Archive d’étiquettes pour : Haut et court

Le premier film réalisé par Simon Bouissou https://fr.wikipedia.org/wiki/Simon_Bouisson est « Drone », sorti le 2 octobre dernier.https://fr.wikipedia.org/wiki/Drone_(film,_2024)#:~:text=Drone%20est%20un%20film%20français,premier%20long%20métrage%20du%20réalisateur.&text=Logo%20de%20l’affiche%20du%20film.&text=Pour%20plus%20de%20détails%2C%20voir%20Fiche%20technique%20et%20Distribution : Surveillée par un drone, une jeune fille se demande s’il s’agit d’un drone protecteur ou menaçant ? Il a rassemblé 10 700 entrées cette première semaine et perdu 70% de ses spectateurs en deuxième seemaine.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Sylvain Bouissou

Son budget prévisionnel est de 4,8 millions €, soit exactement le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/budget-moyen-peut-donner-un-gros-b-o/

Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit deux tiers de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario pour 118 000 €, ce qui est 20% au-dessus du budget médian des scénarios.https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/. Les rôles principaux ont reçu 72 000 € ce qui correspond à 90% de leur rémunération médiane. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est Haut et court (Caroline Benjo et Carole Scotta). France 2 et Orange studio sont coproducteurs. Le film a bénéficié de l’aide du CNC aux créations visuelles et sonores. L’Ile de France lui a apporté son soutien. Une sofica y a investi. Canal+, Disney +, Ciné + et France 2 l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution en France et Orange studio international a le mandat de vente à l’étranger sans minimum garanti.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Maria », le 3èmelong métrage pour le cinéma réalisé par Jessica Palud, https://fr.wikipedia.org/wiki/Jessica_Palud, raconte le tournage du dernier Tango à Paris vu par la comédienne Maria Schneider.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Maria_(film_français,_2024)

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Jessica Palud

Cette coproduction entre la France (94%) et la Belgique (6%) a un budget prévisionnel de 3,7 millions €. C’est un peu plus que le budget médian des films français de fiction sortis l’année dernière. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/ Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 46 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est deux tiers de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/

Il s’agit d’une adaptation du roman « Tu t’appelais Maria Schneider » de Vanessa Schneider, DONT les droits ont été acquis pour 120 000 €. La réalisatrice a écrit le scénario avec Laurette Polmanss pour 106 000 €. Le coût global du scénario est 10% de plus que leur coût moyen. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/ Les rôles principaux ont reçu 153 000 €, soit 80% de ce qu’ils ont reçu en moyenne. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Le producteur délégué est Les films de Mina (Marielle Duigou). Le studioCanal et un pool de producteurs sont coproducteurs. Une Sofica y a investi. Le film a bénéficié de 100 000 € d’avance sur recettes après réalisation. Le CNC et la Sacem lui ont donné une aide à la musique de film. La Procirep, l’Angoa  et la Région Bretagne lui ont apporté leur soutien. OCS et Ciné+ l’ont préacheté. Haut et Court lui a donné un minimum garanti pour le mandat salle. StudioCanal a tous les autres mandats. Scope pictures est le coproducteur belge.

Le précédent film réalisé par Jessica Palud était « Revenir », sorti le 29 janvier 2020 et dont le budget prévisionnel était 1,6 millions. https://fr.wikipedia.org/wiki/Revenir_(film) Il était produit par Fin Août Productions et avait été distribué par Pyramide. Le film avait rassemblé 44 000 entrées.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article. www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 240 000 €, dont 140 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 100 000 € de salaire de technicien.

“Quitter la nuit” https://fr.wikipedia.org/wiki/Quitter_la_nuit est un film dur sur les violences sexuelles. C’est le premier long métrage de la belge Delphine Girard, dont le court métrage, « Une sœur », sur le même thème avait été nommé pour Oscar du meilleur court-métrage en 2020. https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Girard

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Delphine Girard

Il s’agit d’un film Belge (70%) en coproduction avec la France (15%) et le Canada (15%) pour un budget prévisionnel de 3,2 millions €, soit 90% du budget médian des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 35 jours de tournage en Belgique et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 10% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Elle a écrit le scénario pour 120 000 €, soit 20% de plus que le budget médian des scénarios des films français. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 87 000 €, soit 10% de plus que leur rémunération médiane. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué Belge est Versus Production (Jacques-Henri Bronckart). Il a bénéficié du Tax shelter ainsi que du soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles , du VAF, de Wallimage, du Screen Brussells Fund, d’Europe Creative Media et d’Eurimages

RTBF, Proximus, Be TV sont coproducteurs et l’ont pré-acheté.  O’Brother a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en Belgique.

