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Le deuxième film réalisé par Jean-Bernard Marlin https://fr.wikipedia.org/wiki/Jean-Bernard_Marlin, « Salem »,  est une tragédie entre un musulman et une gitane.https://fr.wikipedia.org/wiki/Salem_(film,_2023)

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Jean-Bernard Marlin

Son budget prévisionnel est de 8 millions €, soit 50% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 63 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Soit 15% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs l’année dernière. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Il a écrit le scénario pour 151 000 € ce qui correspond aux trois quarts du budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/Les rôles principaux ont reçu 82 000 €, soit leur rémunération médiane.   https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les producteurs sont Unité (Bruno Nahon, Caroline Nataf et Thomas Morvan), & Vatos Lacos (Romain Daubeach, Marine Bergère et Jean-Bernard Merlin) en coproduction avec France 2 cinéma.Le film a bénéficié de 550 000 € d’avance sur recettes et aussi de l’aide à la Création Visuelle et sonore du CNC ainsi que de son Fonds images de la diversité.  La Région Sud lui a apporté son soutien. France 2 et Netflix l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et svod et Wild bunch pour le mandat de vente internationale.

Le premier film réalisé par Jean-Bernard Marlin était « Shéhérazade », sorti le 5 septembre 2018. Son budget prévisionnel était de 2,1 millions €. Pour la préparation, 42  jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 45 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Catherine Paillé pour 54 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 34 000 €.

Le producteur était Geko Films. Arte était coproducteur. Le film avait reçu du CNC 430 000 € d’avance sur recettes et le soutien aux Images de la diversité. La Fondation Gan et la région Paca lui avaient apporté leur soutien. Deux soficas y avaient investi. Canal+ et Arte l’avaient préacheté. Ad Vitam avait donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et video. Le film avait rassemblé 156 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Avec son 15ème film, où la fille joue le père, Christophe Honoré https://fr.wikipedia.org/wiki/Christophe_Honoré  réalise « Marcello Moi https://fr.wikipedia.org/wiki/Marcello_mio.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

CHRISTOPHE HONORÉ

Le budget prévisionnel  de cette coproduction entre la France (80%) et l’Italie (20%), est de 7 millions €, soit un tiers de plus que le budget moyen des films français de fiction. Cela revient à un tiers de plus que le budget moyen des films de fiction français sortis l’année dernière. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/Pour la préparation, 39 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 84 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/Il a écrit le scénario pour 191 000 €, soit 95% du budget moyen des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 275 000 €, soit un quart de plus que leur rémunération moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Les Films Pelléas (David Thion et Phillipe Martin) sont les producteurs délégués. Super8 production, LDRP II et France 2 sont coproducteurs. 3 soficas, dont une garantie, y ont investi. Il a bénéficié de l’aide du CNC pour la coproduction franco-italienne. Canal+, Ciné + et France 2 l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et MK2 international pour le mandat de ventes internationales.  Les coproducteurs italiens sont Bibi Films (Angello Barbagallo) et Lucky Red (Andrea Occhipinti).

Le précédent film réalisé par Christophe Honoré était « Le lycéen », sorti le 30 novembre 2022. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_LycéenSon budget prévisionnel était de 4,5 millions €. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-christophe-honore/Le producteur délégué était déjà Les Films Pelleas. Le film avait bénéficié de 640 000 € d’avance sur recettes. Le distributeur, Memento Films avait donné un minimum garanti et le film avait rassemblé 76 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« La nouvelle femme » le drame historique sur la méthode de Montessori pour enfants handicapés https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Nouvelle_Femme est le premier long métrage de fiction réalisé par Léa Todorov qui a réalisé des documentaires, est auteur de livres et productrice. https://festival-villerupt.com/name-item/lea-todorov/

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Léa Todorov

Il s’agit d’une coproduction entre la France (79%) et l’Italie (21%) pour un budget prévisionnel de 3,6 millions €, soit 70% du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 32  jours de tournage en France et en Italie ainsi que la post-production la rémunération du réalisateur est de 50 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Cela représente 70% de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films en 2023. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Elle a écrit le scénario pour 74 000 €, soit trois quarts du budget médian des scénarios de ces films.  https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 250 000 €, soit 20% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne l’année dernière. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué français est Geko Films (Grégoire Debailly). Le film a bénéficié de 530 000 € d’avance sur recettes. Deux soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution en salle et en vidéo. Indie Sales MG international en a donné un pour le mandat de distribution international. Le producteur italien est Tempesta Films (Carlo Cresta-Dina) qui a bénéficié du crédit d’impôt et du fonds de coproduction minoritaire.

