Archive d’étiquettes pour : Ad Vitam

Ugo Bienvenu est connu pour ses clips, ses court-métrages et ses bandes dessinées. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ugo_Bienvenu Son premier long métrage pour le cinéma est une fable écofuturiste en animation. Il a reçu le Cristal du long métrage au Festival international du film d’animation d’Annecy 2025.

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Hugo Bienvenu

Son budget prévisionnel est 9,6 millions €. La rémunération du réalisateur est 184 000 €. Il a écrit le scénario avec Felix Lesueur de Givry pour 150 000 €. La musique a été confiée à Arnaud Toulon pour 83 000 €. Les voix du film ont reçu 30 000 €.

Les producteurs du films sont Remembers  (Philippe de Givry et Ugo Bienvenu) et Moutain A France (la star américaine Nathalie Potrtman et Sophie Mas). France 3 cinéma est coproducteur. Le film a reçu du CNC 500 000 € d’avance sur recettes et une aide aux techniques d’animation. La région Ile de France lui a apporté une aide remboursable.

Le film a également reçu le soutien de la fondation Gan et de la fondation Chanel. Il a été préacheté par Netflix et France télévisions. Diaphana a donné un minimum garanti pour le mandat salles et une autre pour le mandat vidéo/vod. Goodfellahs et River Road ont donné un minimum garanti pour les ventes à l’étranger.

A noter que, pour ces vacances scolaires, « Arco » est en compétition avec plusieurs autres films d’animation français, dont 3 ont un budget conséquent https://siritz.com/cinescoop/un-biopic-sur-un-geant-de-notre-culture/ « Marcel et Monsieur Pagnol » https://siritz.com/cinescoop/un-biopic-sur-un-geant-de-notre-culture/, « Hopper et le secret des Marmottes » https://siritz.com/cinescoop/un-biopic-sur-un-geant-de-notre-culture/  et « Le secret des mésanges » https://siritz.com/cinescoop/un-biopic-sur-un-geant-de-notre-culture/

Il parait intéressant de comparer certains postes essentiels de leur budget.

A noter que le distributeur Ad vitam a à l’heure actuelle un autre film qui vient de sortir : « La petite dernière ».

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Hafsia Herzi

Le 3ème long métrage réalisé par la comédienne Hafsia Herzi https://fr.wikipedia.org/wiki/Hafsia_Herzi a été sélectionné au dernier Festival de Cannes où son interprète principale, Nadia Melliti, a reçu le prix d’interprétation féminine. « La petite dernière » est une adaptation du roman éponyme de Fatima Daas. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Petite_Dernière_(film). C’est le récit d’une jeune femme à la croisée des chemins.

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Le budget prévisionnel de cette coproduction entre la France (79%) et l’Allemagne (21%) est 3,4 millions €, soit 90% du budget médian des films français de fiction de notre baromètre. https://siritz.com/financine/barometre-des-budgets-previsionnels/ Pour la préparation, 48 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 56 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est deux tiers de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/le-barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Elle a écrit le scénario pour 221 000 € et les droits du livre ont été acquis pour 33 000 €. Le budget total du scénario, 254 000 €,d’ est donc 40% supérieur au budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-des-scenarios-en-2025-et-2024/

La musique a été confiée à Amine Bouhafa pour 70 000 €. C’est 15% de plus que la rémunération moyenne des compositeurs de musique de film.https://siritz.com/financine/remuneration-des-compositeurs-de-musique/Les rôles principaux ont reçu 31 000 €, soit moins de 30% de la rémunération médian des rôles principaux. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-roles-principaux-en-2025/

Le producteur délégué est June Films (Julie Billy et Naomi Benamur). Il a bénéficié de l’aide au développement du mini-traité franco-allemand, de l’aide Média au codéveloppement ainsi que de d’une aide du CNC aux coproductions étrangères et d’une aide du CNC à la diversité. Eurimages a également apporté son soutien.  Il a également bénéficié des aides non remboursables de la région Grande-Est, de la métropole Nancy et de la région Ile de France.

