POUR LA RÉALISATION DE « 10 JOURS SANS MAMAN »
Vendredi 28 janvier Canal+ a diffusé « 10 jours sans maman », sorti en salle le 19 février 2020. C’est le remake de la comédie argentine « Mama se fue de viaje ». https://fr.wikipedia.org/wiki/10_jours_sans_maman
Il a été réalisé par Ludovic Bernard dont c’est le 4ème long métrage. C’est aussi l’un des trois réalisateurs de la série à succès « Lupin » diffusée sur Netflix. https://fr.wikipedia.org/wiki/Ludovic_Bernard
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Il a été produit par Dominique Farrugia Romain Brémond et Daniel Preljocaj (Soyouz films) et StudioCanal pour un budget de 8,9 millions €. C’est StudioCanal qui l’a distribué.
Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 275 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est sensiblement plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2020.https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-fin-octobre/
Le scénario a été écrit avec Mathieu Ouillon et ils se sont partagés140 000 €. Les droits de remake ont été achetés 250 000 €.
Le film a rassemblé 1,2 millions de spectateurs.
Le précédent film de Ludovic Bernard était « Au bout des doigts » sorti en salle le 26 décembre 2018. Il était produit par Mathias Rubin (Recifilms) pour un budget de 5,9 millions €. TF1DA était distributeur et avait confié la distribution physique à Mars films.
Pour la préparation, 38 jours de tournage et la post-production la rémunération de Ludoci Bernard était de 275 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Le scénario a été co-écrit avec Johanne Bernard et ils se sont partagés 125 000 €.
Le film a rassemblé 390 000 spectateurs.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.