POUR LA RÉALISATION DE « MON HÉROÏNE »
Cette comédie est le premier long métrage de cette réalisatrice qui avait jusque-là réalisé des making of pour les majors et un documentaire pour la télévision.https://www.quellebellehistoire.com/auteurs/noemie-lefort-2/
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le film est produit par Octopolis (Mathieu Zeller) pour un budget prévisionnel de 4,1 millions €.
Pour la préparation, 40 jours de tournage (dont 15 en décors naturel à New-York) et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est 20% de moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-nouveau-barometre-des-realisateurs/
La réalisatrice a écrit le scénario avec Fadette Drouard et elles se sont partagées 87 000 €. C’est un tiers de moins que le budget médian des scénarios de films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-au-29-11-2022/
Le film a été coproduit par Indy Films production (Stéphane Réthoré). Il est distribué par Universal France qui a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo, un autre pour le mandat de distribution télévision payante, un autre pour le mandat de distribution télévision gratuite et un dernier pour le mandat de vente à l’étranger.
Octopolis avait produit « Big Foot family », un film d’animation sorti le 5 août 2020. Il était réalisé par Ben Stassen et Jérémie Dégruson. Son budget prévisionnel était de 15,2 millions €.
Apollo avait donné un minimum garanti pour le mandat de distribution et salle et Charades un minimum garanti pour le mandat de distribution à l’étranger.
Le film avait rassemblé 454 00 spectateurs en France.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.