Cinescoop

LA RÉMUNÉRATION DE PIERRE GODEAU

POUR LA RÉALISATION DE « RAOUL TABURIN A UN SECRET »

Le troisième long métrage de Pierre Godeau a été diffusé par Canal+ mardi 13 avril 2021. https://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Godeau_(réalisateur)

C’est une comédie tirée des bandes dessinées de Sempé. https://fr.wikipedia.org/wiki/Raoul_Taburin_(film)

Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.

Ce film, sorti en salle le 17 avril 2019 est produit par Philippe Godeau (Pan-Européenne) et distribué par Pathé Films. Son budget est de 7,3 millions €.

Pour la préparation, 41 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 200 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est légèrement plus que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis en 2020.

https://siritz.com/financine/le-barometre-des-realisateurs-fin-octobre/

Le scénario a été co-écrit avec Guillaume Laurent et ils se sont partagés 241 000 €. Les droits d’adaptations ont été achetés 48 000 €.

Le film a rassemblé 195 000 spectateurs.

Le précédent long métrage réalisé par Pierre Godeau est le film dramatique « Éperdument », sorti en salle en 2016.  C’est une adaptation du livre biographique de Florent Gonçalves, « Défense d’aimer ». Il a été produit par Jean-Baptiste Dupont (LGM) et Pan-Européenne pour un budget initial de 6,5 millions €. Le distributeur était Studio Canal.

Pour la préparation, 42 jours de tournage et la post-production, la rémunération du réalisateur a été de 110 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. Pour l’écriture de l’adaptation il a reçu un à valoir de 62 000 €. Les droits d’adaptation du livre ont été acquis pour 150 000 €.

Le film a rassemblé 194 000 entrées.

*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma.  Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.