LA RÉMUNÉRATION DE QUENTIN DUPIEUX
POUR LA RÉALISATION DE «INCROYABLE MAI VRAI !»
C’est son 10ème film en tant que réalisateur. Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération de Quentin Dupieux est de 150 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. https://fr.wikipedia.org/wiki/Quentin_Dupieux
Il a en outre bénéficié de 250 000 € pour le scénario. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
C’était plus que la moyenne des rémunération de réalisateurs et de scénario en 2021 et 2022. https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article. https://fr.wikipedia.org/wiki/Incroyable_mais_vrai_(film)
Le film est produit par Thomas et Mathieu Verhaeghe (Atelier de production) pour un budget prévisionnel de 4,6 millions €. Il a bénéficié de 700 000 € d’avance sur recettes. 5 soficas y ont investi. Ila bénéficié du soutien de la Région Ile de France.
OCS a préacheté deux passages. Diaphana a donné un minimum garanti pour le mandat salle et un autre pour le mandat salle et vidéo.
Son précédent film était « Mandibules », sorti en salle le 19 mai 2021. Pour la préparation, 33 jours de tournage et la post-production la rémunération de Quentin Dupieux était de 255 000 €, dont 90 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 165 000 € de salaire de technicien. Il avait en outre reçu 230 000 € pour son scénario.
Le film était produit par Hugo Selignac (CHI-FOU-MI Productions) pour un budget de 4,5 millions €. Il était coproduit par Memento Film et C8.
Il avait bénéficié de l’aide du CNC pour les Créations visuelles et sonores. Trois soficas y avaient investi. OCS et C8 avaient préacheté un passage.
Memento film avait donné un minimum garanti pour les mandats, salle, vidéo et vod.
Sorti dans 382 salles le film avait rassemblé 236 000 spectateurs.
www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie budget, le plan de financement et la répartition des recettes prévisionnels de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il s’agit des chiffres de l’agrément d’investissement sur la base duquel le producteur a monté son financement. Il dispose de nombreuses archives et d’un puissant moteur de recherche. Il dispose d’archives des films sortis depuis 2010 et d’un puissant moteur de recherche, avec de multiples critères.