Archive d’étiquettes pour : Pyramide distribution

« Vivants » https://fr.wikipedia.org/wiki/Vivants_(film) est le troisième long métrage d’Alix Delaporte. Une jeune stagiaire blonde dans le journalisme d’investigation. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alix_Delaporte

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Alix Delaporte

C’est un film dont le budget prévisionnel est de 4,5 millions €, soit 80% du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 107 000 €, dont 50 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 57 000 € de salaire de technicien, soit également 80% de la rémunération des réalisateurs de films de fiction en 2023. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Elle a écrit le scénario avec Alain Le Henry . Elle a reçu 88 500 € et lui 62 500€, ce qui revient au total à deux tiers du budget moyen des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 50 000 € soit le quart de ce qu’ils ont reçu en moyenne en 2023. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le film est produit par Trésor Films (Alain Attal). Trois soficas y ont investi et la région Ile de France lui a apporté son soutien. Canal + l’a préacheté. Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo, un autre pour les mandats vod et s-vod et un troisième pour le mandat de vente internationale.

Le précédent film réalisé par Alix Delaporte était « Le dernier coup de marteau », sorti le 11 mars 2015. Son budget prévisionnel était de 3,6 millions €. Pour la préparation, 39 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Elle avait déjà écrit le scénario avec Alain Le Henry. Elle avait reçu 40 000 € et lui 35 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 71 000 €.

Le producteur était Lionceau films. Le film avait bénéficié de 550 000 € d’avance sur recettes. France 2 était coproducteur. Les régions Languedoc-Roussillon et PACA avaient apporté leur soutien. 2 soficas y avaient investi. Canal+, Orange et France 2 y avaient investi. Pyramide avait donné un minimum garanti. Le film avait rassemblé 118 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

«La Vénus d’argent » est le deuxième long métrage de Héléna Klotz. Une fille de gendarme, vivant avec ses parents dans une caserne,  cherche à se libérer de l’emprise de sa famille en intégrant le monde de la finance. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Vénus_d%27argent

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Il est produit par Les Films du Bélier (Justin Taurand et Aurélien Dessez) pour un budget prévisionnel de 3,2 millions €, ce qui est le budget médian des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 50 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 60% de la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction français. Elle a écrit le scénario avec Noé Debré et Emily Barnett pour 80 000 €. C’est 90% du budget médian des scénarios de ces films. Les rôles principaux (dont la chanteuse Pomme qui y tient son premier rôle à l’écran) ont reçu 58 000 €, soit trois quarts de leur rémunération médiane pour ces films.

Quatre soficas, dont une garantie par le producteur, y ont investi. Le film a bénéficié de 580 000 € d’avance sur recettes. Les régions Ile de France et Normandie lui ont apporté leur soutien. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Pyramide lui a accordé un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo et un autre pour le mandat de ventes internationales.

Le premier film de Héléna Klotz était « L’âge atomique », sorti le 28 novembre 2012. Il racontait l’errance de deux jeunes. La réalisatrice l’avait coécrit avec Hélène Perceval. https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Âge_atomique

Il était produit par Kidam. Arte l’avait coproduit et préacheté. Niz !  le distribuait et le film avait rassemblé 2500 spectateurs.

Le film dramatique « L’air de la mer rend libre »est le 6ème long métrage réalisé par Nadir Moknèche https://fr.wikipedia.org/wiki/Nadir_Moknèche

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Il est produit par Blue Monday Productions (Nathalie Mesuret) pour un budget prévisionnel de 1,2 millions €. C’est un tiers du budget médian des films Français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/ Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 21000 €, dont 5 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 16 000 € de salaire de technicien. C’est un cinquième de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Il a écrit le scénario avecNaïla Guiguet et Michael Barnes. Ils se sont partagés 57 000 €, soit un peu moins de deux tiers de la rémunération médiane des scénaristes de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/

Les rôles principaux ont reçu 21 000 €, soit le quart de leur rémunération médiane pour ces films. C’est donc typiquement un films de fiction à petit budget.

