Archive d’étiquettes pour : Parents d'élèves

Pour « Parents d’élèves »

Ce film sort cette semaine. 

https://fr.wikipedia.org/wiki/Parents_d%27élèves

C’est le 4ème long métrage de cette réalisatrice qui a également réalisé des téléfilms.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Noémie_Saglio

Cinéfinances.info*  a fourni les données financières de cet article.

Rectangle production (Edouard Weil, Alice Gérard) l’a produit pour un budget de 4,6 millions €. Il est distribué par le partenariat TF11 DA/UGC.

La rémunération de Noémie Saglio pour la préparation, 31  jours de tournage et la post-production, est de 170 000 €. Ils sont répartis à part égal entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Cela correspond à peu près à la rémunération moyenne des réalisateurs des films français sortis depuis le début de l’année. C’est un peu supérieur à cette rémunération moyenne hors la rémunération de 1,4 millions de Michel Hazanavicius pour « Le prince oublié ». https://siritz.com/financine/le-barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs/

Quant au scénario, il a été co-écrit par Alice Girard, Marinette Levy et Mathias Gavarrry. Ils se sont partagés une rémunération de 30 000 €. En outre, 156 00 € de rémunération supplémentaire apparaissent dans le poste Sujet.

Sa rémunération pour « Telle mère, telle fille »

Le précédent film de Noémie Saglio était « Telle mère, telle fille », sorti en 2017. Il était produit par  Gaumont et Flamme films (Christian Gente) pour un budget de 6,7 millions €. 

Pour la préparation, 39 jours de tournage et la post-production, la rémunération de la réalisatrice était également  de 170 000 €. Ils étaient également répartis à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.

Le film, distribué par Gaumont, avait rassemblé 200 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.