Un Sofica non garantie y a investi. OCS France et OCS Suisse ainsi qu’Arte France l’ont pré-acheté. Ad Vitam lui a accordé un minimum garanti pour tous les mandats France hors TV et MK2 a donné un minimum garanti pour les ventes à l’étranger hors Allemagne et Espagne.

Le producteur Allemand est Katuh studio (Vanessa Ciszewski). Il a également bénéficié de l’aide d’Eurimages ainsi que de l’aide au codéveloppement du mini-traité en production. Il a été préacheté par Arte Allemagne.

Le précédent film réalisé par  Hafsia Herzi était « Bonne mère », sorti en 2021. Son budget prévisionnel était 1,7 millions €. Il était produit par Quat’sous films et distribué par Rezo Films. Il avait rassemblé 30 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Le 10ème long métrage écrit et réalisé par le belge Lucas Belvaux est une adaptation de son roman « Les tourmentés ». Le film, « Les tourmentés », est une coproduction franco-belge. C’est l’histoire d’une épiphanie selon Belvaux lui-même. Épiphanie est le terme utilisé pour signifier qu’une personne a trouvé la dernière pièce d’un puzzle et voit désormais la chose dans son intégralité.

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Lucas Belvaux

Le budget prévisionnel de cette coproduction entre la France (85%) et la Belgique (15%) a un budget prévisionnel de 5 millions €, ce qui est le budget prévisionnel moyen des films français de fiction de notre baromètre des budgets. https://siritz.com/financine/budgets-previsionnels-en-2025/ Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 137 500 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 10% de plus que la rémunération des réalisateurs. https://siritz.com/financine/remuneration-des-realisateurs-2025-comparee-a-2024/ Les droits du livre ont été acquis pour 59 000 € et il a écrit le scénario pour 82 000 €. Le coût total du scénario est donc 141 000 €, soit 80% du budget moyen des scénarios. La musique a été confiée à Frédéric Vercheval pour 50 000 €. C’est 20% de moins que le budget moyen des droits musicaux.https://siritz.com/financine/remuneration-des-compositeurs-de-musique/Enfin, les rôles principaux ont reçu 400 000 €. C’est 40% de plus que la rémunération moyenne des rôles principaux. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-roles-principaux-en-2025/

Le producteur délégué est Bizibi (Emmanuel Agnerey). Le film a bénéficié de 650 000 € d’avance sur recettes avant réalisation. Une sofica garantie et deux sofica non garantis y ont investi. Les régions Ile de France et Rhône-Alpes ont apporté une aide remboursable. UGC Images a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le producteur belge est Artemis productions. Il a bénéf icié de l’aide de Wallonie-Bruxelles. La RTBF, Be TV et Proximus l’ont coproduit et préacheté.

Le précédent film réalisé par Lucas Belvaux était « Des hommes », sorti en 2021. Son budget prévisionnel était 5,6 millions €. Il était produit par Synecdoche et distribué par Ad Vitam. Il avait rassemblé 174 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-lucas-belvaux/

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Le premier long métrage de Carlos Abascal Peiro, https://www.ubba.eu/fiche/realisateur/carlos-abascalpeiro, qui a déjà réalisé plusieurs court-métrages, est « Fils de » https://www.allocine.fr/film/fichefilm_gen_cfilm=323864.html, une comédie plongée dans la vie politique.

