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LA RÉMUNÉRATION D’ÉRIC LAVAINE

POUR LA RÉALISATION DE « L’EMBARRAS DU CHOIX »

Dimanche 14 février France 2 a diffusé en prime-time « L’embarras du choix », une comédie romantique sortie en salle le 15 mars 2016 https://fr.wikipedia.org/wiki/L%27Embarras_du_choix.

Il a été réalisé par Eric Lavaine dont c’est le 7ème long métrage  et qui a mené aussi une carrière de scénariste. https://fr.wikipedia.org/wiki/Éric_Lavaine

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Le film a comme producteurs délégués à 50/50 Alain Benguigui (Sombrero Films), Thomas Verhaeghe  (Atelier de production). Son budget initial est de 8 millions € et il est distribué par Pathé.

Pour la préparation, 41 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur est de 93 000 €, répartie entre 45 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 48 000 € de salaire de technicien. C’est beaucoup moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis en 2020. https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-fin-octobre/Néanmoins,  le scénario a été co-écrit avec Laurent Turner, Laure Hennequart et ils se sont partagés 359 000 €.

Le film a rassemblé 445 000 entrées.

Le film suivant d’Eric Lavaine est la comédie »Chamboultout », sorti en salle le 3 avril 2019. Il était produit par Vincent Roger (Same Player) pour un budget de 9,3 millions € et distribué par Gaumont.

Pour la préparation, 40 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 250 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Le scénario a été co-écrit avec Bruno Lavaine et Barbara Halary-Lafond et ils se sont partagés 150 000 €. Les rémunérations supplémentaires de la  création sont en outre de 440 000 €.

Le film a rassemblé 715 000 spectateurs.

Le prochain film d’Eric Lavaine, « Un tour chez ma fille », n’est pas encore sorti.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement,  destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.