Archive d’étiquettes pour : Pyramide

Pour son troisième long métrage, « L’histoire de Souleymane », https://fr.wikipedia.org/wiki/L’Histoire_de_Souleymane#:~:text=Le%20film%20décrit%2048%20heures,demande%20d’asile%20à%20Paris.Boris Lojkine https://fr.wikipedia.org/wiki/Boris_Lojkine aborde la question d’un immigré africain en attente de reconnaissance du statut de réfugié. C’est l’odyssée d’un sans papier en France.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Boris Lojkine

C’est un film au budget prévisionnel de 2,6 millions €, soit 70% du budget prévisionnel, soit 70% du budget prévisionnel médian des films français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/budget-moyen-peut-donner-un-gros-b-o/

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 90 000 €, dont 30 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 40 000 € de salaire de technicien ce qui correspond à la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/Boris Lojkine a écrit le scénario avec Delphine Agut pour 73 000 € soit 80% du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/tendance-a-la-baisse-de-la-remuneration-des-realisateurs/Les rôles principaux ont reçu 40 000 € soit la moitié de leur rémunération médiane. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est Unité (Bruno Nahon). Le film a bénéficié du CNC de 530 000 € d’avance sur recettes et de l’aide aux images de la diversité. La région Ile de France lui a accordé une aide remboursable. 2 soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Pyramide lui a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution France hors TV et un autre pour la distribution à l’étranger.

 Le précédent film de Boris Lojkine était « Camille », sorti en octobre 2019. https://fr.wikipedia.org/wiki/Camille_(film,_2019)

Il était produit par Unité et distribué par Pyramide. Son budget était de 1,7 millions €. Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 50 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 30 000 € de salaire de technicien. Le film avait rassemblé 62 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

A 56 ans François Ozon  https://fr.wikipedia.org/wiki/François_Ozon réalise avec « Quand vient l’automne »  réalise son 23 ème film, https://fr.wikipedia.org/wiki/Quand_vient_l%27automne. Il traite de l’amitié de deux vieilles femmes est comme un thriller.

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François Ozon

Son budget prévisionnel est de 4,8 millions €, ce qui est le budget prévisionnel moyen des films français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/budget-moyen-peut-donner-un-gros-b-o/ Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 50% de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs. Il a écrit le scénario pour 215 000 €, soit un peu plus que le budget moyen des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 272 000 €, soit 30% de plus que ce qu’ils ont reçu en moyenne. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

C’est FOZ (François Ozon) qui est le producteur délégué. Playtime et France 2 sont coproducteurs. 5 soficas garanties y ont investi.Le film a reçu l’aide à la musique du CNC ainsi que de la Sacem. La région Bourgogne Franche-Comté lui a apporté son soutien. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. DiaphanA a donné un minimum garanti pour les mandats salle et un autre pour les mandats Vidéo, VàD,   VàDA. Playtime a le mandat de vente à la télévision et a donné un minimum garanti pour le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film de François Ozon était « Mon crime », sorti le 8 mars 1923. Son budget prévisionnel était de 13,7 millions € et Mandarin et Cgie était son producteur. Gaumont le distribuait. La rémunération du réalisateur était de 400 000 €. François ozon avait écrit le scénario pour 410 000 €. Le film avait rassemblé 1,1 million de spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

                 

« La belle de Gaza », https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Belle_de_Gaza  , un documentaire sur une femme trans dans les nuits de Tel-Aviv, est le 9ème long métrage, dont le 6èmedocumentaire de Yolande Zauberman. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yolande_Zauberman

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Yolande Zauberman

Son budget prévisionnel est d’un millions €, ce qui le rapproche du budget de documentaire le plus élevé de l’année dernière. https://siritz.com/financine/le-tres-grand-ecart-des-documentaires/A noter qu’il est 50% plus élevé que le budget de la fiction « Fainéantes.E.S »,sorti cette semaine,  https://siritz.com/cinescoop/punks-a-chien-et-fetards-inveteres/Pour la préparation, 25 jours de tournage en Israël et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 66 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit 70% de plus que la moyenne des rémunérations des réalisateurs de documentaire en 2023. Elle a écrit le scénario pour 34 000 €.

Les producteurs sont Unité (Bruno Nahon) et Phobics  (Yolande Zauberman). Arte cinéma France est coproducteur et une sofica y a investi. Le film a bénéficié de 300 000 € d’avance sur recettes et du soutien de la région Ile de France.

