Archive d’étiquettes pour : les films du 24

« Ducobu passe au vert ! » est la 5ème version cinématographique adaptée des célèbres bandes dessinées de Zidrou & Godi. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ducobu_passe_au_vert#:~:text=Ducobu%20passe%20au%20vert%20est,Ducobu%20de%20Godi%20et%20Zidrou. Toutes sont interprétées par Élie Semoun, mais c’est le seconde qu’il met en scène. https://fr.wikipedia.org/wiki/Élie_Semoun

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Elie Semoun

Il s’agit d‘une coproduction entre la France (77%) et la Belgique (33%) pour un budget prévisionnel de 9,6 millions €, ce qui revient à 80% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/Pour la préparation, 46 jours de tournage en Belgique et  la post-production la rémunération du réalisateur est de 400 000 €, dont 300 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 100 000 € de salaire de technicien. C’est près de trois fois la rémunération moyenne des réalisateurs des films de fiction. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/Il a écrit le scénario avec Avec Guy Laurent et Marc Chauveron pour 150 000 €. C’est les trois quarts du budget des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 197 000 €, soit 90% de la rémunération moyenne des rôles principaux. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs français sont Les Films du 24 (Brigitte Maccioni) et les Films du Premier (Romain Rojtam). TF1 films production est coproducteur. Canal+, Ciné+, TF1 (2 passages) et TMC l’ont pré-acheté. UGC a donné un minimum garanti pour les droits de distribution monde hors Belgique.

Le producteur belge est  Umédia (Adrian Politowski). Wallimage  a apporté son soutien et Distri 7 a donné un minimum garanti pour la distribution.

Le précédent film d’Élie Semoun, « Ducobu président ! », est sorti le 13 juillet 2022. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ducobu_président_!#:~:text=Pour%20plus%20de%20détails%2C%20voir,Ducobu%20de%20Godi%20et%20Zidrou. Son budget était de 9,9 millions €. La rémunération d’Élie Semoun était déjà de 400 000 €. Il avait les mêmes producteurs et le même distributeur. Le film avait rassemblé 1,134 millions de spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

La comédie « Karaoké » https://fr.wikipedia.org/wiki/Karaoké , dans laquelle on assiste à un duo de karaoké déjanté, est le deuxième film réalisé par Stéphane Ben Lahcen https://cinedweller.com/celebrity/stephane-ben-lahcene/qui avait déjà été le scénariste de plusieurs comédies.

 Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Stéphane Ben Lahcen

Son budget prévisionnel est de 7,2 millions €, soit 40% de plus que le budget moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 36 jours de tournage en France, mais aussi au Japon, et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit seulement deux tiers de de la rémunération moyenne des réalisateurs des films de fiction français de l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario pour 70 000 €, ce qui revient au tiers du budget des scénarios des films de 2023. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/. En revanche, les deux rôles principaux, Claudia Tagbo et Michèle Laroque, ont reçu 450 000 €, soit un peu moins du double de ce que les rôles principaux ont reçu en moyenne l’année dernière.  https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est Les films du 24 (Yves Marmion). TF1 films production est coproducteur. Canal+, Ciné+, TF1 (2 passages) et TMC l’ont préacheté. L’ UGC a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le premier film réalisé par Stéphane Ben Lahcen était « Premier de la classe », sorti le 10 juillet 2019 et qui avait rassemblé 401 000 spectateurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Premier_de_la_classe Il s’agissait d’une coproduction entre la France (67%) et la Belgique (33%) pour un budget prévisionnel de 6 millions €. Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 72 000 €, dont 19 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 53 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 15 000 €. Les films du 24 étaient déjà le producteur. M6 était coproducteur. OCS, M6 et W9 l’avaient préacheté. UGC avait donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution. Le producteur Belge était Umédia.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LES VENGEANCES DE MONSIEUR POUTIFARD »

Après deux semaines de creux, avec la fête du cinéma arrivent des films à fort potentiel. A commencer tout d’abord pour le nouvel Indiana Jones qui bénéficie d’un excellent bouche à oreille.

« Les vengeances de monsieur Poutifard » qui sort demain, est un  film a gros budget. C’est le 7ème long métrage par Pierre-François Martin-Laval qui est aussi un comédien de très nombreux films. https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre-François_Martin-Laval

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (75%,) et la Belgique (25%) pour un budget prévisionnel de 15,6 millions  €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Vengeances_de_Maître_Poutifard

C’est le 7ème devis le plus élevé des films Français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 315 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 25% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films.

