Archive d’étiquettes pour : Gaumont

Cette histoire d’une femme à barbe au début du XXème siècle, « Rosalie », https://fr.wikipedia.org/wiki/Rosalie_(film,_2024) est le second film de Stéphanie di  Giusto. https://fr.wikipedia.org/wiki/Stéphanie_Di_GiustoIl sort demain.

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Stéphanie di Guisto

Son budget prévisionnel est de 6,6 millions € ce qui est 30% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 53 000 €, dont 15 500 € d’à valoir sur droits d’auteur et 37 500 € de salaire de technicien, soit 75% de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Elle a écrit le scénario avec Sandrine Le Costumer pour 147 000 €, soit trois quarts du budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 250 000 €, ce qui revient à 20% de plus que leur rémunération moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est Trésor Films (Alain Attal). LDRP Laurent Dassault est coproducteur. 4 soficas garanties y ont investi. La région Bretagne lui a apporté une aide remboursable. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Gaumont a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le premier film de Stéphanie di Giusto était « La danseuse » sorti le 29 septembre 2016. https://fr.wikipedia.org/wiki/Rosalie_(film,_2024) C’était déjà un film d’époque inspiré d’une histoire réelle.

Il s’agissait d’une coproduction entre la France (70%), la Belgique (20%) et la République Tchèque (10%) pour un budget prévisionnel de 8,5 millions €. Pour 46 jours de tournage la rémunération de la réalisatrice était de 100 000 €. Le producteur délégué était déjà Les Films du Trésor. Wild Bunch et Orange Studio étaient coproducteurs. Le film avait bénéficié de 620 000 € d’avance sur recettes. Wild Bunch était le distributeur. Le film avait rassemblé 226 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Hors-saison » https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Hors-Saisonest le 10ème film réalisé par Stéphane Brizé. https://fr.wikipedia.org/wiki/Stéphane_Brizé

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Stéphane Brizé

Le budget prévisionnel de cette thalasso nostalgique hors saison est de 5,6 millions, soit un peu plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023.   https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/  Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 278 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu plus que le double de la rémunération des réalisateurs de fiction l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Il  a écrit le scénario avec Marie Drucker pour 305 000 €, soit 50% de plus que la moyenne du budget des scénarios en 2023. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/Les deux rôles principaux ont reçu 250 000 €, soit 15% de plus que la moyenne de ce qu’ils ont reçu l’année dernière. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

C’est Gaumont (Sidonie Dumas) qui est le producteur délégué. Canéo (Guillaume Canet) et France 3 sont coproducteurs. La Procirep et l’Angoa ont apporté une aide. Le film a été préacheté par Canal+, Ciné+ et France 3. Gaumont est distributeur sans minimum garanti.

Le précédent film de Stéphane Brizé était « Un autre monde », sorti le 16 février 2022. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Un_autre_monde_(film,_2021) Son budget prévisionnel était 4,2 millions €. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-stephane-brize/

Pour la préparation, 23 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 109 000 €, dont 60 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 49 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 166 000 € et les rôles principaux avaient reçu 217 000 €.

Le producteur délégué était Nord-Ouest Films. France 3 était coproducteur. La région Nouvelle-Aquitaine et le département de la Dordogne lui avaient apporté leur soution.2 soficas y avaient investi. OCS, Multithématiques et France 3 l’avaient préacheté. Diaphana avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en France et MK2 pour le mandat de ventes à l’étranger. Le film avait rassemblé 490 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Chien & chat » est un film qui mélange animation et live. https://fr.wikipedia.org/wiki/Chien_et_Chat . C’est le 3ème long métrage réalisé par la comédienne franco-italo-libanaise Reem Kherici. https://fr.wikipedia.org/wiki/Reem_Kherici

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Reem Kherici

Cette coproduction entre la France (68%) et le Canada (32%) a un budget prévisionnel de 19,2 millions €. C’est près de 4 fois le budget moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Et c’est le budget le plus élevé des films français sortis depuis le début de l’année. Pour la préparation, 34 jours de tournage (dont 33 au Canada) et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 400 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit le triple de la rémunération moyenne des réalisateurs de film français l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Elle a écrit le scénario pour 325 000 €, soit plus d’une fois et demi le budget moyen des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux , dont la réalisatrice, ont reçu 346 000 €. C’est 60% de plus que la moyenne de ce qu’ils ont reçu en 2023. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Mandarin Production (Éric et Nicolas Altmayer) et La Station Animation (Christian Ronget) sont les producteurs délégués. Gaumont et TF1 sont coproducteurs. Le CNC a accordé une aide automatique et une aide sélective aux effets visuels numériques (CVSA). Netflix, TF1 (2 passages), TMC (2 passages) l’ont préacheté. Gaumont a tous les mandats de distribution.Le producteur canadien est Canin et Felin qui a bénéficié de l’aide de Téléfilm Canada et d’un minimum garanti de distributeur.

