LA RÉMUNÉRATION DE JÉRÔME BONNEL
POUR LA RÉALISATION DE « CHÈRE LÉA »
Cette romance qui est aussi une comédie est son septième film.
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article. https://fr.wikipedia.org/wiki/Jérôme_Bonnell
Il est produit et distribué par Miche Saint-Jean (Diaphana) pour un budget prévisionnel de 2 millions €.
Pour la préparation, 30 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 60 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
C’est beaucoup moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français sortis depuis le début de l’année. C’est 2% du budget du film, ce qui est également moins que pour la médiane de ces films. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs/
Il a en outre touché 50 000 € pour le scénario qu’il a co-écrit avec François Decodts qui a reçu 10 000 €.
Il y a trois coproducteurs : une sofica adossée et deux autres soficas.
Le film est préacheté par Canal+ et Mutithématiques. Diaphana a donné deux minima garantis séparés pour les mandats salle et vidéo. Le premier jour de sa sortie le film a rassemblé 4 500 entrées sur 128 copies.
Son précédent film était « On y va à trois », sorti le 25 mars 2015.
Il était produit par Rectangle productions pour un budget de 4 millions € et distribué par Wild Bunch.
Pour la préparation, 37 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur était de 80 000 €, dont 30 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 50 000 € de salaire de technicien.
Il avait en outre reçu 79 000 € pour le scénario.
Le film avait rassemblé 112 000 spectateurs.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.