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Le 8ème film réalisé par Dominik Moll https://fr.wikipedia.org/wiki/Dominik_Mollest « Dossier 137 », https://fr.wikipedia.org/wiki/Dominik_Moll, une enquête sur les violences policières.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Dominik Moll

Son budget prévisionnel est 6,2 millions €, soit 10% de plus que le budget prévisionnel moyen des films français de fiction de notre dernier baromètre. https://siritz.com/financine/barometre-des-budgets-previsionnels/. Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Là encore c’est 10% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs. https://siritz.com/financine/le-barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/Il a écrit le scénario avec Gilles Marchand pour 200 000 €, soit 10% de plus que le budget moyen des scénarios. La musique a été confiée à Olivier Marguerit pour 51 000 €. C’est 80% des droits musicaux moyens des films français. https://siritz.com/financine/remuneration-des-compositeurs-de-musique/Quant aux rôles principaux leur rémunération est 250 000 €, ce qui revient à 10% de plus que la rémunération moyenne des rôles principaux. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-roles-principaux-en-2025/

Pour bien illustrer la part du budget que la production de «Dossier 137″ a consacré aux quatre principaux postes de l’affiche par rapport à ce qui leur est consacré dans la moyenne des films le tableau ci-dessous est éclairant :

Comme on le voit le poids, en pourcentage du budget total, de la rémunération du réalisateur est légèrement supérieur à celui de la moyenne des films. Celui du budget du scénario et de la rémunération des rôles principaux est légèrement inférieure. Celui de la musique est plus nettement inférieur.

Le producteur délégué est Haut et Court (Carole Scotta, Caroline Benjo, Barbara Letellier et Simon Arnal). France 2 cinéma est coproducteur. Le film a bénéficié de 480 000 € d’avance sur recettes. Europe Creative Media lui a apporté son soutien. Une sofica garantie et cinq sofica non garanties y ont investi. Canal+, Ciné+ et France télévisions l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution en France et un autre pour les ventes à l’étranger.

Le précédent film réalisé par Dominik Moll était « La nuit du 12 », sorti en 2022. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Nuit_du_12. Son producteur était Haut et Court pour un budget prévisionnel 4,1 millions €. Haut et Court et Memento Films le distribuaient. Le film avait rassemblé 545 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Le 6ème film réalisé par Thierry Klifa est inspiré de l’affaire Bettencourt qui avait défrayé la chronique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Thierry_Klifa « La femme la plus riche du monde » est une comédie grinçante sur une histoire vraie. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Femme_la_plus_riche_du_monde_(film,_2025)

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Le budget prévisionnel de cette coproduction entre la France (65%) et la Belgique (35%) est de 4,2 millions €.  C’est 80% du budget prévisionnel moyen de notre dernier baromètre. https://siritz.com/financine/barometre-des-budgets-previsionnels/Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de  55 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien, soit deux tiers de la rémunération médiane des réalisateurs.https://siritz.com/financine/le-barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/

Il a écrit le scénario avec Cédric Anger et Jacques Fieschi pour 243 000 €. C’est 10% de plus que le budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-roles-principaux-en-2025/La musique a été confiée à Alex Beaupain pour 55 000 €, soit 90% de la rémunération des compositeurs de musique de films. https://siritz.com/financine/remuneration-des-compositeurs-de-musique/ Enfin la rémunération des rôles principaux est 400 000 €. C’est 75% de plus que la rémunération des rôles principaux. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-roles-principaux-en-2025/

Pour bien illustrer la part du budget que la production de « La femme la plus riche du monde » a consacré aux quatre principaux postes de l’affiche par rapport à ce qui leur est consacré dans la moyenne des films le tableau ci-dessous est éclairant.

On voit que l’accent est mis sur le scénario et sur les rôles principaux. La rémunération du réalisateur comme le budget de la musique sont très inférieurs à la moyenne.

