Archive d’étiquettes pour : Octopolis

Le premier long métrage réalisé par le comédien suisse Damien Dorsaz https://fr.wikipedia.org/wiki/Damien_Dorsaz est « Lady Nazca » , sorti le 10 décembre dernier, https://fr.wikipedia.org/wiki/Lady_Nazca qui raconte la quête d’une jeune archéologue au Pérou. Il a rassemblé 11 000 spectateurs la première semaine.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Fabien Dorsaz

Cette coproduction entre la France (36%) et l’Allemagne (54%) a un budget prévisionnel de 2,2 millions €, soit 60% du budget prévisionnel médian des films de fictions français de notre dernier baromètre. https://siritz.com/financine/barometre-des-budgets-previsionnels/ Pour la préparation, 27 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 68 000 €, dont 43 000 € d’à-valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien. C’est 80% de la rémunération moyenne des réalisateurs. https://siritz.com/financine/le-barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/Le scénario a été écrit par Damien Dorsaz, Fadette Drouard, Aude Py, Raphaëlle Desplechin, Franck Ferriera Fenandes pour 62 000 €. Cela correspond à 40% du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-des-scenarios-en-2025-et-2024/ La musique a été confiée à Nacury Linares pour 15 000 €. Là encore c’est 40% du budget de la musique de films. Enfin la rémunération des rôles principaux est 25 000 €, soit 20% de la rémunération médiane des rôles principaux.

Pour bien illustrer la part du budget que la production de «Lady Nazca» a consacré aux quatre principaux postes de l’affiche par rapport à ce qui leur est consacré dans la moyenne des films le tableau ci-dessous est éclairant :

Comme on le voit, par rapport à la moyenne des films, en pourcentage du budget général, « Lady Nazca », a mieux rémunéré le réalisateur et beaucoup moins le scénarios, la musique et les rôles principaux.

Le producteur est Octopolis (Matthieu Zeller). Memento production est coproducteur. Le film a bénéficié de l’aide du  mini-traité franco-allemand et du soutien d’Eurimages. Ciné+ l’a préacheté. Memento Films a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution France  et Pulsar Content un mandat de distribution pour les ventes à l’étranger.

Le producteur allemand est 27 films produktion (Olivier Damian). Il a reçu l’aide du FFA et du Medienboard Berlin-Brandebourg. Les chaînes Arte et BR l’ont préacheté. Tobis a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en Allemagne.

Le précédent film distribué par Memento Films était la Palme d’or du Festival de Cannes, « Un simple accident », réalisé par Jafar Panahi et sorti le 1er octobre dernier. Le budget prévisionnel de cette coproduction entre la France, le Luxembourg et l’Iran était de 1 millions €. Son producteur français était Les Films Pélléas. Il avait rassemblé 666 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

La période des fêtes de Noël est celle des dessins animés. C’est pourquoi sortent cette semaine deux dessins animés français. « Les inséparables », en 3D, est le premier. Il est réalisé en solo par Jérémie Gruson. https://www.festival-deauville.com/artistes/jeremie-degruson/

Il avait co-réalisé les trois précédents avec Ben Stassen, notamment « Bigfoot Family », sorti  le 5 août 2020, avait rassemblé 461 000 spectateurs. Son budget était de 15,2 millions € et la rémunération des réalisateurs était de 212 000 €.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction internationale entre la Belgique (66%), la France (23%) et l’Espagne (11%) pour le budget prévisionnel de 15,9 millions €. Cela le situe au 11ème range des budgets de films français sortis depuis le début de l’année.

Pour la préparation,  la fabrication et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 239 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 70% de plus que la moyenne des rémunérations des réalisateurs de tous les films français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Il s’agit d’une adaptation du Don Quichotte de Cervantes. Le réalisateur a coécrit le scénario avec Bob Barlen, Carl Brunker, Joël Cohen, Alec Sokolow, et Matthieu Zeller. Ils se sont partagés 772 000 €. C’est plus de trois fois et demi le budget moyen des scénarios des films français.

Le producteur belge est nWave Pictures (Ben Stassen et Caroline Van Iseghem) qui a bénéficié du tax shelter et des soutiens régionaux. Le producteur français est Octopolis (Mathieu Zeller) qui a bénéficié de l’aide du CNC production. Canal+ l’a préacheté et KMBO a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en  salle. Le producteur espagnol est A Contracorriente Films (Adolfo Blanco Lucas).

A noter que 40% du financement du film provient de préventes à l’étranger.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LE PARFUM VERT »

Cette comédie policière est son 3ème long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Nicolas_Pariser

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

C’est une coproduction entre la France (90%) et la Belgique (10%) pour un budget prévisionnel de 7,1 millions €.

Pour la préparation, 42 jours de tournage dont la moitié en Belgique et Hongrie, et la post-production la rémunération du réalisateur est de 168 000 €, dont 108 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 60 000 € de salaire de technicien. C’est sensiblement plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-nouveau-barometre-des-realisateurs/

Il a écrit de scénario et a touché 172 000 €, ce qui est plus que le budget moyen des scénarios de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-au-29-11-2022/

Le producteur français est Octopolis (Mathieu Zeller). Une sofica garantie y a investi. France 2 est coproducteurs et 5 soficas y ont investi. La région Ile-de-France lui a apporté son aide.

Canal+, Multithématiques et France 2 l’ont préacheté. Diaphana a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et un autre pour le mandat de distribution vidéo. Orange studio a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution à l’étranger.

Le coproducteur belge est Versus Production (Jacques-Henri Bronckart). Il a bénéficié du Tax shelter. La RTBF et Proximus sont coproducteurs TV. O’Brother a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution au Bénélux.

Le précédent film de Nicolas Parizer est « Alice et le Maire », sorti le 2 octobre 2019. C’était une coproduction entre la France (95%) et la Belgique (5%) pour un budget prévisionnel de 4,7 millions €.

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 90 000 €, dont 41 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 49 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario et reçu 90 000 €.

Le film avait bénéficié de 580 000 € d’avance sur recettes.

Le producteur français était déjà Bizibi. Rhône-Alpes Cinéma et Arte étaient coproducteurs. 6 soficas y avaient investi. Canal+, Multithématiques et Arte l’avaient préacheté. Bac Film avait donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le film avait rassemblé 724 000 specteurs.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « MON HÉROÏNE »

Cette comédie est le premier long métrage de cette réalisatrice qui avait jusque-là réalisé des making of pour les majors et un documentaire pour la télévision.https://www.quellebellehistoire.com/auteurs/noemie-lefort-2/

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Le film est produit par Octopolis (Mathieu Zeller) pour un budget prévisionnel de 4,1 millions €.

Pour la préparation, 40 jours de tournage (dont 15 en décors naturel à New-York) et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 20% de moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-nouveau-barometre-des-realisateurs/

La réalisatrice a écrit le scénario avec Fadette Drouard et elles se sont partagées 87 000 €. C’est un tiers de moins que le budget médian des scénarios de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-au-29-11-2022/

Le film a été coproduit par Indy Films production (Stéphane Réthoré). Il est distribué par Universal France qui a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo, un autre pour le mandat de distribution télévision payante, un autre pour le mandat de distribution télévision gratuite et un dernier pour le mandat de vente à l’étranger.

Octopolis avait produit « Big Foot family », un film d’animation sorti le 5 août 2020. Il était réalisé par Ben Stassen et Jérémie Dégruson. Son budget prévisionnel était de 15,2 millions €.

Apollo avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution et salle et Charades un minimum garanti pour le mandat de distribution à l’étranger.

Le film avait rassemblé 454 00 spectateurs en France.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.