LA RÉMUNÉRATION DE FRANCK CIMIÈRE
POUR LA RÉALISATION DE « LA MARGINALE »
Cette comédie est sont 4ème film. https://www.unifrance.org/annuaires/personne/369543/frank-cimiere
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Il est produit par Moana Films (Marc Missonnier) pour un budget prévisionnel de 4,2 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Marginale C’est 80% du budget prévisionnel moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année
Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 90 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 10 % de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films.https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/C’est 55 % du budget médian des scénarios de ces films. Les premiers rôles ont reçu 87 000 €. C’est 10% de plus que la rémunération médiane des premiers rôles de ces films.
France 3 est coproducteur. Le film a été acheté par Canal+, Ciné + et France 3. Sony a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod, s-vod et étranger.
Le précédent film de Franck Cimière était « Opération Portugal », sorti le 23 juin 2021. Il était produit par Moana Films pour un budget prévisionnel de 1,2 millions.
Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 25 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 15 000 € de salaire de technicien. Le scénario était écrit avec D’Jal et Jérôme L’Hotsky et ils s’étaient partagé 101 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 12 000 €.
Une sofica garantie y avait investi. Sony avait donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution. Le film avait rassemblé 452 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.