Archive d’étiquettes pour : Curiosa films

Le 19ème film d’Olivier Assayas, https://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Assayas#Biographie, «Hors du temps » est une autobiographie sous forme de comédie dramatique. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hors_du_temps_(film,_2024)

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Olivier Assayas

Son budget prévisionnel est de 1,1 millions €, ce qui est moins que le tiers du budget prévisionnel médian des films français de fiction sortis depuis le début de l’année https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/. Pour la préparation, 20 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 30 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 40% de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/,  Il n’y a pas de rémunération du scénario et les rôles principaux ont reçu 21 000 €, soit 22% de leur rémunération médiane. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Curiosa Films (Olivier Delbosc) & Vortex Sutra (Sylvie Barthet) sont les producteurs délégués. 3 soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Ad Vitam a le mandat de distribution salle et Playtime le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film d’Olivier Assayas était « Cuban Network », sorti le 29 janvier 2019. https://film.fandom.com/fr/wiki/Cuban_Network . Son budget prévisionnel était de 10 millions €. C’était une coproduction entre la France (62%), l’Espagne (20%), la Belgique (10%) et le Brésil (8%). Pour la préparation, 49 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 315 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.CG Cinéma était le producteur délégué. F2 est coproducteur. Le distributeur Memento Distribution avait donné un minimum garanti. Le film a rassemblé 185 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Un coup de dés » , https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_coup_de_dés, est un thriller dont Yvan Attal est à la fois réalisateur, scénariste, interprète et producteur. C’est son 9ème long métrage en tant que réalisateur. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yvan_Attal

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Son budget prévisionnel est 6,6 millions €, ce qui est 30% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération d’Yvan Attal est de 300 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 2,2 fois la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a coécrit le scénario avec Yaël Langmann et ils se sont partagés 330 000 €, soit deux tiers de plus que le budget moyen des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux, dont lui, se sont partagés 213 000 €, comme la moyenne des rôles principaux en 2023. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Curiosa films  (Olivier Delbosc) et Films sous un influence (Yvan Attal) sont producteurs délégués. SND et France 2 sont coproducteurs. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. SND a investi en tant que coproducteur et pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film d’Yvan Attal était également un thriller, « Les choses humaines », sorti le 1er décembre 2021. Il y exerçait déjà ces 4 rôles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Choses_humaines_(film)

Il était tiré du roman de Caroline Thuil, dont les droits d’adaptation avaient été acquis 202 000 € Les producteurs délégués et les scénaristes étaient les mêmes. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-yvan-attal/

Le budget prévisionnel du film était de 7,9 millions €. Pour la préparation, 43 jours de tournage et la post-production la rémunération d’Yvan Attal  était de 450 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Les scénaristes avaient reçu 335 000 € et les rôles principaux 161 000 €. Gaumont avait donné un minimum garanti pour tous les mandats. Le film avait rassemblé 182 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Making of », une comédie très bien accueillie par la presse https://fr.wikipedia.org/wiki/Making_of_(film,_2023),  est le 13 ème long métrage réalisé par Cédric Khan. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cédric_Kahn

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Son budget prévisionnel est de 3,6 millions €, soit le budget médian des films de fiction français en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est trois quarts de la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario avec Fanny Burdino et Samuel Doux pour 177 000 € ce qui représente 80% du budget moyen des scénarios. Enfin les rôles principaux ont reçu 110 000 € ce qui est 55% de ce qu’ils ont reçu en moyenne.

Le producteur est Curiosa Films (Olivier Delbosc). France 2 est coproducteur et trois soficas y ont investi. Canal+n Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod. Elle Driver a le mandat de vente internationale sans minimum garanti.

Le précédent film de Cédric Khan était « Le procès Goldman », sorti le 27 septembre 2023. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-cedrick-khan/ Pour la préparation, 15 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 73 000 €, dont 35 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 38 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Nathalie Hertzberg pour 126 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 47 000 €.

Le producteur était Les Films du Worso. Le film avait reçu  570 000 € d’avance sur recettes. Ad Vitam était déjà distributeur. Le film avait rassemblé 335 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

La comédie « Chasse gardée », sur le choc de bobos parisiens contre chasseurs de la campagne, est co-réalisée par Frédéric Forestier, dont c’est le 9ème film réalisé ou coréalisé, https://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Forestier

et Antonin Fourlon, dont c’est le premier long métrage réalisé.

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Son budget prévisionnel est de 9,3 millions €, ce qui revient à un peu moins du double du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération des deux réalisateurs est de 280 000 €, dont 138 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 142 000 € de salaire de technicien. C’est le double de la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. Ils ont coécrit le scénario pour 115 000 €, soit 55% du budget moyen des scénarios des films de fiction. Les rôles principaux ont reçu 376 000 €, soit 1,8 fois ce qu’ils ont reçu en moyenne.

Curiosa Films (Olivier Delbosc) et Starman Films (Julien Arnoux) sont producteurs délégués. TF1 film production est coproducteur. Le CNC a accordé une aide aux Créations visuelles et sonore tandis que Pictanovo (région Hauts-de-France) a apporté son soutien.

