Archive d’étiquettes pour : Christmas in july

Le 7ème long métrage réalisé par Sophie Fillières (décédée le 32 juillet dernier) https://fr.wikipedia.org/wiki/Sophie_Fillières, « Ma vie ma gueule », https://fr.wikipedia.org/wiki/Ma_vie,_ma_gueule, est  un attachant portrait d’une femme détraquée, interprétée par Agnès Jaoui. Alors que la fréquentation de la semaine, à dimanche soir, avait chuté de 18% par rapport à l’année dernière, il a rassemblé 38 000 spectateurs dans 204 salles.

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Sophie Fillières

Son budget prévisionnel est 1,2 millions €. C’est le tiers du budget prévisionnel médian des fictions françaises. https://siritz.com/financine/budget-moyen-peut-donner-un-gros-b-o/ Pour la préparation, 24 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 30 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 20 000 € de salaire de technicien. C’est le quart de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Sophie Fillières a écrit le scénario pour 63 000 €, soit les deux tiers du budget médian des scénarios. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/Les rôles principaux ont reçu 20 000 € ce qui représente le quart de leur  rémunération médiane.  https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est Christmas in July (Julie Salvador). Le film a bénéficié du CNC de 550 000 € d’avance sur recettes ainsi que d’une aide remboursable. L’Angoa lui a apporté son soutien. Jour de fête a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution salle.

Le précédent film de Stéphane Fillière était la comédie romantique « La Belle et la Belle », sorti en 2018. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Belle_et_la_Belle

Le film avait le même producteur et était distribué par Memento Films. Son budget prévisionnel était 4 millions €. Il avait rassemblé 122 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Son budget prévisionnel est 1,2 millions€. C’est le tiers du budget prévisionnel médian des fictions françaises. https://siritz.com/financine/budget-moyen-peut-donner-un-gros-b-o/ Pour la préparation, 24 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 30 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 20 000 € de salaire de technicien. C’est le quart de la rémunération médiane des réalisateurs. https://siritz.com/financine/realisateurs-les-ecrats-de-realisation-saccroissent/

Elle a écrit le scénario pour 63 000 €, soit les deux tiers du budget médian des scénarios des fictions françaises. https://siritz.com/financine/budget-du-scenario-remuneration-du-realisateur/Les rôles principaux ont reçu 20 000 € ce qui représente le quart de leur  rémunération médiane.  https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est Christmas in July (Julie Salvador). Le film a bénéficié du CNC de 550 000 € d’avance sur recettes ainsi que d’une aide remboursable. L’Angoa lui a apporté son soutien. Jour de fête a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution salle.

Le précédent film de Stéphane Fillière était la comédie romantique « La Belle et la Belle », sorti en 2018. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Belle_et_la_Belle

Le film avait le même producteur et était distribué par Memento Films. Son budget prévisionnel était 4 millions €. Il avait rassemblé 122 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

La comédie dramatique « La fiancée du poète » est le 3ème film réalisé par Yolande Moreau qui,  née en Belgique, est devenue célèbre comme membre des Deschiens. C’est une très prolifique comédienne du cinéma et de la télévision. Elle est d’ailleurs l’un des rôles principaux de ce film. https://fr.wikipedia.org/wiki/Yolande_Moreau

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il s’agit d’une coproduction entre la France (80%) et la Belgique (20%) pour un budget prévisionnel de 4,1 millions €. https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Fiancée_du_poète  C’est 85% du budget moyen des films Français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/editorial/plus-de-films-avec-moins-de-moyens/

Pour la préparation, 36 jours de tournage et la post-production la rémunération de la réalisatrice est de 100 000 €, dont 25 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 75 000 € de salaire de technicien. C’est 75% de la rémunération moyenne des réalisateurs de ces films. Yolande Moreau a écrit le scénario avec la scénariste Frédérique Moreau (« Albatros ») pour 107 000 €. C’est la moitié du budget moyen des scénarios de ces films. Les rôles principaux ont reçu 197 000 €. C’est 90% de ce qu’ils ont reçu en moyenne pour ces films.

Le producteur Français est Christmas in July (Julie Salvador). Il a reçu 450 000 € d’avance sur recettes. Eurimages tout comme les régions Grande Est et Normandie lui ont apporté leur soutien. 2 soficas y ont investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté. Le Pacte a donné un minimum garanti pour les mandats vidéo et salle, Indie Sales pour le mandat ventes internationales.

Le coproducteur Belge est Artémis Production (Patrick Quinet). Il a bénéficié du Tax shelter, eut le soutien d’Eurimages et de la Fédération Wallonie-Bruxelles. Proximus et la RTBF l’ont préacheté.

Le précédent film réalisé par Yolande Moreau était « Henri », sorti le 4 décembre 2013. C’était déjà une coproduction 80/20% entre la France et la Belgique. Son budget prévisionnel était de 4,7 millions €. En France il avait le même producteur et le même distributeur. Le film y avait rassemblé 158 000 entrées. Le coproducteur belge était Versus Production et le distributeur O’Brother avait donné un minimum garanti.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « LA MONTAGNE »

Cet acrobate et alpiniste a réalisé plusieurs courts métrages. C’est son deuxième long métrage. https://fr.wikipedia.org/wiki/Thomas_Salvador

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article. Il est produit par Christmas in July  (July Salvador)  pour un budget prévisionnel de 3,3 millions €.

Pour la préparation, 51jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 100 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction en 2022. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs-de-fiction-en-2022/

650 000 € d’avance sur recettes

Le réalisateur a écrit le scénario avec Naïla Guinguet et ils se sont partagés 50 000 €. C’est moins de la moitié du budget médian des scénarios de films français de fiction en 2022. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-scenarios-en-2022/

Le film a bénéficié de 650 000 € d’avance sur recette. La région Auvergne-Rhône Alpes cinéma est coproducteur.  Le CNC lui a accordé une aide à la création visuelle et sonore et la Fondation GAN pour le cinéma un soutien. Trois soficas y ont investi. Canal+ et Ciné + l’ont préacheté.

Le Pacte a donné un minimum garanti pour le mandat de distribution salle et un autre pour le mandat de distribution étranger.

Le précédent film réalisé par Thomas Salvador était « Vincent n’a pas d’écailles », sorti le 18 février 2015. Il était également produit par Christmas in July et son budget prévisionnel était de 1,9 millions €. Le film avait bénéficié de 500 000 € d’avance sur recettes.

Pour la préparation, 35  jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 42 000 €, dont 10 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 32 000 € de salaire de technicien.

Il avait écrit le scénario avec Thomas Cheysson et Thomas Bidegain. Lui avait reçu 36 000 € et les deux autres 20 000 € chacun.

La région Paca lui avait apporté son soutien. Une sofica y avait investi. Canal+ l’avait préacheté. Le Pacte avait donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo et un autre  pour le mandat de ventes à l’étranger.

Sorti sur 80 copies le film avait rassemblé 81 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.