Le producteur français est Haut et Court qui a bénéficié du soutien d’Eurimages. Un  Pool sofica a investi. Haut et court a donné un minimum garanti pour la distribution en salle.

Le producteur canadien est Colonelle Films (Fanny Drew, Sarah Mannering).Mel Studio est coproducteur.Le film a bénéficié du Tax Credit Federal et du Tax Credit Quebec. Il a bénéficié du soutien de la Sodec, de Téléfilm Canada et d’Eurimages. Entract  a donné un minimum garanti pour la distribution.

Playtime a donné un minimum garanti pour le mandat de vente internationale.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Le film d’animation « Sirocco et le royaume des courants d’air » est le premier long métrage réalisé par Benoît Chieux. https://fr.wikipedia.org/wiki/Benoît_Chieux

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Il s’agit d’une coproduction, majoritaire française, avec la Belgique, pour un budget prévisionnel de 4,9 millions €. C’est le budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, la fabrication et la post-production la rémunération du réalisateur est de 142 000 €, dont 46 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 96 000 € de salaire de technicien. C’est un peu plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario avec Alain Gagnol pour 65 000 €, soit le tiers du budget des scénarios des films de fiction.

Les producteurs français sont Sacrebleu Productions (Ron Dyens) et Ciel de Paris (Cilvy Aupin et Jonathan Martinot). La région Auvergne Rhône-Alpes Cinéma et Kinology sont coproducteurs. 5 soficas y ont investi. Le CNC a apporté une aide  au développement, une aide au pilote pour la Création et une aide à la musique. La Sacem a accordé une aide à la musique et Procirep/Angoa une aide à à la production.

Les régions Grande Est, Sud, Réunion et Centre Val de Loire lui ont apporté leur soutien. Canal+ l’a préacheté, Haut et Court a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et Kinology un minimum garanti pour le mandat de vente à l’étranger.

Le producteur belge est Take five (Alon Knoll et Grégory Zalcman). Il a bénéficié du tax shelter. La Fédération Wallonie-Bruxelles image et Screen Bruxelles lui ont apporté leur soutien. La RTBF l’a préacheté

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LES ALGUES VERTES »

Ce thriller dramatique est son 19ème film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Jolivet

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par 2.4.7 FILMS (Marc-Antoine Robert et Xavier Rigault) pour un budget prévisionnel de 3,6 millions €. C’est 70% du budget moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 72 000 €, dont 34 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 38 000 € de salaire de technicien. C’est 90% de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Il s’agit de l’adaptation de la bande dessinée « Algues vertes, l’histoire interdite » d’Inès Léraud et Pierre Van Hove, dont les droits ont été acquis 40 000 €. Le réalisateur a écrit le scénario avec avec Inés Léraud pour 111 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 100 000 €.

Haut et Court et France 2 sont coproducteurs. Le CNC a accordé des aides à la musique et à l’autodescription, et au développement. Procirep, a accordé son soutien et la Région Bretagne une aide au développement. 2 soficas y ont infesti dont une pour 80% du minimum garanti international. Apollo Films avait donné et le film avait rassemblé 100 000 spectateurs.

Canal+, Ciné + et France 3 l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et vod. Indie sales a investi 20% du minimum garanti pour le mandat international.

Le précédent film de Pierre Jolivet était « Victor & Célia », sorti le 24 avril 2019. Il avait le même producteur pour un budget prévisionnel de 3 millions €. Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 81 000 €, dont 46 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 35 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Eric Combernous et Marie-Carole Ifi pur 127 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 120 000 €.

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POUR LA RÉALISATION DE « NORMALE »

Cette comédie dramatique est son 4ème film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Babinet

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (80%) et la Belgique pour un budget prévisionnel de 4,6 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Normale_(film)

Ce budget prévisionnel correspond à la moyenne des budgets prévisionnels de films français de fiction sortis en 2022. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-films-francais-de-fictio/

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 111 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 20% de moins que la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films.

Il s’agit de l’adaptation de la pièce de théâtre « Monster in the hall » de David Craig dont les droits d’adaptation ont été acquis 44 000€. Le réalisateur a écrit le scénario avec Juliette Sales et Fabien Suarez. Ils se sont partagés 101 000€. C’est 80% du budget moyen des scénarios de ces films.

Les comédiens ont reçu 302 000 €. C’est 50% de plus que pour ces films de l’année dernière.

Le producteur français est Haut et Court (Carole Scotta et Caroline Béjo). France 2 est coproducteur.

Le film a bénéficié de 520 000 € d’avance sur recettes. Eurimages, le CNC (Créations visuelles et sonores) , Media slate funding et Région Ile de France ont apporté leur soutien. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour le mandat salle et MK2 pour le mandat international.

