POUR LA RÉALISATION DE « MON INCONNUE »
OCS a diffusé jeudi 1er avril le film « Mon inconnue ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Mon_inconnue
Il a été réalisé par Hugo Gélin. https://fr.wikipedia.org/wiki/Hugo_Gélin
C’est son 3ème long métrage. Il est sorti en salle le 3 avril 2019.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Produit par Mars Film et Hugo Gelin (Zazi films) pour un budget initial de 7,2 millions €.
Il a été préacheté par Canal+ et OCS et coproduit par France 3 ainsi que C8.
Pour la préparation, 46 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, répartie à part égal entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est légèrement plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2020.
https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-fin-octobre/
Le scénario a été co-écrit avec Igor Gotesman et Benjamin Parent, David Foenkinos, Laetitia Colombani. Ils se sont partagé une rémunération de 342 000 €.
Le film a rassemblé 560 000 spectateurs.
Le précédent film réalisé par Hugo Gelin est « Demain tout commence ». Cette comédie de mœurs est une adaptation du film mexicain d’Eugenio Debrez, « Ni repris, ni échangé », sorti en France en 2013. Il était produit par Vendôme Production et Mars Films pour un budget initial de 17,5 millions €. C’est Mars films qui l’a distribué et il avait rassemblé plus de 3,2 millions de spectateurs.
Pour la préparation, 52 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est 250 000 €, répartie à répartie à part égal entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
Les droits d’adaptation du film ont été de 800 000 € et, pour co-écrire le scénario, Jean-André Yerless a reçu 120 000 €.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.