Archive d’étiquettes pour : Pyramide distribution

« àma Gloria » , qui a fait l’ouverture de la Semaine de la critique au dernier Festival de Cannes, est le quatrième long métrage de Marie Amachoukeli. Les trois précédents avaient été coréalisés et l’un d’entre eux était un dessin animé. https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Amachoukeli C’est donc le premier film qu’elle réalise seule.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Lilies Films (Bénédicte Couvreur), pour un budget prévisionnel de 2,5 millions €. C’est 75% du budget médian des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 100 000 €, dont 55 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. C’est 20% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs des films de cette année. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Elle a écrit le scénario pour           80 0000 €. C’est 10% de moins que le budget des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 25 000 €. C’est 22% de leur rémunération médiane sur ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/

Le film a bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes. Le producteur a investi son crédit d’impôt, son salaire, du compte de soutien et ses frais généraux. La région Ile de France et l’Angoa lui ont apporté de l’aide. Deux soficas y ont investi.Le film est préacheté par Canal+, Ciné+ et TV5 Monde.

Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat salle et un autre pour le mandat international.

« Party girl » que Marie Amachoukeli avait réalisé avec Claire Burger et Samuel Theis, avait remporté la Caméra d’or au Festival de Cannes 2014. Et le film, produit par Élzevir Films pour 1,7 millions €, distribué par Pyramide, avait rassemblé 193 000 spectateurs. Auparavant, en 2010, elle avait obtenu le César du meilleur court-métrage pour « C’est gratuit pour les filles ».

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « DODO »

Cette comédie dramatique est le 5ème film de ce réalisateur grec.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Panos_H._Koutras

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

C’est une coproduction entre la France (30%), la Grèce (60%) et la Belgique (10%). Son budget prévisionnel est de 2,8 millions €.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dodo_(film)

Pour la préparation, 39 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 117 000 €, dont 100 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 7 000 € de salaire de technicien. En outre, pour l’écriture du scénario, le réalisateur a reçu 47 000 €.

La productrice française est Marie-Pierre Macia (MPM Film). Elle a bénéficié d’une aide CVS du CNC et d’une aide d’Eurimages. Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat salle en France et un autre pour le mandat international. Sorti dans 52 salles il a réalisé 11 000 entrées la première semaine.

Le producteur grec est Syntetic qui a coproduit avec Pan Entertaiment. Il a bénéficié du soutien de 4 fonds, a été préacheté par ERTV et Feelgood a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution.

Le producteur Belge est Tarantula.

Le précédent film réalisé par Panos Koutras est « Xénia ». En France il était sorti le 18 juin 2014.

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 93 000 €, dont 68 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien.

 Le scénario était écrit par Panagotis Evangelidi et Pános Koútras pour 38 000€.

C’était une coproduction entre la France (30%), la Grèce (50%) et la Belgique (20%). Le budget prévisionnel était de 1,6 millions €.

En France il était produit par MPM, en Grèce par Synthetic et Wrong men, en Belgique par Entre chiens et loups.

Pyramide était le distributeur français et le film avait rassemblé 57 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

LA RÉMUNÉRATION DE NAFSIKA GUERREY-KARAMAOUNAS

Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération de Nafsika Guerrey-Karamaounas est de 7 000 €, dont 500 € d’à valoir sur droits d’auteur et 6 500 € de salaire de technicien.

C’est évidemment très inférieur à la rémunération de la plupart des réalisateurs de films français sortis en 2021 et depuis le début de l’année. /https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Une coproduction franco-grecque presqu’entièrement tournée en Grèce

C’est le premier long métrage réalisé par Nafsika Guerrey-Karamaounas. Sur 25 jours de tournage 24 ont eu lieu en Grèce.

Le film a été produit par  Fanny Pailloux (Apaches) et Pierre Cazenave-Kauman  (Soldat Features) pour un budget prévisionnel de 1,1 millions €. C’est une coproduction entre la France (80%) et la Grèce (20%). https://fr.wikipedia.org/wiki/I_Love_Greece En France des fonds privés y ont investi. Multithématiques y a préacheté un passage. Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et un autre pour le mandat de distribution à l’étranger. Le financement grecque est constitué uniquement par du crédit d’impôt de l’État.