 Le précédent film de était « Jour J », sorti le 26 avril 2017 pour un budget prévisionnel de 6,9 millions €. Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 175 000 €, dont 120 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 50 000 € de salaire de technicien. Elle avait écrit le scénario avec Philippe Lacheau et Stéphane Kazadjian pour 200 000 €. Les rôles principaux, dont elle, avaient reçu 242 000 €.

Fidélité (Curiosa films et Moana Films) était coproducteur. Rhônes-Alpes Cinéma, Pathé et France 2 étaient coproducteurs. Le film avait bénéficié d’aides diverses du CNC et d’une aide de la région Ile de France. Canal+, Multithématiques et France 2 l’avaient préacheté. Pathé avait donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution. Le film avait rassemblé  415 000 spectateurs.

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« Une affaire d’honneur » est le quatrième long métrage réalisé par Vincent Perez, qui a avant tout été l’interprète de très nombreux films et, dans celui-ci, joue le rôle du méchant. https://fr.wikipedia.org/wiki/Vincent_Perez Il se passe à l’époque où les duels étaient rois. https://fr.wikipedia.org/wiki/Une_affaire_d%27honneur_(film)

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Son budget prévisionnel est de 11,4 millions €, soit 2,4 fois le budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 39 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 50% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario avec la dialoguiste Karine Silla pour 200 000 €, ce qui correspond à peu près au budget moyen des scénarios des films de fiction. Les rôles principaux ont reçu 398 000 €, soit un peu moins du double de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour les films français de 2023..

Gaumont est producteur délégué et France 2 cinéma coproducteur. Le film a bénéficié de l’aide du CNC pour les effets visuels numériques et d’un soutien de la région Ile de France. Canal+, Ciné+ (2 passages) et France 2 l’on préacheté. Gaumont a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le précédent film réalisé par Vincent Perez était « Seul dans Berlin », sorti le 23 novembre 2016. C’était une coproduction entre la France (21%), l’Allemagne (59%) et le Royaume-Uni (20%)  pour un budget prévisionnel de 14,7 millions €. Il était tourné en anglais. https://fr.wikipedia.org/wiki/Seul_dans_Berlin_(film,_2016)

En France son producteur était Master Movies et Pathé était coproducteur. La rémunération de Vincent Perez était de 80 000 €. Il était tiré d’un livre de Hans Fallada dont les droits d’adaptation ont été acquis pour 150 000 €. Le réalisateur a écrit le scénario avec  Akim et Bettina Von Borries pour 310 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 1,63 millions €. Le film avait été préacheté par Canal+. Pathé avait donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod. Le film n’avait rassemblé que 45 000 spectateurs.

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La comédie “Noël Joyeux” est le second long métrage de cinéma réalisé par Clément Michel qui est par ailleurs comédien, réalisateur pour la télévision et auteur de pièces de théâtre. https://fr.wikipedia.org/wiki/Clément_Michel

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Son budget prévisionnel est de 8,4 millions € ce qui est trois-quarts de plus que la moyenne des budgets prévisionnels des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, ce qui correspond aux deux tiers de la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction français. Clément Michel a écrit le scénario pour 90 000 €, ce qui est le budget médian des scénarios des films de fiction. Les rôles principaux(Franck Dubosc, Emmanuelle Devos, Danielle Lebrun et Danielle Michaud) ont reçu 750 000 €, ce qui est trois fois et demi ce que les rôles principaux ont reçu en moyenne pour le films de fiction. Il est clair que la production a donné la priorité au casting. https://fr.wikipedia.org/wiki/Noël_Joyeux

Gaumont (Sidonie Dumas et Claude Colbosc) est le producteur délégué et TF1 Films Production coproducteur. Canal+, Ciné+, TF1 et TMC l’ont préacheté. Gaumont est le distributeur.

Le premier film de Clément Michel, « La stratégie de la poussette », était également une comédie, sortie en salle le 3 janvier 2013. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Stratégie_de_la_poussette  . Son budget prévisionnel était de 5,1 millions €. Pour la préparation, 38 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Clément Michel avait écrit le scénario avec Louis-Paul Desanges. Sombrero Films était le producteur et StudioCanal le distributuer. Le film avait rassemblé 290 000 spectateurs.