Le producteur Belge est Tarantula (Joseph Rouschop et Valérie Bounonville) qui a bénéficié du Tax shelter ainsi que d’une coproduction et d’un préachat de BeTV/VO, Proximus TV et la RTBF.

La Fédération Wallonie Bruxelles Images, Wallimage et Eurimages ont apporté leur soutien tandis que O’Brothers donnait un minimum garanti pour la distribution au Benelux.

Le précédent film d’Olivier Gourmet était « Poissonsexe », sorti le 2 septembre 2020. C’était une coproduction entre la France (68%), la Belgique (24%) et le Japon (4%) pour un budget prévisionnel de 2,2 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Poissonsexe

Le producteur français était Comme des Cinémas. Pour la préparation, 29 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 56 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Le scénario était écrit avec David Elkaïm pour 55 000.

Le film avait bénéficié de 450 000 € d’avance sur recettes. Une sofica y avait investi. La région Normande, la région Aquitaine et le Département des Landes avaient apporté leur soutien. Canal+ et Multithématiques l’avaient préacheté.

Rezo avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en France où il avait rassemblé 8 000 spectateurs.

Le coproducteur Belge était déjà Tarantula.

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POUR LA RÉALISATION DE « VOUS N’AUREZ PAS MA HAINE »

Cet Allemand a réalisé des séries et des téléfilms. https://fr.wikipedia.org/wiki/Kilian_Riedhof

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Ce film est une coproduction entre la France (16%), l’Allemagne (69%), et la Belgique (15%), pour un budget prévisionnel de 6,4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vous_n%27aurez_pas_ma_haine

Pour la préparation, 33 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 270 000 €, dont 140 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 160 000 € de salaire de technicien. C’est un peu moins du double de la rémunération des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-nouveau-barometre-des-realisateurs/

Il est tiré d’un roman de Antoine Leiris dont les droits ont été acquis 140 000 €. Le scénario a été écrit par : Marc Blobaum, Jan Baren, Stéphanie Kalfon et Kilian Riedhof. Ils se sont partagés 140 000 €. Le budget du scénario est donc bien supérieur au budget moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-2/

En France le film est produit par Haut et Court qui a investi un peu de numéraire. Il a bénéficié du soutien du mini-traité franco-allemand et d’Eurimages.

Une sofica y a investi. Multithématiques et NRD/Arte l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour la distribution salle. Le distributeur pour l’international a donné un minimum garanti qui est pris en compte dans le financement de chaque pays.

En Allemagne le producteur est Komplizen film. NDR/Arte est coproducteur. Il est coproduit par Errftal Film, MCC Moovies (Studio) et Tobis film. Il a obtenu le soutien du fonds régionale de Westphalie,  du Fonds régional de Hambourg, de BKM, de DFFF, du  mini-traité franco-allemand, du FFA fonds de soutien automatique et d’Eurimages.

Tobis Film alleane est distributeur pour l’Autriche.

En Belgique le producteur est Frakas Production qui a bénéficié du Tax Shelter. La RTBF est cooproducteur et a effectué un préachat. De même Proximus a pris les droits vod et pay TV.

Le film a le soutien de Wallimage et d’Eurimages

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

LA RÉMUNÉRATION DE JOHANA HADJITHOMAS § KHALIL JOREIGE

C’est le premier long métrage pour le cinéma de ces deux libanais qui ont déjà réalisé ensemble plusieurs œuvres audiovisuelles.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Joana_Hadjithomas_et_Khalil_Joreige

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C’est une coproduction entre la France (58%), le Canada (26%) et le Liban (16%). Le budget prévisionnel est de 2,5 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Memory_Box

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération des réalisateurs est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

C’est le budget médian des réalisateurs de films français sortis en 2021. Ils ont en outre reçu        62 000 € pour le scénario. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/Celui-ci a été écrit avec Gaëlle Macé qui a reçu 6 000 €.

En France le producteur délégué est Caroline Benjo (Haut et Court). Le film a reçu 550 000 € d’avance sur recettes.

Il a bénéficié du soutien du mini-traité franco-canadien et du CNC pour les Créations visuelles et sonores. 3 soficas y ont investi et TV5 monde l’a préacheté. Haut et Court distribution est le distributeur en salle et en vidéo, en donnant un minimum garanti et en participant à la production.

Le producteur canadien est Micro-Scope Canada qui a bénéficicié du Crédit d’impôt fédéral, et du Crédit d’impôt provincial. Il a reçu le soutien Téléfilm Canada et de la Sodec. Le distributeur est Films Opale distribution.

Le producteur libanais est Abbout Productions. Il a bénéficié du soutien du Arab Fund For Arts and Culture, du Abu dhabi Film Fund  et du Doha Film Institute.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.