Chloé Larouchi était l’une des scénaristes de « Les magnétiques », réalisé par Vincent Cardona et sorti le 17 novembre 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-vincent-cardona-2/ Le film était distribué par Paname distribution et avait rassemblé 56 000 spectateurs.

Pyramide distribution vient de sortir « Les goûts et les couleurs », réalisé par Michel Leclerc. Sa première semaine il a rassemblé  30 000 spectateurs dans 205 salles. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-michel-leclerc/

Le 4 mai de cette année Pyramide distribution avait sorti « Les passagers de la nuit », réalisé par Mikhaël Hers. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-mikhael-hers-2/ Sorti dans 246 salles le film avait rassemblé 192 000 spectateurs.

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POUR LA RÉALISATION DE « LA PLACE D’UNE AUTRE »

C’est le 4ème long métrage de cette diplômée de la Femis. C’est une adaptation du roman qu’elle a écrit avec Maud Améline. https://fr.wikipedia.org/wiki/Aurélia_Georges

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Il a été produit par par Agnès Vallée et Emmanuel Barraux (31 juin films) pour un budget prévisionnel de 3 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Place_d%27une_autre

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 55 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 35 000 € de salaire de technicien.

C’est un peu plus que  moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/

Elle a en outre reçu 5 000 € pour l’adaptation de son roman dont les droits ont été acquis 50 000 €. Arte Cinéma est coproducteur ainsi que deux soficas.

Le producteur a mis son salaire et ses frais généraux en participation. La région Grande-Est, le Communauté urbaine de Strasbourg et le département des Vosges ont apporté leur soutien.

Le film a été préacheté par Canal+, Multithématiques et Arte.

Pyramide distribution est le distributeur. Il a donné un minimum garanti pour la distribution salle et vidéo en France et un autre pour la vente internationale.

Le précédent film réalisé par Aurélia Georges était « La fille et le fleuve », sorti le 11 novembre 2015. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Fille_et_le_Fleuve

Il avait le même producteur et était distribué par le Cinéma Saint-André des Arts. Il n’avait rassemblé que 131 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

POUR LA RÉALISATION DU « GENOU D’AHED »

C’est le quatrième long métrage de ce réalisateur israélien.https://fr.wikipedia.org/wiki/Nadav_Lapid

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Tourné en Israël, c’est une coproduction de la France à 68%, de l’Allemagne à 22% et d’Israël à 10%.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Genou_d%27Ahed

Le  budget prévisionnel du film  est de 1,5 millions €. En France il a comme producteur délégué  Judith Lou Levy et Ève Robin (Les films du bal) Il est distribué par Pyramide Distribution. Le producteur a investi son salaire de producteur.

4 coproducteurs ont investi chacun 30 0000 € en compte de soutien : Srab, Mandarin, Nord-Ouest films, Velvet Films . Et, Decia films, a investi le double.

Le CNC a accordé une aide aux cinémas du monde. Canal+ et Multithématques ont effecuté un préachat pour la télévision à péage. Arte est coproducteur et a effectué un préachat. Pyradmide distribution a donné un minimum garani pour la mandats salle et vidéo et Kinology  a  donné un minimum garanti pour la mandat international.

En Allemagne le producteur est David Keitsch (Komplizen Film) et Arte Allemagne a effectué un achat. En Israël le producteur est Pie Films (Osnat Handelsman  Keren et Talia Klenheder).

Pour la préparation, 41 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 40 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français sort21.

Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production de « L’institutrice », sorti en salle de 10 septembre 2014, Nadar Lapid avait eu une rémunération de 66 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.  C’’était une coproduction de 53% Israël et 47% de la France.

Le producteur était Haut et court qui en était aussi distributeur.

Le film avait rassemblé 68 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors es films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit du dossier surleque le producteur a monté son financement, no les données définitives, après production effective du film. Ce site dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 11 ans d’archives.