POUR LA RÉALISATION DE «RADIN !»
Cette comédie avec Dany Boon que TF1 a diffusé dimanche 9 mai, est sortie en salle le 28 septembre 2016 sur 650 copies. https://fr.wikipedia.org/wiki/Radin_!
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le film a été produit par Éric Jehelmann et Philippe Rousselet pour (Mars Films) pour un budget de 11,5 millions € et distribué par Mars Distribution. C’est le 4ème long métrage réalisé par Fred Cayavé https://fr.wikipedia.org/wiki/Fred_Cavayé.
Pour la préparation, 50 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 250 000 € répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est beaucoup plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2020.
https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-fin-octobre/
Il a participé à la rédaction du scénario avec Laurent Turner et ils se sont partagés 250 000 €. En outre, il a reçu 277 000 € d’à valoir sur d’autres contrats.
TF1 a été coproducteur et a acheté deux passages, ce qui en fait, de loin la première source de financement du film. TF1 a en outre donné un minimum garanti élevé pour la distribution vidéo et un autre pour la distribution internationale. Canal+ a acheté les droits de passage pour la télévision payante.
« Radin! » a rassemblé 2 920 000 spectateurs.
Le film précédent réalisé par Fred Cayavé est « Méa culpa », sorti en salle sorti en salle le 5 février 2014. Il a été produit par Cyril Colbeau-Justin et Jean-Paptiste Dupont pour LGM et distribué par Gaumont.
Pour la préparation, 58 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur était de 357 000 €, dont 182 000 € d’à-valoir sur droits d’auteur et 175 000 € de salaire de technicien.
« Méa culpa » a rassemblé 475 000 spectateurs.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.