Archive d’étiquettes pour : Olivier Casas

Pour son second film, « Frères », https://fr.wikipedia.org/wiki/Frères_(film,_2024)le réalisateur Olivier Casas https://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Casas aborde le drame de deux frères qui, enfants, ont vécu cachés dans la forêt pendant 7 ans.

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Olivier Casas

Son budget prévisionnel est 3,9 millions €. C’est 10% de plus que le budget prévisionnel médian des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/Pour la préparation, 31 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 40 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 60% de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/Il a écrit le scénario avec Paul Lafregeyre et Audrey Lanj pour 32 000 €, soit 30% du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/Les rôles principaux ont reçu 1,7 millions €, ce qui revient à huit fois leur rémunération moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/ Il est clair que le film parie sur son casting.

Les producteurs sont Quad Films (Nicolas Duval) et Traveling Angel Films (Olivier Casas). 5 H Films Invest est coproducteur. La région Nouvelle Aquitaine, le département de la Dordogne et le département de la Charente-Maritime lui ont apporté leur soutien. Canal+ et Ciné + l’ont préacheté. Zinc a donné un minimum garanti pour tous les mandats.

Le premier film d’Olivier Casas était la comédie « Baby Phone », sorti le 8 mars 2017. Il s’agissait d’un remake r de son propre court-métrage éponyme. C’était une coproduction entre la France (53%), la Belgique (35%) et le Royaume-Unis (12%) pour un budget prévisionnel de 3,8 millions €.

Pour la préparation, 31 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait coécrit le scénario avec Audrey Lanj et Serge Labadie pour 60 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 500 000 €. Baby Phone Cinéma était le producteur. Canal+ et D8 l’avaient préacheté. La Belle company était le distributeur en France sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 91 000 entrées.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors Nouvelle les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Pour la réalisation de son premier film, « Baby phone »

Mercredi 16 décembre C8 , la chaîne gratuite du groupe Canal+, a diffusé «Baby phone». Cette comédie, sortie en salle en mars 2017 avait été préachetée par Canal+. La chaîne en clair C8 l’avait coproduit et préacheté.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Baby_Phone

Le film est réalisé par Olivier Casas dont c’est le premier long métrage. Mais c’est un remake d’un court métrage qu’il avait réalisé en 2004.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Olivier_Casas

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

C’est une coproduction entre la France (53%), la Belgique (35%) et le Royaume-Uni 12%. Le coproducteur belge est Nexus factory et le britannique Affection London.

Le producteur délégué français est Baby phone cinéma (Najib Kerbouche et Olivier Casa). Le distributeur est Le Belle Company qui n’a pas donné de minimum garanti et l’a sorti sur 265 copies. Le film a rassemblé 92 000 spectateurs.

La rémunération d’Olivier Casas pour 31 jours de tournage a été de 60 000 €, répartie à part égal entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est beaucoup moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français sorti en 2020. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-fin-octobre/

Il a par ailleurs coécrit le scénario avec Audrey Lanj et Serge Labadie. Ils se sont partagés 60 000 €.

Le film, dont Michel Jonasz est l’un des interprètes a reçu une subvention de la Sacem. Il a en outre reçu 80 000 € de placement de produits.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.