Le Bureau Film est coproducteur. 2 soficas, dont une garantie y ont investi. Le CNC a apporté son aide du fonds des images pour la diversité et le région Bretagne lui a fourni son soutien. Ciné+ et TV5 Monde l’ont préacheté. Pyramide distribution lui a apporté un minimum garanti pour le mandat salle et un autre pour le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film de Nadir Moknèche était « Lola Pater », sorti le 9 août 2017. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lola_Pater Il avait le même producteur et son budget prévisionnel était 2,5 millions €. Pour la préparation, 38 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Le distributeur était ARP sélection et le film avait rassemblé 123 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« àma Gloria » , qui a fait l’ouverture de la Semaine de la critique au dernier Festival de Cannes, est le quatrième long métrage de Marie Amachoukeli. Les trois précédents avaient été coréalisés et l’un d’entre eux était un dessin animé. https://fr.wikipedia.org/wiki/Marie_Amachoukeli C’est donc le premier film qu’elle réalise seule.

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Il est produit par Lilies Films (Bénédicte Couvreur), pour un budget prévisionnel de 2,5 millions €. C’est 75% du budget médian des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 100 000 €, dont 55 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. C’est 20% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs des films de cette année. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Elle a écrit le scénario pour           80 0000 €. C’est 10% de moins que le budget des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 25 000 €. C’est 22% de leur rémunération médiane sur ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/

Le film a bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes. Le producteur a investi son crédit d’impôt, son salaire, du compte de soutien et ses frais généraux. La région Ile de France et l’Angoa lui ont apporté de l’aide. Deux soficas y ont investi.Le film est préacheté par Canal+, Ciné+ et TV5 Monde.

Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat salle et un autre pour le mandat international.

« Party girl » que Marie Amachoukeli avait réalisé avec Claire Burger et Samuel Theis, avait remporté la Caméra d’or au Festival de Cannes 2014. Et le film, produit par Élzevir Films pour 1,7 millions €, distribué par Pyramide, avait rassemblé 193 000 spectateurs. Auparavant, en 2010, elle avait obtenu le César du meilleur court-métrage pour « C’est gratuit pour les filles ».

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « DODO »

Cette comédie dramatique est le 5ème film de ce réalisateur grec.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Panos_H._Koutras

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C’est une coproduction entre la France (30%), la Grèce (60%) et la Belgique (10%). Son budget prévisionnel est de 2,8 millions €.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Dodo_(film)

Pour la préparation, 39 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 117 000 €, dont 100 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 7 000 € de salaire de technicien. En outre, pour l’écriture du scénario, le réalisateur a reçu 47 000 €.

La productrice française est Marie-Pierre Macia (MPM Film). Elle a bénéficié d’une aide CVS du CNC et d’une aide d’Eurimages. Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat salle en France et un autre pour le mandat international. Sorti dans 52 salles il a réalisé 11 000 entrées la première semaine.

Le producteur grec est Syntetic qui a coproduit avec Pan Entertaiment. Il a bénéficié du soutien de 4 fonds, a été préacheté par ERTV et Feelgood a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution.

Le producteur Belge est Tarantula.

Le précédent film réalisé par Panos Koutras est « Xénia ». En France il était sorti le 18 juin 2014.

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 93 000 €, dont 68 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien.

 Le scénario était écrit par Panagotis Evangelidi et Pános Koútras pour 38 000€.

C’était une coproduction entre la France (30%), la Grèce (50%) et la Belgique (20%). Le budget prévisionnel était de 1,6 millions €.

En France il était produit par MPM, en Grèce par Synthetic et Wrong men, en Belgique par Entre chiens et loups.

Pyramide était le distributeur français et le film avait rassemblé 57 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

LA RÉMUNÉRATION DE NAFSIKA GUERREY-KARAMAOUNAS

Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération de Nafsika Guerrey-Karamaounas est de 7 000 €, dont 500 € d’à valoir sur droits d’auteur et 6 500 € de salaire de technicien.

C’est évidemment très inférieur à la rémunération de la plupart des réalisateurs de films français sortis en 2021 et depuis le début de l’année. /https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022

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Une coproduction franco-grecque presqu’entièrement tournée en Grèce

C’est le premier long métrage réalisé par Nafsika Guerrey-Karamaounas. Sur 25 jours de tournage 24 ont eu lieu en Grèce.

