POUR LA RÉALISATION DE « ADIEU MONSIEUR HAFFMANN »
Cette comédie dramatique est son 6ème long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Fred_Cavayé et https://fr.wikipedia.org/wiki/Fred_Cavayé
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Il est produit par Philippe Rousselet (Vendôme productions). Pathé et Orange studio sont coproducteurs en ayant investi du fonds de soutien. Ils sont également distributeurs en ayant donné un minimum garanti pour tous les mandats. https://fr.wikipedia.org/wiki/Adieu_Monsieur_Haffmann_(film)
Pour la préparation, 27 jours de tournage en décors naturel et 23 en studio, ainsi que la post-production la rémunération du réalisateur est de 250 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est légèrement plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2021. https://siritz.com/financine/le-top-5-de-la-remuneration-et-le-barometre/
Ce film est une adaptation de la pièce de théâtre à succès de Jean-Philippe Daguerre dont les droits d’adaptation ont été acheté 100 000 €. Le scénario a été coécrit avec Sarah Kaminsky et ils se sont partagés 400 000 €.
OCS a pré-acheté 2 passage tandis que France 2 l’a coproduit eta pré-acheté 2 passages.
Le précédent film réalisé par Fred Cayavé était « Le jeu ». Sorti le 17 février 2018 il était produit par Mars Films et Medset films pour 8 millions € et distribué par Mars Films. https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Jeu_(film)
Pour la préparation, 34 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 300 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Il avait reçu 192 000 € pour le scénario. Celui-ci était une adaptation d’un roman italien dont les droits avaient été acquis 350 000 €.
Le film avait rassemblé 1,64 millions de spectateurs.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.