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Carlos Abascal Peiro

Son budget prévisionnel est 5,7 millions €, soit 10% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/budgets-previsionnels-en-2025/ Pour la préparation, 35 jours de tournage, dont 11 en Belgique, et la post-production la rémunération du réalisateur est de 95 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit les trois quarts de la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/remuneration-des-realisateurs-2025-comparee-a-2024/. Il a écrit le scénario pour 68 000 €, soit 60% du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-des-scenarios-en-2025-et-2024/La rémunération des rôles principaux en 335 000 €, ce qui correspond à 15% de plus que la rémunération moyenne des rôles principaux. https://siritz.com/financine/la-remuneration-des-roles-principaux-en-2025/La musique a été confiée à Frédéric Alvarez pour 60 000 €. C’est la rémunération moyenne des compositeurs de musique de films. https://siritz.com/financine/remuneration-des-compositeurs-de-musique/

Le producteur délégué du film est Fair play productions (Gaétanne Rieusset). Goodfellas et France 3 cinéma sont coproducteurs en France. Umédia est coproducteur belge. 4 sofica non garanties y ont investi. Le distributeur initial était Bac Film qui a déposé le bilan et a été remplacé par Ad Vitam qui a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution en France. Goddfellas a donné un minimum garanti pour les ventes à l’étranger.

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Le 7ème long métrage pour le cinéma (dont un documentaire)) réalisé par Emmanuel Finkiel https://fr.wikipedia.org/wiki/Emmanuel_Finkiel est « La chambre de Mariana » https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Chambre_de_Mariana_(film). C’est l’adaptation du roman éponyme de l’israélien de Aharon Appelfeld : survivre dans le placard d’une maison close.

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Emmanuel Finkiel

Cette coproduction entre la France (43%), la Belgique (8%), Israël (30%)et la Hongrie (19%) a un budget prévisionnel de 6,8 millions €, soit 25% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2024.https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/. Pour la préparation, 40 jours de tournage en Hongrie  et la post-production la rémunération du réalisateur est de 110 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 85% de la rémunération moyenne des réalisateurs. Les droits du livre ont été acquis 71 000 € et le réalisateur a reçu 53 000 € pour le scénario. Le budget total du scénario est donc de 123 000 €, soit les trois quarts du budget moyen des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 238 000 €, soit à peu près la rémunération moyenne des rôles principaux.

Les producteurs délégués sont Cinéfrance studios ( Julien Deris et David Gauquié)   et Curiosa Films (Olivier Delbosc). Arte et Garcocom sont coproducteurs. Le film a bénéficié de l’ Aide aux cinéma du monde et du soutien d’Eurimages. Canal+, Ciné+ et Arte l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution en France et West End pour les ventes à l’étranger.

Le coproducteur hongrois est Proton. Les coproducteurs Israéliens sont Metro Communication et Sunshine Filmited King. Le coproducteur belge est Tarantula.

Le précédent film réalisé par Emmanuel Finkiel était « La douleur », sorti en 2018. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Douleur_(film,_2017) Les producteurs délégués étaient Cinéfrance et les Films du Poisson pour un budget prévisionnel de 6,5 millions €. Les Films du Losange était le distributeur et il avait rassemblé 330 000 spectateurs.

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Le comédien Samuel Theis https://fr.wikipedia.org/wiki/Samuel_Theis réalise avec « Je le jure », son troisième long métrage pour le cinéma. https://fr.wikipedia.org/wiki/Je_le_jure. Il nous plonge dans la psyché d’un jury d’assises.

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Samuel Theis

Son budget prévisionnel est 5 millions €, ce qui est 90% du budget prévisionnel moyen des films français de fiction sortis en 2024. https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/ Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est la rémunération médiane des réalisateurs. Il a écrit le scénario pour 94 000 € soit 90% du budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 101 000 % de leur rémunération médiane, soit 90% de leur rémunération médiane.

Le producteur délégué est Avenue B. Productions  (Caroline Bonmarchand). France 3 cinéma est coproducteur. Le film a bénéficié du CNC de 650 000 € d’avance sur recettes et de l’aide à la musique. La région Grande Est, la Ville de Metz et la Ville de Reims lui ont apporté leur soutien. 3 soficas non garanties y ont investi. Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution France et Charades pour le mandat de distribution à l’étranger.

