Archive d’étiquettes pour : Blue Monday Productions

Le thriller « La tête froide » https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Tête_froide est le premier long métrage de fiction de Stéphane Marchetti, un réalisateur de documentaire qui a reçu de nombreux prix. https://fr.wikipedia.org/wiki/Stéphane_Marchetti

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Le budget prévisionnel de ce film percutant est de 2 millions €, soit 60% du budget prévisionnel des films de fiction français sortis en 2023. https://siritz.com/financine/le-budget-des-films-de-fiction-explose/Pour la préparation, 29 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 35 000 €, dont 16 000 € d’à valoir sur droits  d’auteur et 19 000 € de salaire de technicien de ces films. Il a écrit le scénario avec Laurette Polmanss pour 36 000 €, soit le tiers du budget des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 40 000 €, soit la moitié de leur rémunération médiane. https://siritz.com/financine/les-stars-ne-garantissent-pas-le-succes/

Le producteur délégué est Blue Monday Productions (Nathalie Mesuret et Bertrand Gore). Auvergne-Rhône-Alpes Cinéma est coproducteur. Le film a reçu 152 000 € d’avance sur recettes après réalisation. L’Angoa et la région Sud ont apporté leur soutien. Une sofica y a investi. Canal+ et Ciné+ l’ont préacheté tandis que UFO a donné un minimum garanti pour les mandats de distribution salle et vidéo.

À noter que UFO avait distribué « Conann », https://siritz.com/cinescoop/la-barbarie-a-travers-les-epoques/sorti le 29 novembre 2023, réalisé par Bertrand Mandico,. C’était un film au budget prévisionnel de 2,9 millions € et qui avait bénéficié d’une avance sur recettes. UFO avait donné un minImum garanti et le film avait rassemblé 13 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

Le film dramatique « L’air de la mer rend libre »est le 6ème long métrage réalisé par Nadir Moknèche https://fr.wikipedia.org/wiki/Nadir_Moknèche

Ciné.info* a fourni les données financières de cet article.

Il est produit par Blue Monday Productions (Nathalie Mesuret) pour un budget prévisionnel de 1,2 millions €. C’est un tiers du budget médian des films Français de fiction sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/gros-budget-negale-pas-gros-box-office/ Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 21000 €, dont 5 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 16 000 € de salaire de technicien. C’est un cinquième de la rémunération médiane des réalisateurs de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-de-la-remuneration-des-realisateurs-2/ Il a écrit le scénario avecNaïla Guiguet et Michael Barnes. Ils se sont partagés 57 000 €, soit un peu moins de deux tiers de la rémunération médiane des scénaristes de ces films. https://siritz.com/financine/la-part-du-scenario-dans-le-budget-augmente/

Les rôles principaux ont reçu 21 000 €, soit le quart de leur rémunération médiane pour ces films. C’est donc typiquement un films de fiction à petit budget.

Le Bureau Film est coproducteur. 2 soficas, dont une garantie y ont investi. Le CNC a apporté son aide du fonds des images pour la diversité et le région Bretagne lui a fourni son soutien. Ciné+ et TV5 Monde l’ont préacheté. Pyramide distribution lui a apporté un minimum garanti pour le mandat salle et un autre pour le mandat de vente à l’étranger.

Le précédent film de Nadir Moknèche était « Lola Pater », sorti le 9 août 2017. https://fr.wikipedia.org/wiki/Lola_Pater Il avait le même producteur et son budget prévisionnel était 2,5 millions €. Pour la préparation, 38 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Le distributeur était ARP sélection et le film avait rassemblé 123 000 spectateurs.

www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.

POUR LA RÉALISATION DE « UNE HISTOIRE D’AMOUR ET DE DÉSIR »

Cette romance est le premier long métrage de la réalisatrice. Celle-ci est née en Tunisie et diplômée de la Femis section réalisation. https://fr.wikipedia.org/wiki/Leyla_Bouzid

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http://www.semainedelacritique.com/fr/edition/2021/film/une-histoire-damour-et-de-desir

Il est produit par Bertrand Gore  (Blue Monay Productions) pour un budget de 2,37 millions €. Il avait produit, pour 2,4 millions € ,« Juts Kids » sorti le 5 août 2018, réalisé par Christophe Blancet. Il avait été distribué par Rezo films. Il avait également produit « La forêt de mon père » réalisé par Véro Cratzborn, pour 2,08 millions €, sorti le 8 juillet 2020, distribué par KMBO. Ces deux films avaient rassemblé moins de 10 000 entrées.

Le producteur a investi son salaire de producteur, ses frais généraux et son crédit d’impôt. Le film a obtenu du soutien à la production et l’investissement de deux soficas dont une adossée. Arte est coproducteur et a préacheté un passage. Il a également été préacheté par Canal+ et Multithématiques.

Le film a également bénéficié de l’aide au développement, de 500 000 € d’avance sur recettes et du Fonds Images de la diversité. La région Basse Normandie lui a accordé de l’aide de l’écriture.

Pyramide a donné un minimum garanti pour les mandats salle et vidéo et un autre pour l’international.

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération de Leyla Bouzid est de 74 000 € dont 40 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 34 000 € de salaire de technicien. C’est sensiblement moins que la rémunération médiane des films français sortis en 2021.

Elle a, en outre, reçu 39 000 € pour son scénario.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 11 ans d’archives.