THRILLER POISSEUX TIRÉ D’UN FAIT RÉEL
« Le domaine », thriller poisseux tiré d’un fait réel, https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Domaine_(film,_2025) est le second long métrage du réalisateur italien Giovanni Aloi https://www.allocine.fr/personne/fichepersonne_gen_cpersonne=681667.html
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Giovanni Aloi
Son budget prévisionnel était 1,5 millions €, soit 40% du budget médian des films français de fiction sortis en 2024. https://siritz.com/financine/les-barometres-2024-des-films-de-fiction/Mais Cinéfinances.info a obtenu le budget définitif qui est 2 millions €, soit un tiers de plus que le budget initial. Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 32 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est un tiers de la rémunération médiane des réalisateurs en 2024. Il a écrit le scénario avec Sébastien Gendron, Dominique Baumard, Thierry Lounas et Claire Bonnefoy pour 57 000 €, soit 55 % du budget médian des scénarios. Les rôles principaux ont reçu 80 000 €, soit 75% de la rémunération médiane des rôles principaux.
Le producteur délégué est Capricci productions (Farid et Thierry Lounas). Une sofica non garantie y a investi. Il a bénéficié de l’aide au développement et à la musique originale du CNC ainsi que du soutien de l’Angoa. Netflix l’a préacheté. Capricci Films a donné un minimum garanti pour tous les mandats de distribution en France et Capricci Films, avec Goodfellas, un minimum garanti pour le mandat de vente à l’étranger.
Le précédent film réalisé par Giovanni Aloi est « La troisième guerre », sorti en 2021. Son budget prévisionnel était 1,8 millions €. Il avait le même producteur délégué et son distributeur était The Jokers. Il avait rassemblé 11 000 spectateurs. https://siritz.com/cinescoop/la-remuneration-de-giovanni-aloi/
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 15 ans d’archives.