Le producteur délégué est  Récifilms (Matthias Rubin). Trois Sofica garanties par lui et 4 sofica non granties ont investi dans le film. CB Partners, ICE et Madeleine Films Playtime sont coproducteurs. Il a bénéficié d’une aide à la musique originale de la Sacem.Netflix l’a préacheté et Haut et court a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution France.

Le coproducteur belge est Nexus production qui a v-bénéficié du soutien de la région Wallonie et BETV et Proximus l’ont préacheté.

Le précédent film réalisé par Thierry Klifa était la comédie « Les rois de la piste » sortie en 2024. Son budget prévisionnel était de 4,4 millions €. Il était produit par Nolita Films et distribué par Apollo films. Il avait rassemblé 70 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/une-comedie-qui-rend-le-spectateur-heureux/

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

C’est le premier film réalisé par Maïlys Vallade  https://www.imdb.com/fr/name/nm4922823/  et Liane-Cho Han https://www.linkedin.com/in/lianecho/?originalSubdomain=fr qui avaient déjà participé à plusieurs chefs d’oeuvre de l’animation en tant que scénariste, storyboardeur, animateur, auteur graphique, animateur 2D et  superviseur. Il s’agit de « Amélie ou la métaphysique des tubes » https://fr.wikipedia.org/wiki/Amélie_et_la_Métaphysique_des_tubes#:~:text=Amélie%20et%20la%20Métaphysique%20des%20tubes%20est%20un%20film%20d,des%20tubes%20d’Amélie%20Nothomb.&text=Pour%20plus%20de%20détails%2C%20voir%20Fiche%20technique%20et%20Distributionest l’adaptation du livre homonyme de Nathalie Northomb. Leur film est une fusion de l’animation française et japonaise.

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Maïlyse Vallade

Liane-Cho Han

Son budget prévisionnel est 8,1 millions, soit 45% de plus que la moyenne des budgets prévisionnels moyens des films français d’animation sortis en 2024. https://siritz.com/cinescoop/le-barometre-2024-des-films-danimation/La rémunération des deux réalisateurs a été 52 000 €, dont 40 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 12 000 € de salaire de technicien, soit 20% de la rémunération des réalisateurs de films d’animation. Ils ont écrit le scénario avec Eddine Noël. Le budget global du scénario (achat de l’adaptation comprise) est 80 000 €, ce qui revient à la moitié du coût moyen des scénarios des films d’animation. La musique a été composée par Mari Fukuhara pour 80 000 €. C’est un tiers de plus que la rémunération moyenne des compositeurs de films français sortis cette année.https://siritz.com/financine/remuneration-des-compositeurs-de-musique/

Les producteurs délégués sont Ikki Films (Nidia Santiago et Edwina Liard) et Maybe moovies (Henri Magalon) qui ont bénéficié d’une sofica garantie. 2 Minutes et France 3 cinéma sont coproducteurs. 2 sofica garanties y ont investi. Le film a bénéficié de l’avance sur recettes, du soutien de Média, de l’aide remboursable de la région Ile-de-France et de l’aide non remboursable la région Aquitaine, du département de la Charente, de la région Réunion et de Cliclic.

Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et  vod. Le Japon et la Corée l’avaient préacheté. Wild Bunch a donné un minimum garanti pour les ventes à l’étranger.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 15 ans d’archives.

Le premier film réalisé par Simon Bouissou https://fr.wikipedia.org/wiki/Simon_Bouisson est « Drone », sorti le 2 octobre dernier.https://fr.wikipedia.org/wiki/Drone_(film,_2024)#:~:text=Drone%20est%20un%20film%20français,premier%20long%20métrage%20du%20réalisateur.&text=Logo%20de%20l’affiche%20du%20film.&text=Pour%20plus%20de%20détails%2C%20voir%20Fiche%20technique%20et%20Distribution : Surveillée par un drone, une jeune fille se demande s’il s’agit d’un drone protecteur ou menaçant ? Il a rassemblé 10 700 entrées cette première semaine et perdu 70% de ses spectateurs en deuxième seemaine.