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« La passion de Dodin Bouffant », qui représente la France aux Oscars, est le 7èmefilm réalisé par Tran Anh Hungh. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Tr%E1%BA%A7n_Anh_H%C3%B9ng

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Il est produit par Curiosa Films (Olivier Delbosc), le producteur de la série « D’argent et de sang » que diffuse Canal+. Son budget prévisionnel est de 6,1 millions €. C’est un quart de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 139 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.  C’est la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de de fiction. Il a écrit le scénario pour 140 000 € ce qui correspond à deux tiers du budget moyen des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 205 000 €, ce qui est la rémunération moyennes des rôles principaux de ces films.

Gaumont et France 2 sont coproducteurs. La Procirep et l’Angoa ont apporté leur soutien. France 2, Canal+ et Ciné+ ont effectué un pré-achat. Gaumont a tous les mandats de distribution sans avoir apporté de minimum garanti.

Le précédent film de Tran Anh Hung était « L’Éternité », sorti le 7 septembre 2006. https://fr.wikipedia.org/wiki/Éternité_(film) C’était une coproduction entre la France (70%) et la Belgique (30%) pour un budget prévisionnel de 11,2 millions €. Pour la préparation, 47 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 135 000 €, dont 90 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. Pathé avait donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution, sauf le Bénélux. Le film avait rassemblé 126 000 spectateurs.

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LA RÉMUNÉRATION DE LEÏLA SY ET AMADOU MARIKO

Cette comédie est le premier long métrage pour le cinéma alors qu’elle en a déjà réalisé un pour Netflix, diffusé en 2019. https://fr.wikipedia.org/wiki/Leïla_Sy

Elle l’a réalisé avec Amadou Mariko dont c’est également le premier long métrage pour le cinéma.

https://www.linkedin.com/in/amadou-mariko-73b11b100/?originalSubdomain=fr

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Il est produit par Gaumont (Sidonie Dumas) et Douze doigts production (Camille Moulonguet et Jean-Pascal Jadie) pour un budget prévisionnel de 6,5 millions €. C’est 20% de plus que le budget prévisionnel moyen des fictions françaises sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération des deux réalisateurs est de 115 000 €, dont 25 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 90 000 € de salaire de technicien. C’est 40% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Amadou Mariko a écrit le scénario pour 50 000 €. C’est 60% du budget médian des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 185 000 €. C’est 80% de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

France 2 est coproducteur et la région Ile-de-France a apporté son soutien. Netflix  (premier et second passage S-Vod ) et France 2 l’ont préacheté. Gaumont est distributeur sans minimum garanti.

La fiction que Leïla Sy avait réalisé avec Kery James pour Netflix et qui avait été diffusé à partir du 12 octobre 2019 était « Banlieusards ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Banlieusards Il était produit par Les films Velvet et Srab Films.

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POUR LA RÉALISATION DE « RUMBA LA VIE »

C’est le 2ème long métrage réalisé par Franck Dubosc qui est avant tout une star du cinéma français. Il est d’ailleurs le principal interprète du film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Franck_Dubosc

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Le budget du film est de 11,2 millions €.

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 220 000 €, dont 200 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 20 000 € de salaire de technicien. Il a également écrit le scénario pour lequel il a reçu 600 000 €.  https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs-fin-mai-2022/

C’est Sidonie Dumas (Prod Gaumont) qui l’a produit en investissant du numéraire et du soutien automatique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Rumba_la_vie

Gaumont est également distributeur avec tous les mandats, sauf le Bénélux, sans avoir donné de minimum garanti.

Franck Dubosc est coproducteur par sa société Pour toi public tout comme TF1 Films productions.

TF1 est coproducteur et a acheté un passage. TMC, OCS et Multithématiques ont également acheté un passage. La Région Ile France lui a apporté son soutien et une sofica adossée y a investi.

Le coproducteur Belge Nexus Factury a investi 5% et possède les mandats sur le Bénélux.

Le premier film réalisé par Franck Dubosc était « Tout le monde debout », sorti le 14 mars 2018. Il était produit par Gaumont et LGM pour un budget prévisionnel de 10 millions €.

Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 500 000 €, dont 400 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 100 000 € de salaire de technicien.

Il avait écrit le scénario avec Declan May  et ils s’étaient partagés 600 000 €. Pour toi public était coproducteur tout comme TF1 film production. La Région Ile de France avait apporté son soutien. OCS, Multithématiques ont préacheté un passage.

Gaumont avait tous les mandats de distribution sauf le Bénélux Le coproducteur Belge Nexus Factury avait investi 5% et possèdait les mandats sur le Bénélux.

Le film avait rassemblé en France 2,4 millions de spectateurs.

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