des grands favoris du Festival. https://fr.wikipedia.org/wiki/Justine_Triet 

Il est produit par Les Films de Pierre (Marie-Ange Luciani) et Les Films Pélléas (Philippe Martin et David Thion) pour un budget prévisionnel de 6,2 millions € .https://fr.wikipedia.org/wiki/Anatomie_d%27une_chute . C’est  un quart de plus que le budget moyen des films Français de fiction sortis depuis le début de l’année jusqu’au 19 juillet.  https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 45 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 25% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Elle a écrit le scénario avec Arthur Harari et ils se sont partagés 147 000 €. C’est deux tiers du budget moyen des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/ Les rôles principaux ont reçu 253 000 €. C’est 22% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/Il est probable que la réalisatrice et le co-scénariste recevront des rémunérations complémentaires substantielles proportionnelles aux résultat du film.

Ce dernier a bénéficié de 500 000 € d’avance sur recette du CNC. France 2 est coproducteur et 6 soficas y ont investi. Les régions Rhône-Alpes et Aquitaine ont apporté leur soutien ainsi que la Charente-Maritime. Canal+, Ciné+ et France 2 ont effectué un pré-achat. Le Pacte a donné un minimum garanti pour la distribution en France et MK2 international pour la distribution à l’étranger.

Le premier film réalisé par Justine Tiriet était « La bataille de Solférino », sorti en salle le 18 septembre 2013. Il était produit par Ecce films pour une budget prévisionnel de 842 000 €. Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice  était de 31 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 21 000 € de salaire de technicien. Elle avait écrit le scénario pour 10 000 €. Le film avait bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes. Distribué par Shellac il avait rassemblé 37 000 spectateurs.

Son second film était « Victoria », sorti le 14 septembre 2016. https://fr.wikipedia.org/wiki/Victoria_(film,_2016) Il était encore produit par Ecce films pour un budget prévisionnel de 4 millions €. Le film avait bénéficié de 550 000 € d’avance sur recettes.

Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 144 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Elle avait écrit le scénario pour 135 000 €. Distribué par Le Pacte le film avait rassemblé 657 000 spectateurs.

675 000 spectateurs pour son précédent film

Le troisième film de Justine Triet état « Sybil », sorti le 24 mai 2019 était produit par Les Films Péléas, pour un budget prévisionnel de 6,2 millions €. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-la-realisatrice-justine-triet-realisatrice/ Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 94 000 €, dont 45 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 49 000 € de salaire de technicien.

Elle avait écrit le scénario avec Arthur Harari et ils s’étaient partagés 166 000 €. Distribué par le Pacte le film avait rassemblé 310 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.