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Sylvain Bouissou

Son budget prévisionnel est de 4,8 millions €, soit exactement le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/budget-moyen-peut-donner-un-gros-b-o/

Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit deux tiers de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario pour 118 000 €, ce qui est 20% au-dessus du budget médian des scénarios.https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/. Les rôles principaux ont reçu 72 000 € ce qui correspond à 90% de leur rémunération médiane. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est Haut et court (Caroline Benjo et Carole Scotta). France 2 et Orange studio sont coproducteurs. Le film a bénéficié de l’aide du CNC aux créations visuelles et sonores. L’Ile de France lui a apporté son soutien. Une sofica y a investi. Canal+, Disney +, Ciné + et France 2 l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution en France et Orange studio international a le mandat de vente à l’étranger sans minimum garanti.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Maria », le 3èmelong métrage pour le cinéma réalisé par Jessica Palud, https://fr.wikipedia.org/wiki/Jessica_Palud, raconte le tournage du dernier Tango à Paris vu par la comédienne Maria Schneider.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Maria_(film_français,_2024)

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Jessica Palud

Cette coproduction entre la France (94%) et la Belgique (6%) a un budget prévisionnel de 3,7 millions €. C’est un peu plus que le budget médian des films français de fiction sortis l’année dernière. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/ Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 46 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est deux tiers de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/

Il s’agit d’une adaptation du roman « Tu t’appelais Maria Schneider » de Vanessa Schneider, DONT les droits ont été acquis pour 120 000 €. La réalisatrice a écrit le scénario avec Laurette Polmanss pour 106 000 €. Le coût global du scénario est 10% de plus que leur coût moyen. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/ Les rôles principaux ont reçu 153 000 €, soit 80% de ce qu’ils ont reçu en moyenne. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Le producteur délégué est Les films de Mina (Marielle Duigou). Le studioCanal et un pool de producteurs sont coproducteurs. Une Sofica y a investi. Le film a bénéficié de 100 000 € d’avance sur recettes après réalisation. Le CNC et la Sacem lui ont donné une aide à la musique de film. La Procirep, l’Angoa  et la Région Bretagne lui ont apporté leur soutien. OCS et Ciné+ l’ont préacheté. Haut et Court lui a donné un minimum garanti pour le mandat salle. StudioCanal a tous les autres mandats. Scope pictures est le coproducteur belge.

Le précédent film réalisé par Jessica Palud était « Revenir », sorti le 29 janvier 2020 et dont le budget prévisionnel était 1,6 millions. https://fr.wikipedia.org/wiki/Revenir_(film) Il était produit par Fin Août Productions et avait été distribué par Pyramide. Le film avait rassemblé 44 000 entrées.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article. www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 240 000 €, dont 140 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 100 000 € de salaire de technicien.

“Quitter la nuit” https://fr.wikipedia.org/wiki/Quitter_la_nuit est un film dur sur les violences sexuelles. C’est le premier long métrage de la belge Delphine Girard, dont le court métrage, « Une sœur », sur le même thème avait été nommé pour Oscar du meilleur court-métrage en 2020. https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Girard

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Delphine Girard

Il s’agit d’un film Belge (70%) en coproduction avec la France (15%) et le Canada (15%) pour un budget prévisionnel de 3,2 millions €, soit 90% du budget médian des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 35 jours de tournage en Belgique et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 10% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Elle a écrit le scénario pour 120 000 €, soit 20% de plus que le budget médian des scénarios des films français. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 87 000 €, soit 10% de plus que leur rémunération médiane. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué Belge est Versus Production (Jacques-Henri Bronckart). Il a bénéficié du Tax shelter ainsi que du soutien de la Fédération Wallonie-Bruxelles , du VAF, de Wallimage, du Screen Brussells Fund, d’Europe Creative Media et d’Eurimages

RTBF, Proximus, Be TV sont coproducteurs et l’ont pré-acheté.  O’Brother a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en Belgique.

