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La comédie « À l’ancienne » est le 4ème long métrage réalisé par Hervé Mimran.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

 

Hervé Minram

Son budget prévisionnel est 6,2 millions €, ce qui se situe 20% au-dessus de la moyenne du budget moyen des films français. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/La rémunération d’Hervé Mimran pour « À l’ancienne » est de 210 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Elle comprend la préparation, 35 jours de tournage et la post-production. La rémunération d’Hervé Mimran pour « À l’ancienne » est donc de 50% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Le film est adapté d’un film britannique de Kirk Jones, « Vieilles canailles »,  dont les droits ont été acquis 126 000 €. Le scénario a été écrit par le réalisateur avec Carine Prévot, William et Igor Gotesman pour 150 000€. Le budget du scénario est donc de 276 000 € , soit un tiers de plus que le budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/Les rôles principaux ont reçu 322 000 €, soit 50% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/ Les producteurs délégués sont Zazi  Films (Évelyne Beauvisage et Hugo Gellin) et Five Dogs (Igor Gotesman et Jérôme Cendron). Studio Canal, SC ICE et M6 Films sont coproducteurs. La Région Bretagne a apporté son aide. Canal+, Ciné+, M6 et W9 l’ont préacheté. StudioCanal  a donné un minimum garanti pour les mandats salle, vidéo, vod.

Le précédent film de Hervé Mimran était  « Un home pressé », sorti en 2018 . Il était également adapté d’un livre. Produit par Albertine production sont budget était de 8 millions €. Distribué par Gaumont il avait rassemblé 704 000 spectateurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Un_homme_pressé

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Le sixième long métrage réalisé par Ludovic Bernard, est  une comédie qui s’amuse des stéréotype. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ludovic_Bernard. Dans « Ici et là-bas » deux hommes diamétralement opposés affrontent racisme et à priori. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ici_et_là-bas

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Ludovic Bernard

Son budget est 8,4 millions €, soit 60% de plus que le budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/ Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 35 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit deux fois et demis la rémunération moyenne des réalisateurs de films de fiction. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/Il a écrit le scénario avec Kamel Guemra et Sarah Kaminsky pour 250 000 €, ce qui représente 25% de plus que le budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/ Les rôles principaux ont reçu 300 000 €, soit 50% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur est Prélude (Jonathan Blumental). TF1 film production est coproducteur. La Procirep et l’Angoa ont apporté leur soutien. Canal+, Ciné + et TF1 (2 passages) l’ont préacheté. StudioCanal et TF1 Studio on donné un minimum garanti pour les mandats de distribution.

Le précédent film de Luc Bernard était « 10 jours encore sans maman », sorti le 12 avril 2023.  https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-ludocic-bernard/ Son budget prévisionnel était de 10 millions €. La rémunération du réalisateur était déjà de 350 000 €. Soyouz Films et StudioCanal étaient les producteurs. StudioCanal avait donné un minimum garanti pour tous les mandats. Le film avait rassemblé 681 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Le voyage en pyjama » est le 25ème film réalisé par Pascal Thomas qui a débuté il y a 32 ans avec « Les Zozos ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Pascal_Thomas

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel n’est que de 1,5 millions €, soit 40% du budget médian des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/

Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 51 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 31 000 € de salaire de technicien. C’est 70% de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Il a écrit le scénario avec Nathalie Lafaurie, gérante de sa société de production. Ils ne sont pas rémunérés à ce titre dans le budget. Les rôles principaux ont reçu 25 000 €, soit 30% de la rémunération médiane des rôles principaux en 2023.

Les producteurs délégués sont Les Films français (Pascal thomas et Nathalie Lafauries) et Numéro 7 (Éric et Corinne Langlois, Jean-François Catton). LDRP II est coproducteur. La région Pays de Loire a apporté son soutien. Canal+ l’a préacheté et Studio Canal a le mandat de distribution en salle sans minimum garanti.

Le précédent film de Pascal Thomas était « A Cause des filles… ? », sorti le 30 janvier 2019. Son budget prévisionnel était de 3,4 millions €. Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 50 000 € de salaire de technicien. Il avait déjà écrit le scénario avec Nathalie Lafaurie et ils s’étaient partagés 120 000 €. Les rôles principaux avaient reçu 93 000 €.

PM SA était producteur délégué, Orange studio et DOCC coproducteurs. La région Ile de France avait apporté son soutien et Région Ile de France et Canal+ l’avait préacheté. Le distributeur était Paradis Films, sans minimum garanti. Le film avait rassemblé 18 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

La comédie dramatique « Toni en famille », est le second long métrage de Nathan Ambrosioni. https://fr.wikipedia.org/wiki/Nathan_Ambrosioni

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il a été produit par CHI FOU MI productions (Nicolas Dumont) pour un budget prévisionnel de 3,9 millions €, soit 15% de plus que le budget médian des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/

Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 70 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 10% de moins que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Il a écrit le scénario pour 40 000 €, soit 45% du budget médian des scénarios de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/ En revanche, les rôles principaux ont reçu 225 000 €, soit 10% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films et trois fois leur rémunération médiane. Donc, alors que tous les chiffres de ce film sont très en-dessous de ceux de la moitié des films de fictions Français, pour les rôles principaux, ils sont supérieurs à la moyenne de tous les films Français. Priorité est donc donné au casting.

Le producteur délégué a investi son salaire et ses frais généraux. Studio Canal et France 2 sont coproducteurs. La région sud et le département des Alpes Maritimes ont apporté leur aide.

Canal+ et France 2 l’ont préacheté tandis que Studio Canal a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film réalisé par Nathan Ambrosioni était « Les drapeaux de papier », sorti le 13 février 2019. https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Drapeaux_de_papier . Son budget prévisionnel était de 900 000 €. Pour la préparation, 25 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 30 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Nathan Ambrosioni en avait déjà écrit le scénario. Distribué par Rezo films il avait rassemblé 8 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.