Canal+, Ciné+, et TF1 (2 passages), l’ont préacheté. UGC a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film de Frédéric Forestier était « Les Bodin’s en Thaïlande », sorti le 17 novembre 2021. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-frederic-forestier-2/ Son budget prévisionnel était de 6,9 millions €. Cheyenne Prooduction était producteur délégués. M6 et SND étaient coproducteurs.

Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur avait été de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Vincent Dubois, Jean-Christian Fraiscinet et Eric Leroch  pour 686 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 60 000 €.

M6 et W9 l’avaient préacheté. SND avait donné des minima garantis séparés pour tous les mandats. Le film avait rassemblé 1 643 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« La Tresse » est le 3ème long métrage réalisé par Laetitia Colombani qui est également actrice de nombreux films et auteur de romans. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lætitia_Colombani Ce film est d’ailleurs tiré de son roman « La Tresse » qui a vendu 2 millions d’exemplaires en France et qui a été un succès mondial. Ce best-seller porté au cinéma vise à devenir un blockbuster français.

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C’est une coproduction, tournée en anglais, entre la France (54%), l’Italie (21%), le Canada (21%) et la Belgique (2%) pour un budget prévisionnel de 8 millions €.  C’est deux tiers de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 64 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 128 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu moins que la moyenne de la rémunération des réalisateurs de films français de fiction. Les droits d’adaptation ont été acquis pour 200 000 € et la réalisatrice a écrit le scénario avec Sarah Kaminski  pour 114 000 €. Le budget du scénario est donc supérieur d’un peu plus de 50% au budget moyen des scénarios des films de fiction français. Les rôles principaux ont reçu 153 000 €, ce qui revient à trois quart de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films de fiction.

Les producteurs français sont Moana Films (Marc Missonnier) et Curiosa Films (Olivier Delbosc). SND et France 2 sont coproducteurs. Canal+, Ciné+ ou OCS, ainsi que France 2 l’ont préacheté. SND a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et S-Vod et un autre pour le mandat ventes internationales.

En Italie le producteur est Indigo Film (Nicola Guiliano, Francesca Cima et Carlotta Calori) qui a bénéficié du crédit d’impôt et du soutien d’Apulia Film fund. Sky et Rai Cinéma l’ont préacheté. Au Canada le film est produit par Forum Films (Richard Lalonde) qui a bénéficié du Crédit Fédéral et du Crédit Provincial. Le producteur Belge est Panache Productions qui a investi son Tax shleter.

Le précédent film de Laetitia Colombani était « Mes stars et moi », sorti le 29 octobre 2008. Il était produit par Nord Ouest films  pour un budget prévisionnel de 7,6 millions €. StudioCanal avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution. Le film avait rassemblé 334 000 spectateurs.

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« Rien à perdre » est le premier film de fiction réalisée par Delphine Deloget qui est l’une des grandes documentaristes françaises, dont les films ont été diffusés à la télévision et au cinéma. Elle a remporté le prix Albert Londres en 2015 pour « A l’heure du Jihad et des trafics humains ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Deloget

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Le film est produit par Curiosa Films (Olivier Delbosc). https://fr.wikipedia.org/wiki/Rien_à_perdre_(film,_2023)

Son budget prévisionnel est de 3,6 millions €, c’est à dire trois quart du budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 50 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 60% de la rémunération moyenne des réalisateurs de fictions françaises. Pour le scénario elle a reçu 30 000 €, soit le tiers du budget médian des scénarios de films français. Les rôles principaux ont reçu 102 000 €, soit moins de la moitié de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour les films de fiction français

Unité Films (Bruno Nahon , Thomas Morvan et Caroline Nataf) et France 3 sont coproducteurs. Une sofica y a investi.  Le film a bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes. La Région Bretagne lui a apporté son soutien. Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo et France télévision distribution international un minimum garanti pour le mandat de ventes internationales.

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« La passion de Dodin Bouffant », qui représente la France aux Oscars, est le 7èmefilm réalisé par Tran Anh Hungh. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/Tr%E1%BA%A7n_Anh_H%C3%B9ng

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Il est produit par Curiosa Films (Olivier Delbosc), le producteur de la série « D’argent et de sang » que diffuse Canal+. Son budget prévisionnel est de 6,1 millions €. C’est un quart de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 139 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.  C’est la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de de fiction. Il a écrit le scénario pour 140 000 € ce qui correspond à deux tiers du budget moyen des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 205 000 €, ce qui est la rémunération moyennes des rôles principaux de ces films.

Gaumont et France 2 sont coproducteurs. La Procirep et l’Angoa ont apporté leur soutien. France 2, Canal+ et Ciné+ ont effectué un pré-achat. Gaumont a tous les mandats de distribution sans avoir apporté de minimum garanti.

Le précédent film de Tran Anh Hung était « L’Éternité », sorti le 7 septembre 2006. https://fr.wikipedia.org/wiki/Éternité_(film) C’était une coproduction entre la France (70%) et la Belgique (30%) pour un budget prévisionnel de 11,2 millions €. Pour la préparation, 47 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 135 000 €, dont 90 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. Pathé avait donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution, sauf le Bénélux. Le film avait rassemblé 126 000 spectateurs.

