POUR LA RÉALISATION DE « UNE JEUNE FILLE QUI VA «
C’est le premier long métrage réalisée par celle qui est avant tout une comédienne. https://fr.wikipedia.org/wiki/Sandrine_Kiberlain Le dernier film dans laquelle elle a joué est la comédie « Les 2 Alfred » réalisé par Bruno Podalydes, sorti le 9 septembre 2020. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-bruno-podalydes/
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le film a été produit par Olivier Delbosc et Pauline Duhault (Edi Films) & Olivier Delbosc (Curiosa Films) pour un budget de 3,7 millons €.
Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération de Sandrine Kimberlain est de 180 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est sensiblement plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/
Le film est coproduit par le Fonds BNP et par France 3 ainsi que deux soficas. Il a été préacheté par Canal+, Multithématiques et France 3.
Le distributeur avec les mandats salle, vidéo et vod est Ad Vitam. France télévisions distribution a le mandat de ventes internationales. Tous les deux ont donné un minimum garanti.
Le précédent film produit par Edi films, est « Bienvenue à Marly-Gaumont », réalisé par Julien Rambaldi. Il était sorti en salle le 8 juin 2016. Cette comédie franco-belge était distribuée par Mars Films. Il était co-produit avec Curiosa Films et avait rassemblé 560 000 spectateurs. https://fr.wikipedia.org/wiki/Bienvenue_à_Marly-Gomont
Le dernier film produit par Curiosa Films est «En attendant Bojangles », réalisé par Régis Roinsard et toujours à l’affiche.En troisième semaine d’exploitation il a rassemblé 440 000 spectateurs et poursuit sa carrière. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-regis-roinsard-2/
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.