Le producteur français est Haut et Court qui a bénéficié du soutien d’Eurimages. Un  Pool sofica a investi. Haut et court a donné un minimum garanti pour la distribution en salle.

Le producteur canadien est Colonelle Films (Fanny Drew, Sarah Mannering).Mel Studio est coproducteur.Le film a bénéficié du Tax Credit Federal et du Tax Credit Quebec. Il a bénéficié du soutien de la Sodec, de Téléfilm Canada et d’Eurimages. Entract  a donné un minimum garanti pour la distribution.

Playtime a donné un minimum garanti pour le mandat de vente internationale.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Le film d’animation « Sirocco et le royaume des courants d’air » est le premier long métrage réalisé par Benoît Chieux. https://fr.wikipedia.org/wiki/Benoît_Chieux

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction, majoritaire française, avec la Belgique, pour un budget prévisionnel de 4,9 millions €. C’est le budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, la fabrication et la post-production la rémunération du réalisateur est de 142 000 €, dont 46 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 96 000 € de salaire de technicien. C’est un peu plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario avec Alain Gagnol pour 65 000 €, soit le tiers du budget des scénarios des films de fiction.

Les producteurs français sont Sacrebleu Productions (Ron Dyens) et Ciel de Paris (Cilvy Aupin et Jonathan Martinot). La région Auvergne Rhône-Alpes Cinéma et Kinology sont coproducteurs. 5 soficas y ont investi. Le CNC a apporté une aide  au développement, une aide au pilote pour la Création et une aide à la musique. La Sacem a accordé une aide à la musique et Procirep/Angoa une aide à à la production.

Les régions Grande Est, Sud, Réunion et Centre Val de Loire lui ont apporté leur soutien. Canal+ l’a préacheté, Haut et Court a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et Kinology un minimum garanti pour le mandat de vente à l’étranger.

Le producteur belge est Take five (Alon Knoll et Grégory Zalcman). Il a bénéficié du tax shelter. La Fédération Wallonie-Bruxelles image et Screen Bruxelles lui ont apporté leur soutien. La RTBF l’a préacheté

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POUR LA RÉALISATION DE « LES ALGUES VERTES »

Ce thriller dramatique est son 19ème film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Jolivet

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par 2.4.7 FILMS (Marc-Antoine Robert et Xavier Rigault) pour un budget prévisionnel de 3,6 millions €. C’est 70% du budget moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 72 000 €, dont 34 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 38 000 € de salaire de technicien. C’est 90% de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Il s’agit de l’adaptation de la bande dessinée « Algues vertes, l’histoire interdite » d’Inès Léraud et Pierre Van Hove, dont les droits ont été acquis 40 000 €. Le réalisateur a écrit le scénario avec avec Inés Léraud pour 111 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 100 000 €.

Haut et Court et France 2 sont coproducteurs. Le CNC a accordé des aides à la musique et à l’autodescription, et au développement. Procirep, a accordé son soutien et la Région Bretagne une aide au développement. 2 soficas y ont infesti dont une pour 80% du minimum garanti international. Apollo Films avait donné et le film avait rassemblé 100 000 spectateurs.

Canal+, Ciné + et France 3 l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et vod. Indie sales a investi 20% du minimum garanti pour le mandat international.

Le précédent film de Pierre Jolivet était « Victor & Célia », sorti le 24 avril 2019. Il avait le même producteur pour un budget prévisionnel de 3 millions €. Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 81 000 €, dont 46 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 35 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Eric Combernous et Marie-Carole Ifi pur 127 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 120 000 €.

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POUR LA RÉALISATION DE « NORMALE »

Cette comédie dramatique est son 4ème film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Babinet

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (80%) et la Belgique pour un budget prévisionnel de 4,6 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Normale_(film)

Ce budget prévisionnel correspond à la moyenne des budgets prévisionnels de films français de fiction sortis en 2022. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-films-francais-de-fictio/

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 111 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 20% de moins que la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films.