Le film a été produit par  Fanny Pailloux (Apaches) et Pierre Cazenave-Kauman  (Soldat Features) pour un budget prévisionnel de 1,1 millions €. C’est une coproduction entre la France (80%) et la Grèce (20%). https://fr.wikipedia.org/wiki/I_Love_Greece En France des fonds privés y ont investi. Multithématiques y a préacheté un passage. Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et un autre pour le mandat de distribution à l’étranger. Le financement grecque est constitué uniquement par du crédit d’impôt de l’État.

Chloé Larouchi était l’une des scénaristes de « Les magnétiques », réalisé par Vincent Cardona et sorti le 17 novembre 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-vincent-cardona-2/ Le film était distribué par Paname distribution et avait rassemblé 56 000 spectateurs.

Pyramide distribution vient de sortir « Les goûts et les couleurs », réalisé par Michel Leclerc. Sa première semaine il a rassemblé  30 000 spectateurs dans 205 salles. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-michel-leclerc/

Le 4 mai de cette année Pyramide distribution avait sorti « Les passagers de la nuit », réalisé par Mikhaël Hers. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-mikhael-hers-2/ Sorti dans 246 salles le film avait rassemblé 192 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LA PLACE D’UNE AUTRE »

C’est le 4ème long métrage de cette diplômée de la Femis. C’est une adaptation du roman qu’elle a écrit avec Maud Améline. https://fr.wikipedia.org/wiki/Aurélia_Georges

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Il a été produit par par Agnès Vallée et Emmanuel Barraux (31 juin films) pour un budget prévisionnel de 3 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Place_d%27une_autre

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 55 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 35 000 € de salaire de technicien.

C’est un peu plus que  moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/

Elle a en outre reçu 5 000 € pour l’adaptation de son roman dont les droits ont été acquis 50 000 €. Arte Cinéma est coproducteur ainsi que deux soficas.

Le producteur a mis son salaire et ses frais généraux en participation. La région Grande-Est, le Communauté urbaine de Strasbourg et le département des Vosges ont apporté leur soutien.

Le film a été préacheté par Canal+, Multithématiques et Arte.

Pyramide distribution est le distributeur. Il a donné un minimum garanti pour la distribution salle et vidéo en France et un autre pour la vente internationale.

Le précédent film réalisé par Aurélia Georges était « La fille et le fleuve », sorti le 11 novembre 2015. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Fille_et_le_Fleuve

Il avait le même producteur et était distribué par le Cinéma Saint-André des Arts. Il n’avait rassemblé que 131 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

POUR LA RÉALISATION DU « GENOU D’AHED »

C’est le quatrième long métrage de ce réalisateur israélien.https://fr.wikipedia.org/wiki/Nadav_Lapid

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Tourné en Israël, c’est une coproduction de la France à 68%, de l’Allemagne à 22% et d’Israël à 10%.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Genou_d%27Ahed

Le  budget prévisionnel du film  est de 1,5 millions €. En France il a comme producteur délégué  Judith Lou Levy et Ève Robin (Les films du bal) Il est distribué par Pyramide Distribution. Le producteur a investi son salaire de producteur.

4 coproducteurs ont investi chacun 30 0000 € en compte de soutien : Srab, Mandarin, Nord-Ouest films, Velvet Films . Et, Decia films, a investi le double.

Le CNC a accordé une aide aux cinémas du monde. Canal+ et Multithématques ont effecuté un préachat pour la télévision à péage. Arte est coproducteur et a effectué un préachat. Pyradmide distribution a donné un minimum garani pour la mandats salle et vidéo et Kinology  a  donné un minimum garanti pour la mandat international.

En Allemagne le producteur est David Keitsch (Komplizen Film) et Arte Allemagne a effectué un achat. En Israël le producteur est Pie Films (Osnat Handelsman  Keren et Talia Klenheder).

Pour la préparation, 41 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 40 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français sort21.

Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production de « L’institutrice », sorti en salle de 10 septembre 2014, Nadar Lapid avait eu une rémunération de 66 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.  C’’était une coproduction de 53% Israël et 47% de la France.

Le producteur était Haut et court qui en était aussi distributeur.

Le film avait rassemblé 68 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors es films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit du dossier surleque le producteur a monté son financement, no les données définitives, après production effective du film. Ce site dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 11 ans d’archives.