Le précédent film réalisé par Samuel Theis était « Petite nature », sorti en 2022. Il avait le même producteur et le même distributeur. Son budget prévisionnel était 3 millions € et il avait rassemblé 80 000 spectateurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Petite_Nature

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Le deuxième long métrage de cinéma réalisé par le comédien Mathias Mlekuz, https://fr.wikipedia.org/wiki/Mathias_Mlekuz est une comédie dramatique, « A bicyclette ! » https://fr.wikipedia.org/wiki/À_bicyclette_! Elle est tournée comme un documentaire, pratiquement improvisée. C’est un road trip de l’Atlantique à la mer Noire.

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Son budget prévisionnel est 520 000 €, soit la moitié du budget prévisionnel médian des films de fictions sortis en 2024 et le 8ème budget prévisionnel le plus bas des films français, documentaires compris,  sortis depuis le début de l’année. Pour la préparation, 30 jours de tournage, dont 24 à l’étranger, et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 19 000 € d’à-valoir sur droits d’auteur. Il a écrit le scénario avec Philippe Rebbot pour 21 500 €. Mathias Mlekuz et Philippe Rebbot sont les rôles principaux mais ne sont pas rémunérés à ce titre.

Les producteurs délégués sont Mes productions (Marc-Etienne Schwartz) et F comme films (Jean-Louis Livi). Le film a bénéficié d’une aide à la musique et d’une aide au sous-titrage du CNC. Canal+, Ciné+, Canal+ Afrique et Canal+ Suisse l’ont préacheté. Ad Vitam  donné un minimum garanti pour les mandats de distribution.

Le premier film réalisé par Mathias Mlekuz était la comédie « Mine de rien », sorti en 2022. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mine_de_rien. Son budget prévisionnel était 2 millions €. Mes productions était déjà producteur et StudioCanal était le distributeur. Le film avait rassemblé 117 000 spectateurs.

Le précédent film distribué par Ad Vitam était « Le Mohican », réalisé par Frédéric Farrucci et sorti le 12 févier. https://siritz.com/cinescoop/un-western-corse-contemporain-et-politique/Sorti dans 52 salles il  avait rassemblé 72 000 entrées en deuxième semaine

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Le second long métrage réalisé par Frédéric Farrucci https://cinedweller.com/celebrity/frederic-farrucci/« Le Mohican » https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Mohican est un western corse contemporain et politique.

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Frédéric Farucci

Son budget prévisionnel est 2,5 millions €, soit deux tiers du budget prévisionnel médian des films de fiction français sortis l’année dernière https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/ Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 40 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 30 000 € de salaire de technicien. C’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs. Il a écrit le scénario pour 47 000 €, ce qui, là encore, est moins de la moitié du budget des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 105 000, soit à peu près leur rémunération médiane.

Le producteur délégué est Koro Films (Diane Jassem et Céline Chapdaniel). Novgarod, Atelier de production et Les films Velvet sont coproducteurs. 2 sofica garanties y ont bénéficié d’une aide de la Fondation GAN. Canal+, Ciné + et C8 l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour tous les mandats France et Be For Film un minimum garanti pour le mandat de vente à l’étranger.

Le premier film de Frédéric Farrucci était « La nuit venue », sorti en 2020. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Nuit_venue Son budget prévisionnel était un million € et Koro Films était déjà le producteur. Jour2fête le distribuait. Le film avait rassemblé 23 000 spectateurs.

