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LA RÉMUNÉRATION D’ANTHONY MARIANO

POUR LA RÉALISATION DE « PLAY »

Ce troisième long métrage du réalisateur https://fr.wikipedia.org/wiki/Anthony_Marciano

est une comédie https://fr.wikipedia.org/wiki/Play_(film,_2019) . Canal+ l’a diffusé mercredi 21 avril 2021.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est sorti en salles le 1er janvier 2020. C’est Dimitri Rassam (Chapter 2) et Benjamin Elaloof (Mooshaker II) qui l’on produit pour un budget initial de 7,9 millions €. Son distributeur de départ était Mars film et a finalement été Gaumont.

Pour la préparation, 37 jours de tournage et la postproduction la rémunération du réalisateur a été de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.  C’est légèrement plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2020. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-fin-octobre/

Il a en outre co-écrit le scénario avec Max Boublil et ils se sont partagés 600 000 € de rémunération fixe, plus des pourcentages.

Le film était préacheté par Canal+, Multithématiques ainsi que France 2 et coproduit par France 2. Il avait rassemblé 253 000 spectateurs.

Le précédent film du réalisateur était « Robin des bois, la véritable histoire », sorti en salle le 15 avril 2015. Il était produit par Simon Istolainen (Adama SAS) pour un budget initial de 11 millions € et distribué par Mars films.

Pour la préparation, 45 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur était de 300 000 € répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait en outre co-écrit de scénario avec Marc Boublil et ils s’étaient partagés 400 000 € d’à valoir.

Le film avait rassemblé 540 000 spectateurs.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.