Pyramide distribution a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod ainsi qu’un autre pour le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film de la réalisatrice était « M », sorti le 20 mars 2018. C’était également un documentaire tourné à l’étranger. Il avait été également tourné en Israël et racontait la recherche sur un homme, issu d’une communauté orthodoxe de Tel Aviv, devenu acteur, qui part à la recherche de celui qui l’a abusé sexuellement quand il était jeune. Les producteurs était C.G cinéma, Unité Films et Phobics Films. New story était le distributeur et le film avait rassemblé 30 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« La fille de son père », une comédie sur la filiation, est le second film de cinéma d’Erwan Le Duc. https://fr.wikipedia.org/wiki/Erwan_Le_Duc

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Son budget prévisionnel est de 2,8 millions €, soit 60% du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien, soit trois quarts de la rémunération médiane des réalisateurs de films de fiction. Il a écrit le scénario pour 60 000 €, soit les deux tiers du budget médian des scénarios des films français de 2023. Les rôles principaux ont reçu 42 000 €, soit la moitié de leur rémunération médiane pour ces films.

Le producteur délégué est Domino Films (Stéphanie Bermann et Alexis Dulguerian). Il a obtenu le soutien de Fondation GAN, de la Région Ile de France, de la Région Grand Est et de Metz agglomération. Trois soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo et vod. Playtime a le mandat de vente internationale sans minimum garanti.

Le précédent et premier long métrage d’Erwan Le Duc était la très originale comédie « Perdix », sorti le 14 août 2019. Le budget du film était de 2,5 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/Perdrix_(film)

Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 45 000 €, dont 20 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien. Il avait écrit le scénario pour 50 000 € et les rôles principaux avaient reçu 93 000 €. Le film avait le même producteur et le même distributeur que « La fille de son père ».  Et il avait rassemblé 144 000 spectateurs.

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« Le théorème de Marguerite », une comédie romantique, est le troisième long métrage d’Anna Novion. https://fr.wikipedia.org/wiki/Anna_Novion C’est un passionnant récit sur l’univers mathématiques mais aussi la vie à rebondissement d’une jeune fil. Jean-Pierre Darroussin, son époux, joue l’un des principaux rôles. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Théorème_de_Marguerite

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Il s’agit d’une coproduction entre la France (85%) et la Suisse (15%) pour un budget prévisionnel de 2,9 millions €.  C’est 60% du budget prévisionnel des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 41 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 26 000 € de salaire de technicien. C’est la moitié de la rémunération médiane des films de fiction français. Anna Novion a écrit le scénario avec Marie-Stéphane Imbert, Agnès Feuvre et Mathieu Robin. Elles se sont partagées 122 000 € ce qui correspond à 60% du budget moyen des scénarios de ces films. Enfin les rôles principaux ont reçu 78 000 €, soit la rémunération médiane des rôles principaux des films de fiction.

Le producteur délégué français est TS Productions (Miléna Poylo). France 2 est coproducteur. 2 soficas y ont investi. France 2 (inclus catch up), Canal + et Ciné+(inclus catch up) l’ont préacheté. Pyramide a donné un minimum garanti pour le mandat salle et un autre pour les ventes à l’étranger.

Beauvoir films (Adrian Blaser et Aline Schmid) est le producteur Suisse. Il a bénéficié du soutien de l’Office Fédéral de la Culture et le soutien automatique de Cinéforom (Fondation Romane pour le cinéma). La SSR est coproducteur et a effectué un préachat. Outside the box a donné un minimum garanti pour la distribution.

A noter que le film avait rassemblé plus de de 42 000 entrées  le 1er week-end, dans seulement 118 salles, en troisième position des nouveaux films. Et qu’il n’a cessé le progresser chaque jour, étant le seul à faire plus le dimanche que le mercredi de la Toussaint.

Le précédent film réalisé par Anna Novion était « Rendez-vous à Kiruna », sorti le 30 janvier 2013. Il avait le même producteur et le même distributeur. Son budget prévisionnel était de 2,4 millions €. La rémunération de la réalisatrice était de 51 000 €.  Elle avait écrit le scénario avec Jean-Pierre Darroussin qui jouait l’un des deux rôles principaux. Le film avait rassemblé 55 000 entrées.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.