Archive d’étiquettes pour : Emmanuel Mouret

Pour son 12ème long métrage, « Trois amies  https://fr.wikipedia.org/wiki/Trois_Amies,Emmanuel Mouret https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Mouret, nous fait découvrir l’heureuse complexité des sentiments.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Emmanuel Mouret    

Son budget prévisionnel est 3,3 millions €. C’est le budget médian des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/ Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 90% de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/. Il a écrit le scénario avec Carmen Leroi pour 210 000 €, soit 50% de plus que le budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/Les rôles principaux ont reçu 188 000 €, ce qui correspond à 90% de leur rémunération moyenne. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Le producteur délégué est Moby Dick Films (Frédéric Niedermayer). La région Auvergne-Rhône-Alpes et Arte sont coproducteurs. Une sofica non garantie y a investi. Canal+, Ciné+ et Arte l’ont pré-acheté. Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, Vad et VàDa.

Le précédent film d’Emmanuel Mouret était « Chronique d’une liaison passagère », sorti en 2022. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-demmanuel-mouret-2/Son budget prévisionnel était également de 3,3 millions € et la rémunération du réalisateur de 80 000  €. Il avait écrit le scénario avec Pierre Giraud. Le film était déjà produit par Moby Dick Films et distribué par Pyramide. Il avait rassemblé 330 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

POUR LA RÉALISATION DE « CHRONIQUE D’UNE LAISON PASSAGÈRE »

C’est son 11ème film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Mouret

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Frederick Niermayer (Moby Dick Films) pour un budget prévisionne de 3,3 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Chronique_d%27une_liaison_passagère

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 20% de moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs/ Le scénario a été écrit avec Pierre Giraud et ils se sont partagés 140 000 € ce qui est un peu plus élevé que le budget médian des scénario des films français sortis depuis le début de l’année.https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-2/

Le film a bénéficié du soutien des régions Ile de France et Paca. Canal+ et Multithématiques ont préacheté un passage. Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats salle et vidéo.

Parmi les films sortis ce mercredi c’est ce film qui, selon Comscore, est en tête 21 000 entrées dans 280 salles.

Son précédent film était « Les choses qu’on dit, les choses qu’on fait », sorti le 15 septembre 2020. Il avait le même producteur et le même distributeur. Il avait eu le soutien des deux mêmes régions. Son budget prévisionnel était de 3,4 millions €.

Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était  de 125 000 €, dont 80 000 € d’à-valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario et reçu 120 000 €.

Canal+ et Multithématiques avaient préacheté un passage. Le film avait rassemblé 280 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA REALISATION « LES CHOSES QU’ON DIT, LES CHOSES QU’ON FAIT »

Le nouveau films réalisé par Emmanuel Mouret vient de sortir.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Choses_qu%27on_dit,_les_choses_qu%27on_fait

C’est son 10ème.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Mouret

Comme les précédents il a été produit par Moby Dick Films (Férédic Nidermayer) et distribué par Pyramide distribution (Eric Lagesse)

Cinéfinances.info*  a fourni les données financières de cet article.

Son budget est de 3,4 millions €, ce qui correspond à la moyenne des films français.

Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 125 000 €, dont 45 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 80 000  € de salaire de technicien.  C’est un peu moins que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français déjà sortis en 2020. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs-de-films/

Mais Emmanuel Mouret a reçu aussi 120 000 € pour le scénario et 60 000 € de compléments qui sont inscrits dans la ligne Sujet du budget.

Le précédent film d’Emmanuel Mouret,  « Mademoiselle de Joncquières », était sorti en 2018. Son budget était de 3,6 millions €. Il était tiré d’un roman de Denis Diderot dont les droits avaient été achetés 70 000 €. La rémunération du réalisateur avait été de 40 000 €, dont 15 000 € en à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € en salaire de technicien. Mais il avait touché en outre 70 000 € pour le scénario. 

Le film avait atteint presque 450 000 entrées, ce qui explique la hausse substantielle de la rémunération fixe totale d’Emmanuel Mouret.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.