Il s’agit de l’adaptation de la pièce de théâtre « Monster in the hall » de David Craig dont les droits d’adaptation ont été acquis 44 000€. Le réalisateur a écrit le scénario avec Juliette Sales et Fabien Suarez. Ils se sont partagés 101 000€. C’est 80% du budget moyen des scénarios de ces films.

Les comédiens ont reçu 302 000 €. C’est 50% de plus que pour ces films de l’année dernière.

Le producteur français est Haut et Court (Carole Scotta et Caroline Béjo). France 2 est coproducteur.

Le film a bénéficié de 520 000 € d’avance sur recettes. Eurimages, le CNC (Créations visuelles et sonores) , Media slate funding et Région Ile de France ont apporté leur soutien. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour le mandat salle et MK2 pour le mandat international.

Le producteur Belge est Tarantula (Joseph Rouschop et Valérie Bounonville) qui a bénéficié du Tax shelter ainsi que d’une coproduction et d’un préachat de BeTV/VO, Proximus TV et la RTBF.

La Fédération Wallonie Bruxelles Images, Wallimage et Eurimages ont apporté leur soutien tandis que O’Brothers donnait un minimum garanti pour la distribution au Benelux.

Le précédent film d’Olivier Gourmet était « Poissonsexe », sorti le 2 septembre 2020. C’était une coproduction entre la France (68%), la Belgique (24%) et le Japon (4%) pour un budget prévisionnel de 2,2 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Poissonsexe

Le producteur français était Comme des Cinémas. Pour la préparation, 29 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 56 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Le scénario était écrit avec David Elkaïm pour 55 000.

Le film avait bénéficié de 450 000 € d’avance sur recettes. Une sofica y avait investi. La région Normande, la région Aquitaine et le Département des Landes avaient apporté leur soutien. Canal+ et Multithématiques l’avaient préacheté.

Rezo avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en France où il avait rassemblé 8 000 spectateurs.

Le coproducteur Belge était déjà Tarantula.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « VOUS N’AUREZ PAS MA HAINE »

Cet Allemand a réalisé des séries et des téléfilms. https://fr.wikipedia.org/wiki/Kilian_Riedhof

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Ce film est une coproduction entre la France (16%), l’Allemagne (69%), et la Belgique (15%), pour un budget prévisionnel de 6,4 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vous_n%27aurez_pas_ma_haine

Pour la préparation, 33 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 270 000 €, dont 140 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 160 000 € de salaire de technicien. C’est un peu moins du double de la rémunération des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-nouveau-barometre-des-realisateurs/

Il est tiré d’un roman de Antoine Leiris dont les droits ont été acquis 140 000 €. Le scénario a été écrit par : Marc Blobaum, Jan Baren, Stéphanie Kalfon et Kilian Riedhof. Ils se sont partagés 140 000 €. Le budget du scénario est donc bien supérieur au budget moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-2/

En France le film est produit par Haut et Court qui a investi un peu de numéraire. Il a bénéficié du soutien du mini-traité franco-allemand et d’Eurimages.

Une sofica y a investi. Multithématiques et NRD/Arte l’ont préacheté. Haut et court a donné un minimum garanti pour la distribution salle. Le distributeur pour l’international a donné un minimum garanti qui est pris en compte dans le financement de chaque pays.

En Allemagne le producteur est Komplizen film. NDR/Arte est coproducteur. Il est coproduit par Errftal Film, MCC Moovies (Studio) et Tobis film. Il a obtenu le soutien du fonds régionale de Westphalie,  du Fonds régional de Hambourg, de BKM, de DFFF, du  mini-traité franco-allemand, du FFA fonds de soutien automatique et d’Eurimages.

Tobis Film alleane est distributeur pour l’Autriche.

En Belgique le producteur est Frakas Production qui a bénéficié du Tax Shelter. La RTBF est cooproducteur et a effectué un préachat. De même Proximus a pris les droits vod et pay TV.

Le film a le soutien de Wallimage et d’Eurimages

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.