Il s’agit de l’adaptation du livre de Jean-Claude Mourlevat  « La troisième vengeance de maitre Poutifard » dont les droits ont été acquis 55 000 €. Le réalisateur a écrit le scénario pour 185 000 €.  Le budget de ce scénario est 5% de plus que le budget moyen du scénario de ces films. Les rôles principaux ont reçu 1,45 millions €. C’est 6 fois ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

Les producteurs Français sont Les Films du 24 (Yves Marmion, Romain Rojtma) et Les films du Premier (Brigitte Maccioni). TF1 est coproducteur. Le film a été acheté par Canal+,Ciné+,  TF1 (2 passages) et TMC. UGC a donné un minimum garanti pour tous droits du monde.

Le producteur Belge est Unimedia Production (Richard Almes) avec le soutien de Wallimage.

Le précédent film de Pierre-François Martin-Laval était Fahim, sorti le 16 octobre 2019. Il était produit par Waiting for Cinéma  (Patrick Godeau) et Alicéo (Patrick Godeau) pour un budget prévisionnel de 9 millions €.

Pour la préparation, 50 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 250 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Philippe Elno et Thibault Vanhulle pour 113 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 227 000 €.

Delta Cinéma, Wild Bunch et France 3 étaient coproducteurs. Le film avait obtenu  l’aide à la diversité du CNC et le soutien de la région Ile de France. 3 soficas y avaient investi. Canal+, Multithématiques et France 3 l’avaient préacheté.

Wild bunch avait donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et Svod. Elle Driver avait donné un minimum garanti pour le mandat étranger hors Belgique, Suisse, Russie. Le film avait rassemblé 235 000 spectateurs.

Notons que deux films réalisés par Pierre-François Martin-Laval et distribués par UGC avaient réalisé  3,957 1millions d’entrées, « Les Profs » sorti le 7 avril 2013  et 3,5  millions d’entrées, « Les Profs 2   » , sorti le 1 juillet 2015.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « NOTRE TOUT PETIT PETIT MARIAGE »

Cette comédie est son 4ème film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Quiring

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Les films du 24 (Yves Marmion et Romain Rojtman) pour un budget prévisionnel de 7,6 millions € ce qui est 60% de plus que le budget prévisionnel moyen des films français de fiction sortis en 2022. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-films-francais-de-fictio/

Pour la préparation, 31 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 190 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il a écrit le scénario pour 90 000 €. C’est les trois quarts du budget médian des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 215 000 €, soit 20% de plus que la moyenne de ces films.

TF1 est coproducteur et la région PACA lui a apporté son soutien. Canal+, Ciné +, TF1 (2 passages) et TMC (2 passages) l’ont préacheté. UGC a donné un minimum garanti pour tous les droits de distribution monde.

Le précédent film réalisé par Frédéric Quiring était « La très très grande classe », sorti le 10 août 2022. Il était produit par Les Films du 24 et Les Films du Premier pour un budget prévisionnel de 7,6 millions €.

Pour la préparation, 31 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 190 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 90 000 € et les rôles principaux avaient touché 311 000 €.

Canal+, Multithématiques, TF1 (2 passages) et TMC (2 passages) l’avaient préacheté. UGC avait donné un minimum garanti pour tous les droits de distribution monde. Le film avait rassemblé 387 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « MES TRÈS CHERS ENFANTS »

Cette comédie est son 6ème long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandra_Leclère

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il a été produit par Olivier Kahn pour Les films du 24  pour un budget prévisionnel de 9 millions €. Cette société était dirigée par Brigitte Maccioni-Charnelet qui est devenue PDG d’UGC depuis cette année. Sa dernière production était Ducobu 3 qui avait rassemblé 1,5 millions de spectateurs.

Pour la préparation, 44 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 75 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 65 000 € de salaire de technicien. C’est beaucoup moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs/

Mais la rémunération de la réalisatrice pour l’écriture su scénarios est de 210 000 €. Ce qui est la rémunération moyenne des scénarios en 2021. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-au-9-11/

OCS a préacheté deux passages du film et France 2 également 2, tout en étant coproducteur.

UGC est distributeur avec tous les mandats sans avoir donné de minimum garanti.

Le précédent film de la réalisatrice était une autre comédie, « Garde alternée », sorti le 20 décembre 2017. Il était produit par Pan-Européenne pour un budget prévisionnel de 8 millions € et distribué par Wild Bunch.

Pour la préparation, 47 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 250 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Elle avait en outre reçu 250 000 € pour le scénario.

Le film avait rassemblé 490 000 spectateu

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.