Archive d’étiquettes pour : Gérard Jugnot

La comédie « Comme par magie » est le 7ème film de Christophe Barratier, dont, rappelons-le , son premier film, « Les choristes », sortis en 2004, avait rassemblé 8,7 millions de spectateurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Christophe_Barratier

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par M.E.S productions (Marc-Etienne Schwartz).https://fr.wikipedia.org/wiki/Comme_par_magie Son budget prévisionnel est de 6,2 millions, soit 30 % de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 240 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Ce qui correspond à 75% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. Le scénario, qui a été écrit par le réalisateur ainsi que  Serge Lamadie,  Fabrice Bracq, et Cyril Gelblat  a été payé 301 000 €,  ce qui revient à 50% de plus de ce qu’ils ont été payés en moyenne pour ces films. Les rôles principaux, dont Gérard Jugnot et Ken Adams,  ont reçu 240 000 €, soit 15% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

Orange Studio, Apollo  et M6 sont coproducteurs. La région Pays de la Loire a apporté son soutien tout comme la Sacem et l’Angoa. OCS, The Walt Disney Company France, M6, et W9 l’ont préacheté. Orange Studio et Apollo ont donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film de Christophe Barratier était « Le temps des secrets », sorti le 23 mars 2022https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Temps_des_secrets_(film) C’était une adaptation du roman de même titre de Marcel Pagnol. Son budget prévisionnel était de 9,2 millions €. https://siritz.com/cinescoop/remuneration-de-christophe-barratier/

Pour la préparation, 45 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 400 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Les droits d’adaptation avaient été acquis 370 000 € et Christophe Barratier avait écrit le scénario pour 223 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 277 000 €.

Pathé et Lionceau films étaient coproducteurs. Pathé avait tous les mandats de distribution sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 444 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LE PETIT PIAF »

C’est son 12ème film en tant que réalisateur. Il en est l’un des principaux interprètes. https://fr.wikipedia.org/wiki/Gérard_Jugnot

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Mes Productions (Marc-Étienne Schwartz) et Gaumont pour un budget prévisionnel de 7 millions €.

Pour la préparation, 40 jours de tournage à la Réunion et la post-production la rémunération du réalisateur est de 214 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 50% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-nouveau-barometre-des-realisateurs/

Il a écrit le scénario avec Fabrice Bracq, Alexandre Fouchard, Marie-Claire Javoy et Serge Lamadie. Ils se sont partagés 144 000 €. C’est moins que le budget moyen des scénarios des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-au-29-11-2022/

France 3 est coproducteur. Le film a bénéficié de l’aide du CNC pour le sous-titrage et la musique. L’Ile de la Réunion lui a apporté son soutien.

Canal+, Multithématiques et France 3 l’ont préacheté. Gaumont a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film réalisé par Gérard Jugnot et dont il était également l’un des principaux interprètes était « C’est beau la vie quand on y pense », sorti en salle le 12 avril 2017.

Pour la préparation, 45 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Guy Laurent, Romain Protat et Thibault Vanhulle. Ils s’étaient partagés 320 000 €.

Le film était produit par Les films du 24 (20%)  et Les Films du Premier (80%) pour un budget prévisionnel de 8,6 millions €. Les Films du Premier étaient une filiale d’UGC.

TF1 Film Production était coproducteur et la région Paca avait apporté son soutien. 2 soficas adossées y avaient investi. Canal+, Multithématiques et TF1 l’avaient préacheté.

UGC avait les mandats salle, vidéo et étranger sans minimum garanti.

Le film avait rassemblé 284 000 spectateurs.

 www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.