Le précédent film produit par Geko films était « Sages-femmes » sorti le 30 août 2023. C’était un téléfilm, réalisé par Léa Fehner et qui avait rassemblé 3000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/un-telefilm-sort-en-salle/

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

 « La Bête » https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Bête_(film,_2023) est le 10 ème long métrage de fiction réalisé par Bertrand Bonello qui est par ailleurs compositeur, comédien, scénariste et producteur. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bertrand_Bonello Il s’agit d’une adaptation libre de « La bête dans la jungle » de Henri James. C’est un drame psychologique de science-fiction.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Bertrand Bonello

Il s’agit d’une coproduction entre la France (90%) et le Canada (10%) pour un budget prévisionnel de 7,5 millions €, soit 45% de plus que le budget moyen des fictions de films français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 160 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 20% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction français. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/ Les droits d’adaptation du livre ont été acquis pour 100 000 €. Le réalisateur a écrit le scénario avec Guillaume Breaud qui a écrit les dialogues et reçu 31 000 €. Le budget du scénario est donc deux tiers du budget moyen des scénarios des films français. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les deux rôles principaux ont reçu 246 000 € ce qui revient à 20% de plus de ce que les rôles  principaux ont reçu en moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succe

Les producteurs délégués sont Les Films du Bélier (Justin Taurand) et My New Picture (Bertrand Bonello). Arte est coproducteur. Eurimages a apporté son soutien.Le film a bénéficié d’une aide remboursable de la Région Ile de France ainsi que du soutien de la  région sud et du département des Alpes maritimes.  Six soficas y ont investi. Canal+, Ciné+ et Arte l’ont préacheté. Ad vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo, Kinology pour le mandat de ventes internationales.

Le producteur canadien est Sons of Manuel (Xavier Dolan et Nancy Grant). Il a bénéficié des Crédit d’impôt provincial et fédéral ainsi que d’une aide de la Sodec, de Téléfilm Canada et d’Eurimages. Maison 4 :3 Distribution Canada a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution au Canada.

Le précédent film de Bertrand Bonello était « Zombi Child » https://fr.wikipedia.org/wiki/Zombi_Child qui est sorti le 12 juin 2019. Son budget prévisionnel était de 2 millions €. Pour la préparation, 24 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.  Il avait reçu autant pour le scénario. Les rôles principaux avaient reçu 23 000 €. Le producteur était My New Picture. Arte était coproducteur et les trois mêmes chaînes l’avaient préacheté. Ad Vitam avait donné un minimum garanti. Le film avait rassemblé 30 000 spectateurs.

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la comédie “Le dernier des juifs” https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Dernier_des_Juifs est la première réalisation de long métrage pour le cinéma par Noé Debré qui, jusque-là avait été le co-scénariste de 15 films. https://fr.wikipedia.org/wiki/Noé_Debré

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel est de 2,5 millons €, soit un peu moins de la moitié du budget moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 26 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 47 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 27 000 € de salaire de technicien. C’est deux tiers de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent. Il a écrit le scénario pour 50 000 €, soit la moitié du budget médian des scénarios en 2023. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 53 000 €, ce qui revient à 60% de leur rémunération médiane en 2023. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le film est produit par Mooshaker (Benjamin Elalouf) et coproduit par The Living (Nathalie Dennes). Il a bénéficié de 600 000 € d’avance sur recettes. La région Ile de France lui a apporté son soutien. Une sofica y a investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution salle et Charades pour le mandat de distribution international.

Le précédent film pour lequel il avait coécrit le scénario avec le réalisateur, Emmanuel Poulain-Arnaud, était « Le Test », sorti le 29 décembre 2021. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Test_(film,_2021) Son budget prévisionnel était de 5,4 millions € et il était produit par 24 25 Films. https://siritz.com/cinescoop/pour-la-realisation-de-le-test/ Le film avait rassemblé 307 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Le film italien « La Chimère » est une coproduction entre la France (19%), l’Italie (69%) et le Suisse (12%) . C’est le troisième volet d’une trilogie réalisé l’italienne Alice Rohrwacher. https://fr.wikipedia.org/wiki/Alice_Rohrwacher

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel est de 9,4 millions €, soit presque le double du budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 72 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrie est de 370 000 €, dont 148 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 222 000 € de salaire de technicien. C’est plus que 2,7 fois la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction français. Elle a écrit le scénario pour 130 000 €. C’est 60% du budget du scénario des films de fiction. Les rôles principaux ont reçu 620 000 €, soit trois fois ce que les rôles principaux ont reçu en moyenne.

