Archive d’étiquettes pour : Pyramide

« La belle de Gaza », https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Belle_de_Gaza  , un documentaire sur une femme trans dans les nuits de Tel-Aviv, est le 9ème long métrage, dont le 6èmedocumentaire de Yolande Zauberman. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yolande_Zauberman

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Yolande Zauberman

Son budget prévisionnel est d’un millions €, ce qui le rapproche du budget de documentaire le plus élevé de l’année dernière. https://siritz.com/financine/le-tres-grand-ecart-des-documentaires/A noter qu’il est 50% plus élevé que le budget de la fiction « Fainéantes.E.S »,sorti cette semaine,  https://siritz.com/cinescoop/punks-a-chien-et-fetards-inveteres/Pour la préparation, 25 jours de tournage en Israël et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 66 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 70% de plus que la moyenne des rémunérations des réalisateurs de documentaire en 2023. Elle a écrit le scénario pour 34 000 €.

Les producteurs sont Unité (Bruno Nahon) et Phobics  (Yolande Zauberman). Arte cinéma France est coproducteur et une sofica y a investi. Le film a bénéficié de 300 000 € d’avance sur recettes et du soutien de la région Ile de France.

Pyramide distribution a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod ainsi qu’un autre pour le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film de la réalisatrice était « M », sorti le 20 mars 2018. C’était également un documentaire tourné à l’étranger. Il avait été également tourné en Israël et racontait la recherche sur un homme, issu d’une communauté orthodoxe de Tel Aviv, devenu acteur, qui part à la recherche de celui qui l’a abusé sexuellement quand il était jeune. Les producteurs était C.G cinéma, Unité Films et Phobics Films. New story était le distributeur et le film avait rassemblé 30 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« La fille de son père », une comédie sur la filiation, est le second film de cinéma d’Erwan Le Duc. https://fr.wikipedia.org/wiki/Erwan_Le_Duc

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Son budget prévisionnel est de 2,8 millions €, soit 60% du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit trois quarts de la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario pour 60 000 €, soit les deux tiers du budget médian des scénarios des films français de 2023. Les rôles principaux ont reçu 42 000 €, soit la moitié de leur rémunération médiane pour ces films.

Le producteur délégué est Domino Films (Stéphanie Bermann et Alexis Dulguerian). Il a obtenu le soutien de Fondation GAN, de la Région Ile de France, de la Région Grand Est et de Metz agglomération. Trois soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod. Playtime a le mandat de vente internationale sans minimum garanti.

Le précédent et premier long métrage d’Erwan Le Duc était la très originale comédie « Perdix », sorti le 14 août 2019. Le budget du film était de 2,5 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Perdrix_(film)

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 45 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 50 000 € et les rôles principaux avaient reçu 93 000 €. Le film avait le même producteur et le même distributeur que « La fille de son père ».  Et il avait rassemblé 144 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Le théorème de Marguerite », une comédie romantique, est le troisième long métrage d’Anna Novion. https://fr.wikipedia.org/wiki/Anna_Novion C’est un passionnant récit sur l’univers mathématiques mais aussi la vie à rebondissement d’une jeune fil. Jean-Pierre Darroussin, son époux, joue l’un des principaux rôles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Théorème_de_Marguerite

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (85%) et la Suisse (15%) pour un budget prévisionnel de 2,9 millions €.  C’est 60% du budget prévisionnel des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 41 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 26 000 € de salaire de technicien. C’est la moitié de la rémunération médiane des films de fiction français. Anna Novion a écrit le scénario avec Marie-Stéphane Imbert, Agnès Feuvre et Mathieu Robin. Elles se sont partagées 122 000 € ce qui correspond à 60% du budget moyen des scénarios de ces films. Enfin les rôles principaux ont reçu 78 000 €, soit la rémunération médiane des rôles principaux des films de fiction.

Le producteur délégué français est TS Productions (Miléna Poylo). France 2 est coproducteur. 2 soficas y ont investi. France 2 (inclus catch up), Canal + et Ciné+(inclus catch up) l’ont préacheté. Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat salle et un autre pour les ventes à l’étranger.

Beauvoir films (Adrian Blaser et Aline Schmid) est le producteur Suisse. Il a bénéficié du soutien de l’Office Fédéral de la Culture et le soutien automatique de Cinéforom (Fondation Romane pour le cinéma). La SSR est coproducteur et a effectué un préachat. Outside the box a donné un minimum garanti pour la distribution.

A noter que le film avait rassemblé plus de de 42 000 entrées  le 1er week-end, dans seulement 118 salles, en troisième position des nouveaux films. Et qu’il n’a cessé le progresser chaque jour, étant le seul à faire plus le dimanche que le mercredi de la Toussaint.

Le précédent film réalisé par Anna Novion était « Rendez-vous à Kiruna », sorti le 30 janvier 2013. Il avait le même producteur et le même distributeur. Son budget prévisionnel était de 2,4 millions €. La rémunération de la réalisatrice était de 51 000 €.  Elle avait écrit le scénario avec Jean-Pierre Darroussin qui jouait l’un des deux rôles principaux. Le film avait rassemblé 55 000 entrées.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.