Archive d’étiquettes pour : Pyramide distribution

POUR LA RÉALISATION DE « LA PLACE D’UNE AUTRE »

C’est le 4ème long métrage de cette diplômée de la Femis. C’est une adaptation du roman qu’elle a écrit avec Maud Améline. https://fr.wikipedia.org/wiki/Aurélia_Georges

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il a été produit par par Agnès Vallée et Emmanuel Barraux (31 juin films) pour un budget prévisionnel de 3 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Place_d%27une_autre

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 55 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 35 000 € de salaire de technicien.

C’est un peu plus que  moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/

Elle a en outre reçu 5 000 € pour l’adaptation de son roman dont les droits ont été acquis 50 000 €. Arte Cinéma est coproducteur ainsi que deux soficas.

Le producteur a mis son salaire et ses frais généraux en participation. La région Grande-Est, le Communauté urbaine de Strasbourg et le département des Vosges ont apporté leur soutien.

Le film a été préacheté par Canal+, Multithématiques et Arte.

Pyramide distribution est le distributeur. Il a donné un minimum garanti pour la distribution salle et vidéo en France et un autre pour la vente internationale.

Le précédent film réalisé par Aurélia Georges était « La fille et le fleuve », sorti le 11 novembre 2015. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Fille_et_le_Fleuve

Il avait le même producteur et était distribué par le Cinéma Saint-André des Arts. Il n’avait rassemblé que 131 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

POUR LA RÉALISATION DU « GENOU D’AHED »

C’est le quatrième long métrage de ce réalisateur israélien.https://fr.wikipedia.org/wiki/Nadav_Lapid

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Tourné en Israël, c’est une coproduction de la France à 68%, de l’Allemagne à 22% et d’Israël à 10%.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Genou_d%27Ahed

Le  budget prévisionnel du film  est de 1,5 millions €. En France il a comme producteur délégué  Judith Lou Levy et Ève Robin (Les films du bal) Il est distribué par Pyramide Distribution. Le producteur a investi son salaire de producteur.

4 coproducteurs ont investi chacun 30 0000 € en compte de soutien : Srab, Mandarin, Nord-Ouest films, Velvet Films . Et, Decia films, a investi le double.

Le CNC a accordé une aide aux cinémas du monde. Canal+ et Multithématques ont effecuté un préachat pour la télévision à péage. Arte est coproducteur et a effectué un préachat. Pyradmide distribution a donné un minimum garani pour la mandats salle et vidéo et Kinology  a  donné un minimum garanti pour la mandat international.

En Allemagne le producteur est David Keitsch (Komplizen Film) et Arte Allemagne a effectué un achat. En Israël le producteur est Pie Films (Osnat Handelsman  Keren et Talia Klenheder).

Pour la préparation, 41 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 40 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’’est moins de la moitié de la rémunération médiane des réalisateurs de films français sort21.

Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production de « L’institutrice », sorti en salle de 10 septembre 2014, Nadar Lapid avait eu une rémunération de 66 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.  C’’était une coproduction de 53% Israël et 47% de la France.

Le producteur était Haut et court qui en était aussi distributeur.

Le film avait rassemblé 68 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors es films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit du dossier surleque le producteur a monté son financement, no les données définitives, après production effective du film. Ce site dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 11 ans d’archives.