Archive d’étiquettes pour : Les films du Worso

Pour son 9ème long métrage, « La vallée des fous » https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Vallée_des_fous, le réalisateur Xavier Beauvois https://fr.wikipedia.org/wiki/Xavier_Beauvois, nous fait embarquer pour un Vendée Globe de légende.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Xavier Beauvois

Son budget prévisionnel est 6,6 millions €, soit un quart de plus que le budget moyen des films français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, dont 119 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 81 000 € de salaire de technicien, ce qui correspond à trois quarts de plus que la rémunération moyenne des réalisateurs. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/Il a écrit le scénario avec Marie-Julie Maille et Giacchino Camapanell pour 233 000 €, soit 60% de plus que le budget moyen des scénarios. https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/Les rôles principaux ont reçu 420 000 €, soit le double de ce qu’ils ont reçu en moyenne. https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/

Le film est produit par Les Films du Worso (Sylvie Pialat). Les Films du Monsieur, Pathé et France 3 cinéma l’ont coproduit. Le CNC a accordé une aide sélective. Une sofica garantie par Pathé et 5 soficas non garanties y ont investi. Canal+, Ciné+ et France 3 y ont investi. Pathé a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film réalisé par Xavier Beauvois était « Albatros », sorti  en 2021 https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-xavier-beauvois-2/. Son budget était de 6 millions €. Les Films du Worso était déjà son producteur et la distribution était assuré par Pathé et Orange Studio. La rémunération du réalisateur était 200 000 € et il avait écrit le scénario avec Frédéric Moreau et Marie-Julie Maille pour 258 000 €. Le film avait rassemblé 94 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.

Pour son 25ème film , « Les gens d’à côté », https://fr.wikipedia.org/wiki/Les_Gens_d%27à_côté, André Téchiné https://fr.wikipedia.org/wiki/André_Téchiné raconte l’amitié d’une flic avec un anti-flic

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

André Techiné

Son budget prévisionnel est de 4,2 millions €, soit 90% du budget prévisionnel moyen des films de fiction français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/2024-reduction-des-budgets-previsionnels/Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 123 000 €, dont 74 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 51 000 € de salaire de technicien, soit 90% de la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/editorial/remuneration-du-realisateur-en-du-budget/Il a écrit le scénario avec Régis de Martin-Donos pour 178 000 €, ce qui revient à 90% du budget moyen des scénarios https://siritz.com/financine/impressionnante-chute-du-budget-des-scenarios/.Les rôles principaux ont reçu 121 000 €, soit deux tiers de ce qu’ils ont reçu en moyenne  https://siritz.com/financine/remuneration-des-roles-principaux-2024-2023/.

Le producteur délégué est Les films du Worso (Sylvie Pialat). Les Films du Camélia (Ronald Chammah), Same Player (Sarah Portal) , Ciné Nomine (Pierre Forette et Thierry Wong), Srab Films (Christophe Barral et Toufik Ayadi) et France 2 cinéma sont coproducteurs. Trois soficas y ont investi. Canal+, Ciné + et France 2 l’ont préacheté. Jours2fête a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod et s-vod. Pyramide International en a donné un pour le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film d’André Tichéné était « Les Âmes sœurs », sorti le 12 avril 2023. Son budget prévisionnel était de 4,2 millions €. Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait écrit le scénario avec Cédric Anger pour 200 000 €. Curiosa Film était le producteur délégué et Ad Vitam le distributeur. Le film avait rassemblé 75 000 entrées.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

« Mon ami Robot » réalisé par  Pablo Berger a été sacré meilleur film d’animation 2023 au Prix du cinéma européen. Il est en outre applaudi par la critique française. C’est le 3ème long métrage de cinéma de ce réalisateur espagnol. https://fr.wikipedia.org/wiki/Mon_ami_robot

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre l’Espagne (77%) et France (23%) pour un budget prévisionnel 5,2 millions €. C’est 15% de moins que le budget prévisionnel moyen des films d’animation français, https://siritz.com/editorial/la-france-reste-grand-producteur-danimation/mais 10% de plus que le budget moyen des films de fiction, car les films d’animation sont forcément chers. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, le tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 150 000 €, ce qui est la rémunération moyenne des réalisateurs de films d’animation. C’est une adaptation de la bande dessinée de Sara Varon. L’ensemble du scénario revient à 150 000 €, ce qui est légèrement en-dessous du budget moyen des scénarios des films d’animation.

Les producteurs français sont Noodles Productions (Nicole et Jérôme Vidal) et Les films du Worso (Sylvie Pialat). Le film a reçu 250 000 € d’avances sur recettes et le soutien d’Eurimages. Deux soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Wild bunch a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle, vidéo, vod, et svod.

Les producteurs espagnols sont Aracdai Motion Pictures et Noodles Production. TVE est coproducteur. Le film a bénéficié du crédit d’impôt, d’aides nationales et du soutien d’Eurimages. TVE et Movistar l’ont préacheté tandis que Elle Driver a donné un minimum garanti pour la distribution en Espagne et dans le monde.

Le précédent film de Pablo Berger était « Abracadabra », sorti en France le 4 avril 2018.  https://fr.wikipedia.org/wiki/Abracadabra_(film,_2017)

C’était une fiction, tournée en Espagnol. Il s’agissait d’une coproduction entre la France (20%) et l’Espagne (80%) pour 5,5 millions €. La rémunération du réalisateur était 220 000 €.

Les producteurs français étaient Noodles Production et Film distribution Production. Le CNC avait donné un aide aux cinémas du monde. Condor avait donné un minimum garanti pour les mandats salle et vidéo. Le film avait rassemblé 31 000 spectateurs en France.

Arcadia Motion Pictures était le producteur Espagnol. Sony avait donné un minimum garanti pour la distribution aux USA et en Amérique Latine.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.