Ad Vitam est le producteur français. Arte est coproducteur. Le film a bénéficié de l’aide aux cinémas du monde du CNC. Canal+, Ciné+ et Arte l’on préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo.

Le producteur italien est Tempesta films (Carlo Creto-Dina). Il a bénéficié du Crédit d’impôt et   de l’aide du ministère de la culture. La Rai est coproducteur et l’a pré-acheté.

Le producteur suisse est Amka films (Tiziana Soudani et Tina Boillat). Il a bénéficié d’une aide du Ministère de la Culture et d’une aide régionale FISS. La Radio-Télévision Suisse Italienne est coproducteur et l’a préacheté. Le film aurait bénéficié d’une prévente aux États-Unis.

Le précédent film d’ Alice Rohrwacher et le deuxième film de la trilogie était « Heureux comme Lazzaro » sorti en France le 7 novembre 2011. C’était déjà coproduction entre les 3 mêmes pays et les trois mêmes producteurs. Le film avait rassemblé 91 000 spectateurs en France.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Rien à perdre » est le premier film de fiction réalisée par Delphine Deloget qui est l’une des grandes documentaristes françaises, dont les films ont été diffusés à la télévision et au cinéma. Elle a remporté le prix Albert Londres en 2015 pour « A l’heure du Jihad et des trafics humains ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Deloget

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Le film est produit par Curiosa Films (Olivier Delbosc). https://fr.wikipedia.org/wiki/Rien_à_perdre_(film,_2023)

Son budget prévisionnel est de 3,6 millions €, c’est à dire trois quart du budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 50 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 60% de la rémunération moyenne des réalisateurs de fictions françaises. Pour le scénario elle a reçu 30 000 €, soit le tiers du budget médian des scénarios de films français. Les rôles principaux ont reçu 102 000 €, soit moins de la moitié de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour les films de fiction français

Unité Films (Bruno Nahon , Thomas Morvan et Caroline Nataf) et France 3 sont coproducteurs. Une sofica y a investi.  Le film a bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes. La Région Bretagne lui a apporté son soutien. Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo et France télévision distribution international un minimum garanti pour le mandat de ventes internationales.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« L’Enlèvement », est  le 28ème du grand réalisateur italien, https://fr.wikipedia.org/wiki/Marco_Bellocchio  Il raconte un scandal qui eu lieu en 1858 en Italie  : un enfant juif a été baptisé, puis enlevé de force à ses parents par le pape.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Ce film italien est une coproduction entre l’Italie (82%), et la France (18%), pour un budget prévisionnel de 11,7 millions €.  C’est 2,5 fois le budget moyen prévisionnel des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Enlèvement_(film,_2023)

Pour la préparation, 42 jours de tournage en décors naturels et 19 jours en studio en Italie, 3 jours de tournage en décors naturels à Paris ainsi que la post-production, la rémunération du réalisateur est de 323 000 €,  répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

 Là encore c’est deux fois et demi la rémunération moyenne des réalisateurs des  films de fiction français. Bellocchio a écrit le scénario avec Susanna Nicchiarelli et ils se sont partagés 147 000 €. C’est 70% du budget moyen des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 500 000 €, soit 2,4 fois ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

Le producteur Français est Ad Vitam (Alexandra Hoeneschberg). Arte France est coproducteur. Eurimages a apporté son soutien. Canal+, Ciné+, et Arte France l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod et s-vod  tandis que TFM en a donné un pour le mandat ventes internationales.

En Italie les producteurs délégués sont IBC Movie et Kavac Films. Ils ont bénéficié du crédit d’impôt. La RAI est coproducteur et a effectué un préachat. Eurimages a apporté son soutien. Arte est coproducteur.

