Archive d’étiquettes pour : SBS Productions

Cette comédie dramatique, portrait acerbe du marché de l’art, «  Le tableau volé » https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Tableau_volé est le 9ème long métrage réalisé par Pascal Bonitzer https://fr.wikipedia.org/wiki/Pascal_Bonitzer qui est aussi un grande scénariste.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Pascal Bonitzer

Son  budget prévisionnel est 4 millions €, ce qui représente les ¾ du budget moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, dont 24 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 36 000 € de salaire de technicien, soit 85% de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/Il a écrit le scénario pour 40 000 €, soit 40% du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 118 000 €, soit 55% de leur rémunération moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le film est produit par SBS Productions (Saïd Ben Saïd). 4 soficas dont une garantie y ont investi. Canal+ et Ciné + l’ont préacheté. Pyramide a donné un minimum garanti pour tous les droits de distribution monde. Il a rassemblé 103 000 spectateurs en cinq jours.

Le précédent film réalisé par Pascal Bonitzer était « Les Envoutés », sorti le 11 décembre 2019. C’était une adaptation de « Les amis des amis » de Henry James https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Envoûtés_(film,_2019) Son budget prévisionnel était de 2,4 millions €. Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 47 000 €, dont 12 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 35 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Agnès de Sacy pour 103.000 €. Les rôles principaux avaient reçu 58 000 €. SBS était producteur et distributeur. Le film avait rassemblé 25 000 speectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Bien qu’elle ait réalisé auparavant 15 longs métrages, son dernier film date d’il y a 9 ans. Mais rappelons que Catherine Breillat est aussi romancière, scénariste et comédienne. https://fr.wikipedia.org/wiki/Catherine_Breillat

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« L’été dernier » est produit par SBS Productions (Saïd Ben Said) pour un budget prévisionnel de 3,3 millions €, soit deux tiers du budget prévisionnel moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/ Il s’agit du remake du film danois Dronningen (2019) réalisé par May-el-Touky https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Été_dernier

Pour la préparation, 27 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 70 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 10% de moins que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Les droits d’adaptation ont été acquis pour 130 000 € et le scénario de Catherine Breillat a été payé 15 000 €. Le coût total du budget est donc les trois quarts du budget moyen des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/Les rôles principaux ont reçu 70 000 €, soit 90% de ce qu’ont reçu les rôles principaux de ces films.  ://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/

Le film a bénéficié de 500 000 € d’avances sur recettes. Une sofica adossée y a investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. SBS Distribution a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et  S-vod et un autre minimum garanti pour le mandat vente à l’étranger.

Le précédent film de Catherine Breillat était « Abus de faiblesse, sorti le 12 février 2014. Cette coproduction entre la France (70%) et l’Allemagne (30%)   avait un budget de 4 millions €. Pour la préparation, 7 semaines de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 80 000 €, dont 50 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 30 000 € de salaire de technicien. Elle avait écrit le scénario pour 110 000 €. Le film avait bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes. Le producteur Français était Flash film Production et son distributeur Rezo Films. Le film avait rassemblé 30 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « PASSAGES»

C’est le 3ème long métrage pour le cinéma de celui qui est aussi comédien réalisateur de fiction tv et metteur en scène de théâtre. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alex_Lutz

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C’est une coproduction entre la France(95%)- et la Belgique (5%) pour un budget prévisionnel de 2,7 millions. https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_nuit_(film,_2023) C’est un peu plus de la moitié du budget prévisionnel des films Français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 24 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 70 000 €, uniquement en salaire de technicien. C’est 90% de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Il a écrit le scénario avec Mauricio Zacharias pour 113 000 €. C’est 25% de plus que le budget médian des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 66 000 €. C’est deux tiers de leur rémunération médiane pour ces films.

Le producteur Français est SBS productions (Saïd Ben Said) . Le film a bénéficié de l’aide du CNC pour le mini-traité franco-allemand, d’Eurimages et de la région Ile-de-France. SBS Distribution a donné un minimum garanti pour le mandat salle France et un autre pour le mandat international.

Le producteur Allemand est Seven Elephants (Fabian Gasma) qui, lui aussi a bénéficié du Mini-traité franco-allemand et d’Eurimages. Alamode a donné un minimum garanti pour les territoires Allemands.

Le précédent film d’Ira Schs était « Frankie », sorti le 28 août 2019. C’était une coproduction entre la France (63%) et le Portugal (37%) pour un budget prévisionnel de 2 millions €.

Pour la préparation, 27 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 87 000 €, dont 43 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 44 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Mauricio Zacharias pour 102 000 €.

France 3 était coproducteur et l’avait préacheté. Il avait bénéficié de l’aide du CNC aux cinémas du monde et de l’aide d’Eurimages. SBS Distribution avait donné un minimum garanti pour le mandat France et un autre pour le mandat international

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