Archive d’étiquettes pour : Douze doigts productions

Pour son premier long métrage « Prosper » https://fr.wikipedia.org/wiki/Prosper_(film)Yohann Gloaguen https://www.unifrance.org/annuaires/personne/338858/yohann-gloaguen réalise une comédie policière fantastique pour Zadig.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Yohann Gloaguen

Son budget prévisionnel est 2,6 millions €, ce qui correspond à deux tiers du budget prévisionnel médian des films de fiction français sortis en 2024. https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/ . Pour  la préparation, 35  jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 40 000 €, dont 15 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 25 000 € de salaire de technicien. Le scénario a été écrit par Dominique Baumard, Thierry Lounas, Claire Bonnefoy, Léo Noel pour 67 500 €, soit deux tiers du budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 64 000 €, soit les deux tiers de leur rémunération médiane.

Les producteurs délégués sont Capricci production (Thierry Lounas) & Douze doigts productions (Camille Moulonguet et Jean-Pascal Zadig). France 2 cinéma est coproducteur. La région Ile de France a apporté une aide remboursable. Une sofica garantie y a investi. Canal+, Ciné+ et France 2 l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti en parti financé par une sofica adossée pour tous les mandats de distribution.

Le précédent film distribué par Le Pacte était « Le quatrième mur », réalisé par David Oelhoffen et sorti en janvier dernier. Son budget prévisionnel était 3,6 millions € et il avait rassemblé 92 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/la-puissance-de-lart-et-la-realite-de-la-vie/

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 15 ans d’archives.

LA RÉMUNÉRATION DE LEÏLA SY ET AMADOU MARIKO

Cette comédie est le premier long métrage pour le cinéma alors qu’elle en a déjà réalisé un pour Netflix, diffusé en 2019. https://fr.wikipedia.org/wiki/Leïla_Sy

Elle l’a réalisé avec Amadou Mariko dont c’est également le premier long métrage pour le cinéma.

https://www.linkedin.com/in/amadou-mariko-73b11b100/?originalSubdomain=fr

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Gaumont (Sidonie Dumas) et Douze doigts production (Camille Moulonguet et Jean-Pascal Jadie) pour un budget prévisionnel de 6,5 millions €. C’est 20% de plus que le budget prévisionnel moyen des fictions françaises sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/pathe-et-boon-explosent-les-barometres/

Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération des deux réalisateurs est de 115 000 €, dont 25 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 90 000 € de salaire de technicien. C’est 40% de plus que la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. Amadou Mariko a écrit le scénario pour 50 000 €. C’est 60% du budget médian des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 185 000 €. C’est 80% de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

France 2 est coproducteur et la région Ile-de-France a apporté son soutien. Netflix  (premier et second passage S-Vod ) et France 2 l’ont préacheté. Gaumont est distributeur sans minimum garanti.

La fiction que Leïla Sy avait réalisé avec Kery James pour Netflix et qui avait été diffusé à partir du 12 octobre 2019 était « Banlieusards ». https://fr.wikipedia.org/wiki/Banlieusards Il était produit par Les films Velvet et Srab Films.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.