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POUR LA RÉALISATION DE « STARS AT NOON »

C’est le 16ème long métrage de cette réalisatrice française. https://fr.wikipedia.org/wiki/Claire_Denis . Il a remporté les Grand Prix du festival de Cannes 2022.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Curiosa films pour un budget prévisionnel de 6,2 millions €. C’est 20% de plus que le budget prévisionnel moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/ Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 136 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 60% de la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films.

C’est une adaptation du roman de Denis Johnson, « Des étoiles à midi », dont les droits ont été acquis pour 140 000 €. Elle a écrit le scénario avec Andrew Litvack et Léa Mysisus pour 138 000 €.  C’est 25% de plus que le budget moyen des scénarios de ces films.

Les rôles principaux ont reçu 200 000 €. C’est 10% de moins que ce qu’ont reçu en moyenne les rôles principaux de ces films.

Hypathia Films, Barnstormer et Arte sont coproducteurs. Canal+, Ciné + et Arte l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum  garanti pour les mandats salle, vidéo et vod. Wild Bunch a donné un minimum garanti pour le mandat international.

Le précédent film qu’elle a réalisé est “Avec Amour et Acharnement”, est sorti le 31 août 2022. Il était produit par Curiosa Films pour un budget de 2,6 millions €. C’était une adaptation du roman « Un tournant de la vie » de Christine Angot dont les droits avaient été acquis 85 000 €. Elle avait écrit le scénario pour 10 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 87 000 €.

Deux soficas y avaient investi. Canal+ et Ciné +  l’avaient l’ont préacheté. Ad Vitam avait donné un minimum garanti pour les mandts salle, vidéo et vod. Wild Bunch avait donné un minimum garanti pour le mandat international.

Le film avait rassemblé 157 000 spectateurs.

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POUR LA RÉALISATION DE « LES AMES SŒURS »

C’est son 24ème long métrage de fiction. https://fr.wikipedia.org/wiki/André_Téchiné

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Il est produit par Curiosa Films (Olivier Delbosc) pour un budget prévisionnel de 4,2 millions €. C’est 10% de moins que le budget prévisionnel des films français de fiction sortis en 2022. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-films-francais-de-fictio/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est une fois et demi la rémunération des réalisateurs de ces films. La rémunération pour d’autres de ces films a également été analysée : https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-dandre-techine/

Le scénario a été écrit avec Cédric Anger et ils se sont partagés 200 000 €. C’est 10% de moins que le budget moyen de ces films. Les rôles principaux ont reçu 90 000 €. C’est 20% de la rémunération des rôles principaux de ces films.

La région Occitanie a apporté son soutien. Canal+, Ciné+ et Arte l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo et Vod.

Le précédent film d’André Téchiné était « L’adieu à la nuit », sorti en salle le 24 avril 2019. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-du-realisateur-andre-techine/  C’était une coproduction entre la France (80%) et l’Allemagne (20%).

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 120 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait coécrit le scénario avec Léa Mysus et ils se sont partagés 274 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 130 000 €.

En France le producteur était déjà Curiosa Films en coproduction avec Bellini Films. Le CNC avait apporté l’aide du mini-traité franco-allemand et la région Occitanie son soutien. OCS, et Arte l’avaient préacheté.

Ad Vitam avait donné un minimum garanti pour le mandat salle. Le film avait rassemblé 261 000 entrées. Le coproducteur allemand était Films boutique.

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POUR LA RÉALISATION DE « AVEC AMOUR ET ACHARNEMENT »

C’est le 14ème film de cette réalisatrice. https://fr.wikipedia.org/wiki/Claire_Denis

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Il est produit par Olivier Delbosc (Curiosa film ) pour un budget prévisionnel de 6,2 millions €.

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 136 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un peu moins que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction depuis le début de l’année.https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-realisateurs/

Il s’agit d’une adaptation du roman « Un tournant dans la vie » de Christine Angot, dont les droits ont été acquis pour 140 000 €. Le scénario a été écrit par Claire Denis et Christine Angot et elles se sont partagées 138 000 €. Le budget du scénario (278 000 €) est donc sensiblement plus élevé que celui de la moyenne des films français de fiction. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-2/

Arte est coproducteur, Canal+, Multithématiques et Arte ont acheté un passage.

Ad vitam a donné un minimum garanti pour les mandats salle, video et vod.

Le précédent film de Claire Denis était « High life », sorti le 7 novembre 2018. C’était une coproduction entre la France (20%), le Royaume-Uni (60%) et la Pologne (10%). Le budget prévisionnel était de 6,6 millions €. Le producteur français était Alcatraz films et le distributeur Wild Bunch.

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice était de 140 000 €, uniquement en salaire de technicien.

Claire Denis, Jean-Pol Fargeau et Geoff Cox avaient co-écrit le scénario et ils s’étaient partagés      170 000 €.

En France le film avait rassemblé 37 000 spectateurs.

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