LA RÉMUNÉRATION DE CÉDRIC KLAPISCH
POUR LA RÉALISATION DE « EN CORPS »
Ce film est le 14 ème de Cédric Klapisch. https://fr.wikipedia.org/wiki/Cédric_Klapisch
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Il est produit par Cedric Klapisch et Bruno Levy (Ce qui me meut) pour un budget prévisionnel de 7,8 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/En_corps
Pour la préparation, 41 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 234 000 €, dont 119 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 115 000 € de salaire de technicien.
C’est sensiblement plus que la rémunération des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année ou l’année dernière. https://siritz.com/financine/barometre-realisateurs-scenarios-22/
S’y ajoute 330 000 € pour le sujet et le scénario. Ce dernier a été coécrit avec Santiago Amirena qui a reçu 87 500 €.
Le film est coproduit par France 2 qui en est aussi le diffuseur sur la télévision gratuite. Canal+ et Multithématiques ont préacheté une fenêtre sur la télévision à péage.
Le film est distribué par StudioCanal qui a donné des minima garantis séparé pour les mandats salle, vidéo et international. Le minimum garanti pour l’international est le plus élevé.
Le précédent film réalisé par Cédric Klapisch était «Deux moi», sorti en salle le 15 octobre 2015 et que Ce qui me meut avait aussi produit pour un budget prévisionnel de 6,4 millions €. Sa rémunération était de 140 000 € plus 300 000 € pour le scénario.
Le film, lui aussi distribué par StudioCanal, avait rassemblé 650 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-klapisch-pour-deux-moi/
Studio Canal a un autre film à l’affiche, « Golitah », réalisé par Frédéric Tellier et sorti en salle le 9 mars. En deux semaines il avait rassemblé plus de 500 000 spectateurs.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.