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La rémunération de Jalil Lespert

« Le Dindon », que Canal + diffuse le vendredi 19 juin, a été réalisé par Jalil Lespert. C’est le 5ème long métrage de celui-ci, qui a eu une longue carrière de comédien. Il est produit Pathé et Cinéfrance. Il est distribué par Pathé Film. Son budget est de 14 millions €.

https://fr.wikipedia.org/wiki/Jalil_Lespert

Cinéfinances.info*  a fourni les données financières de cet article.

Pour ce film (voir aussi https://siritz.com/financine/le-dindon-un-couteux-echec/) dont la durée de tournage a été 35 jours et dont le budget était de 14 millions €, sa rémunération a été de 445 5000, répartie à part égal entre à-valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien réalisateur. Il a participé à l’écriture de l’adaptation de la pièce de Feydeau avec Guillaume Gallienne qui est l’un des principaux interprètes du film. Cette adaptation a été rémunérée 300 000 €.

Le précédent film réalisé par Jalil Jaspert était « Iris »,  produit par Wy Production (Wassimi Beji). Il était sorti en 2016. Sont le budget était de 8 millions €. Pour 35 jours de tournage sa rémunération avait été de 200 000 €, répartie à part égale entre à-valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien réalisateur. Il avait co-écrit le scénario avec trois autres scénaristes et ce scénario avait été rémunéré 160 000 €.

Le film « reconnu » par Pierre Berger sur le grand couturier

« Yves Saint-Laurent », sorti en 2014, avait également été produit par Wy Productions. Son budget était de 12 millions €. Pour 41 jours de tournage la rémunération de Jalil Lespert était de 220 000 €. Là encore, il avait co-écrit le scénario qui avait été rémunéré 240 000 € . Pour le  sujet, sur les relations amoureuses du couturier et de Pierre Bergé, qu’il a apporté  et qui a reçu le soutien de ce dernier, il a touché 90 000 €. Le film avait rassemblé 376 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.