LA RÉMUNÉRATION DE FRÉDÉRIC QUIRING
POUR LA RÉALISATION DE « NOTRE TOUT PETIT PETIT MARIAGE »
Cette comédie est son 4ème film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Frédéric_Quiring
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Il est produit par Les films du 24 (Yves Marmion et Romain Rojtman) pour un budget prévisionnel de 7,6 millions € ce qui est 60% de plus que le budget prévisionnel moyen des films français de fiction sortis en 2022. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-films-francais-de-fictio/
Pour la préparation, 31 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 190 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il a écrit le scénario pour 90 000 €. C’est les trois quarts du budget médian des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 215 000 €, soit 20% de plus que la moyenne de ces films.
TF1 est coproducteur et la région PACA lui a apporté son soutien. Canal+, Ciné +, TF1 (2 passages) et TMC (2 passages) l’ont préacheté. UGC a donné un minimum garanti pour tous les droits de distribution monde.
Le précédent film réalisé par Frédéric Quiring était « La très très grande classe », sorti le 10 août 2022. Il était produit par Les Films du 24 et Les Films du Premier pour un budget prévisionnel de 7,6 millions €.
Pour la préparation, 31 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 190 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 90 000 € et les rôles principaux avaient touché 311 000 €.
Canal+, Multithématiques, TF1 (2 passages) et TMC (2 passages) l’avaient préacheté. UGC avait donné un minimum garanti pour tous les droits de distribution monde. Le film avait rassemblé 387 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.