Le précédent film produit par Koro Films est « La nuit d’argile », réalisé par Anaïs Tellenne et sorti en janvier 2024. Son budget était de 1,1 millions € et il était distribué par New story. Il avait rassemblé 48 000 spectateurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Homme_d%27argile

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Le troisième films que les deux sœurs, Delphine et Muriel Coulin, https://fr.wikipedia.org/wiki/Delphine_Coulinet https://www.gala.fr/stars_et_gotha/muriel_coulin ont réalisé ensemble, « Jouer avec le feu » https://fr.wikipedia.org/wiki/Jouer_avec_le_feu, est une adaptation du roman « Ce qu’il faut de nuit » de Laurent Petitmangin. A trop jouer avec le feu…

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Delphine et Muriel Coulon

C’est un film dont le budget prévisionnel est 4,5 millions, soit  75% du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2024 https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/ . Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération des deux réalisatrices est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, c’est-à-dire, là encore 75% de la rémunération moyenne des réalisateurs. Elles ont écrit le scénario pour 80 000 € et les droits d’adaptation du roman ont été acquis pour 62 500 €. Le coût total du scénario -142 500 €- est donc 10% de moins que le budget moyen des scénarios. Enfin les rôles principaux ont reçu 184 000 €, soit 80% de leur rémunération moyenne.

Le Financement du Film 

Les producteurs délégués sont Curiosa films (Olivier Delbosc) et Felicita Films (Marie Guillaumont). France 3 cinéma est coproducteur et 4 sofica y ont investi. La Région Grande Est lui a apporté son soutien. Canal+, Ciné+ et France 3 l’ont préacheté. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution France et Playtime en a donné un pour le mandat de distribution à l’étranger. Le producteur belge Umédia est coproducteur et il a bénéficié du Tax shelter.

Le précédent film réalisé par les deux sœurs était « Voir du pays », sorti en 2016. Son budget prévisionnel était 4 millions €.  Il était produit par Archipel 35 et distribué par Diaphana. Sorti dans 106 salles il avait rassemblé 30 000 spectateurs.

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Le 8ème long métrage de fiction réalisé par le franco-marocain Nabil Ayouch https://fr.wikipedia.org/wiki/Nabil_Ayouch, « Everybody loves Touda », est un film marocain, tourné en arabe marocain. Il raconte comment une chanteuse vise l’émancipation à Casablanca. https://fr.wikipedia.org/wiki/Everybody_Loves_Touda

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Nabil Ayouche

Il s’agit en fait d’un coproduction entre 5 pays : France (35%), Maroc (26%), Belgique (17%), Pays-Bas (11%) et Danemark (11%).Son budget prévisionnel est 2,4 millions €, soit un peu moins de la moitié du budget moyen des films de fiction français sortis en France depuis  le début de l’année. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/Pour la préparation, 42 jours de tournage au Maroc et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, dont 70 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 80 000 € de salaire de technicien. C’est 30% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/.Il a écrit le scénario pour 73 000 €, soit un peu moins que le budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/.Les rôles principaux ont reçu 42 000 €, soit la moitié de leur rémunération médiane. ttps://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Le producteur délégué français est Les Films du nouveau monde (Martine Cohen). Canal+, Ciné+ et France 3 ont préacheté le film. Ad Vitam a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution France et MK2 pour les ventes à l’étranger. SORFOND (Norwegian South Film Fond) a également apporté son soutien.

Le producteur délégué marocain est Ali n’productions ( Nabil Ayouch) qui a bénéficié du soutien du Centre cinématographique Marocain ainsi que de l’ Organisation Internationale de la francophonie.

Le producteur belge est Les films Velvet (Frédéric Jouve) qui a bénéficié de l’aide de la Fédération de Wallonie. La RTBF, et Be TV l’ont préacheté. Le producteur néerlandais Viking Films (Marleen Slot) qui a bénéficié de l’aide du Netherland Film Fund. Le producteur Danois est SnowGlode Film (Mikkel Jersin et Katrin Pors) qui a bénéficié du soutien du Developemnt Film Institution (banque dépendant des Nations-Unies).

Le précédent film réalisé par Nabil Ayouch était la coproduction franco-marocaine « Haut et fort », sorti en France en 2021. https://fr.wikipedia.org/wiki/Haut_et_FortIl avait les mêmes  producteurs français et marocain et Ad Vitam le distribuait. Il avait rassemblé 24 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.