Le précédent film de Marco Bellochio sorti en France (30 octobre 2020) était « Le traitre ». https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-marco-bellocchio/ C’était une coproduction entre la France (12%), l’Italie (62%), le Brésil (16%) et l’Allemagne (10%) pour un budget prévisionnel de 7,6 millions €. Pour la préparation, 57jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 275 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.Il avait coécrit le scénario et les scénaristes s’étaient partagé 150 000 €.

Le distributeur était AD Vitam et le film avait rassemblé 356 000 entrées.

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C’est le 12ème long métrage réalisé par Cédric Khan qui est aussi acteur et scénariste. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cédric_Kahn

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Présentant le deuxième et célèbre procès de cet homme qui risque la peine de mort, il est produit par Moonshaker  (Benjamin Elalouf) pour un budget prévisionnel de 2,6 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cédric_Kahn . C’est 50% du budget moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/

Pour la préparation, le très court de tournage de 15 jours et la post-production la rémunération du réalisateur est de 74 000 €, dont 35 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 39 000 € de salaire de technicien. Là encore c’est 50% de la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/

Cédric Khan a écrit le scénario avec Nathalie Hertzberg pour 116 000 €, ce qui est la moitié du budget moyen des scénarios de ces films. Enfin les rôles principaux ont reçu 47 000 €, soit 25% de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

Cédric Khan est coproducteur avec sa société TropdeBonheur Production et le film a bénéficié de 570 000 € d’avance sur recettes. 3 soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution en salle et Kinology pour le mandat de vente à l’étranger.

Fait marquant, Georges Kiejman, l’avocat de l’accusé Pierre Goldman (le demi frère de Jean-Jacques Goldman, la personnalité préférée des français) est interprété par Arthur Harari, le co-scénariste de « Anatomie d’une chute », un film sur un autre procès. https://siritz.com/cinescoop/pari-aoutien-pour-une-palme-dor/

Le précédent film réalisé par Cédric Khan était « Fête de famille », sorti le 4 septembre 2019. Il était produit par Les films du Worso  (Sylvie Pialat) pour 5,3 millions € de budget prévisionnel.

Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 190 000 €, dont 90 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 100 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Samuel Doux pour 170 000€. Sa société TropdeBonheur Production était coproducteur et le film avait reçu 100 000 € d’avance sur recettes. Le Pacte avait donné un minimum garanti pour la distribution. Le film avait rassemblé 326 00 spectateurs.

Cédric Khan avait également réalisé « La Prière », qui était sorti en salle en 2018.  https://siritz.com/?s=Cédric+Khan&cat=cinescoop.

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Il y a peu de réalisateurs Français qui peuvent présenter au public leur 29ème film. Mais c’est le cas de Philippe Garrel dont « Le Grand Chariot » sort aujourd’hui. C’est un auteur de films relativement autobiographiques et qui s’ affirme comme disciple de Godard. https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Garrel

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Il s’agit d’une coproduction entre la  France (90%) et la Suisse (10%) pour un budget prévisionnel de 2,8 millions €. C’est 80% du budget médian des films Français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/ Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 94 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 20% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/

Garrel a écrit le scénario avec Jean-Claude Carrière, Caroline Deruas, Philippe Garrel et Arlette Langmann pour 172 000 €. C’est presque le double du budget médian de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/ Les rôles principaux ont reçu 129 000 €, soit 50% de plus de leur rémunération médiane dans ces films. https://siritz.com/financine/comediens-boom-des-remunerations-au-top/ Comme on le voit le scénario est, de loin, le plus important de ces trois postes.

Le producteur Français est Rectangle Productions (Edouard Weill et Alice Girard). Prolixe et Arte cinéma sont coproducteurs. Le film a bénéficié de 550 000 € d’avance sur recettes, soit 20% du financement total. Il a reçu l’aide au développement du CNC et un soutien de la Procirep. Canal+ et Arte l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution  salle, vidéo, vod, svod et télévision en France. Wild Bunch a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution internationale.

Le producteur Suisse est Suisse Close up (Marions Chollet et Joëlle Bertossa). Le film a été préacheté par les chaînes RTS et SSR. Cinéforom lui a apporté son soutien automatique et son soutien sélectif. Sister Distribution a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution en Suisse.

Le précédent film de Philippe Garrel était « Le sel des larmes », sorti le 14 juillet 2020. C’est la même coproduction Franco-Suisse, avec les mêmes producteurs et distributeurs ainsi que le préachat de Arte. En France le film avait rassemblé 12 000 spectateurs.

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