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LA RÉMUNÉRATION DE ALEXANDRA LECLERC

POUR LA RÉALISATION DE « MES TRÈS CHERS ENFANTS »

Cette comédie est son 6ème long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alexandra_Leclère

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il a été produit par Olivier Kahn pour Les films du 24  pour un budget prévisionnel de 9 millions €. Cette société était dirigée par Brigitte Maccioni-Charnelet qui est devenue PDG d’UGC depuis cette année. Sa dernière production était Ducobu 3 qui avait rassemblé 1,5 millions de spectateurs.

Pour la préparation, 44 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 75 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 65 000 € de salaire de technicien. C’est beaucoup moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs/

Mais la rémunération de la réalisatrice pour l’écriture su scénarios est de 210 000 €. Ce qui est la rémunération moyenne des scénarios en 2021. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-au-9-11/

OCS a préacheté deux passages du film et France 2 également 2, tout en étant coproducteur.

UGC est distributeur avec tous les mandats sans avoir donné de minimum garanti.

Le précédent film de la réalisatrice était une autre comédie, « Garde alternée », sorti le 20 décembre 2017. Il était produit par Pan-Européenne pour un budget prévisionnel de 8 millions € et distribué par Wild Bunch.

Pour la préparation, 47 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 250 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Elle avait en outre reçu 250 000 € pour le scénario.

Le film avait rassemblé 490 000 spectateu

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.