Archive d’étiquettes pour : Gaumont

« La passion de Dodin Bouffant », qui représente la France aux Oscars, est le 7èmefilm réalisé par Tran Anh Hungh. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Tr%E1%BA%A7n_Anh_H%C3%B9ng

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Curiosa Films (Olivier Delbosc), le producteur de la série « D’argent et de sang » que diffuse Canal+. Son budget prévisionnel est de 6,1 millions €. C’est un quart de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 139 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.  C’est la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de de fiction. Il a écrit le scénario pour 140 000 € ce qui correspond à deux tiers du budget moyen des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 205 000 €, ce qui est la rémunération moyennes des rôles principaux de ces films.

Gaumont et France 2 sont coproducteurs. La Procirep et l’Angoa ont apporté leur soutien. France 2, Canal+ et Ciné+ ont effectué un pré-achat. Gaumont a tous les mandats de distribution sans avoir apporté de minimum garanti.

Le précédent film de Tran Anh Hung était « L’Éternité », sorti le 7 septembre 2006. https://fr.wikipedia.org/wiki/Éternité_(film) C’était une coproduction entre la France (70%) et la Belgique (30%) pour un budget prévisionnel de 11,2 millions €. Pour la préparation, 47 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 135 000 €, dont 90 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. Pathé avait donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution, sauf le Bénélux. Le film avait rassemblé 126 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

LA RÉMUNÉRATION DE LEÏLA SY ET AMADOU MARIKO

Cette comédie est le premier long métrage pour le cinéma alors qu’elle en a déjà réalisé un pour Netflix, diffusé en 2019. https://fr.wikipedia.org/wiki/Leïla_Sy

Elle l’a réalisé avec Amadou Mariko dont c’est également le premier long métrage pour le cinéma.

https://www.linkedin.com/in/amadou-mariko-73b11b100/?originalSubdomain=fr

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Gaumont (Sidonie Dumas) et Douze doigts production (Camille Moulonguet et Jean-Pascal Jadie) pour un budget prévisionnel de 6,5 millions €. C’est 20% de plus que le budget prévisionnel moyen des fictions françaises sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération des deux réalisateurs est de 115 000 €, dont 25 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 90 000 € de salaire de technicien. C’est 40% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Amadou Mariko a écrit le scénario pour 50 000 €. C’est 60% du budget médian des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 185 000 €. C’est 80% de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

France 2 est coproducteur et la région Ile-de-France a apporté son soutien. Netflix  (premier et second passage S-Vod ) et France 2 l’ont préacheté. Gaumont est distributeur sans minimum garanti.

La fiction que Leïla Sy avait réalisé avec Kery James pour Netflix et qui avait été diffusé à partir du 12 octobre 2019 était « Banlieusards ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Banlieusards Il était produit par Les films Velvet et Srab Films.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « RUMBA LA VIE »

C’est le 2ème long métrage réalisé par Franck Dubosc qui est avant tout une star du cinéma français. Il est d’ailleurs le principal interprète du film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Franck_Dubosc

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Le budget du film est de 11,2 millions €.

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 220 000 €, dont 200 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 20 000 € de salaire de technicien. Il a également écrit le scénario pour lequel il a reçu 600 000 €.  https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs-fin-mai-2022/

C’est Sidonie Dumas (Prod Gaumont) qui l’a produit en investissant du numéraire et du soutien automatique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Rumba_la_vie

Gaumont est également distributeur avec tous les mandats, sauf le Bénélux, sans avoir donné de minimum garanti.

Franck Dubosc est coproducteur par sa société Pour toi public tout comme TF1 Films productions.

TF1 est coproducteur et a acheté un passage. TMC, OCS et Multithématiques ont également acheté un passage. La Région Ile France lui a apporté son soutien et une sofica adossée y a investi.

Le coproducteur Belge Nexus Factury a investi 5% et possède les mandats sur le Bénélux.

Le premier film réalisé par Franck Dubosc était « Tout le monde debout », sorti le 14 mars 2018. Il était produit par Gaumont et LGM pour un budget prévisionnel de 10 millions €.

Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 500 000 €, dont 400 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 100 000 € de salaire de technicien.

Il avait écrit le scénario avec Declan May  et ils s’étaient partagés 600 000 €. Pour toi public était coproducteur tout comme TF1 film production. La Région Ile de France avait apporté son soutien. OCS, Multithématiques ont préacheté un passage.

Gaumont avait tous les mandats de distribution sauf le Bénélux Le coproducteur Belge Nexus Factury avait investi 5% et possèdait les mandats sur le Bénélux.

Le film avait rassemblé en France 2,4 millions de spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples