LA REMUNERATION DE DANIEL COHEN
POUR LA RÉALISATION DE « LE BONHEUR DES UNS »
Ce mercredi 9 septembre sort «Le bonheur des uns », réalisé par Daniel Cohen et distribué par SND. C’est une adaptation de la pièce de théâtre « L’île flottante », écrite par Daniel Cohen. Celui-ci mène en outre une carrière de comédien et de scénariste
https://fr.wikipedia.org/wiki/Daniel_Cohen_(cinéaste)
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Produit par Cinéfrance studios (Julien Denis), le budget du film est de 6,5 millions €.
https://fr.wikipedia.org/wiki/Le_Bonheur_des_uns…
Pour 30 jours de tournage la rémunération de Daniel Cohen a été de 100 000 €, répartie à part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien. C’est sensiblement moins que la rémunération moyenne des réalisateurs de films français sortis depuis le début de l’année. https://siritz.com/financine/barometre-des-realisateurs-de-films/
Mais les droits d’adaptation de sa pièce ont été achetés 60 000 €. En outre, pour la scénario qu’il a écrit avec Olivier Dazat, ils se sont partagés une rémunération de 200 000 €.
Le précédent film réalisé par Olivier Cohen, « Comme un chef », était sorti en 2012. Il était interprété par Jean Reno et Mickael Youn.
D’un budget de 10 millions €, il était produit et distribué par Gaumont. Pour la préparation, 35 jours de tournage et la post-production, la rémunération de Daniel Cohen avait été de 277 000 €, dont 207 000 € d’à valoir sur droits d’auteur et 70 000 € de salaire de technicien. Il avait en outre reçu 270 000 € inscrits dans la ligne sujet. Le scénario avait, lui aussi été coécrit avec Olivier Dazat qui avait reçu 50 000 €.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives