LA RÉMUNÉRATION DE PHILIPPE GUILLARD
POUR LA RÉALISATION DE « J’ADORE CE QUE VOUS FAITES «
C’est le 4ème long métrage de celui qui est un ancien rugbyman. https://fr.wikipedia.org/wiki/Philippe_Guillard
Cinéfinances.info* a fourni les données financières de cet article.
Le film est produit par Vincent Roget (Same player) et Gaumont pour un budget prévisionnel de 6,2 millions €.
https://fr.wikipedia.org/wiki/J%27adore_ce_que_vous_faites
Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 80 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
C’est moins que la rémunération médiane des réalisateurs de films français de fiction sortis en 2021 et 2022. Il a en outre reçu 240 000 € pour le scénario ce qui est sensiblement plus que le budget moyen des scénarii de ces films.
https://siritz.com/financine/les-barometres-avril-2022/
Le film est coproduit par Florian Genetet-Morel (Montauk films), France 2 et C8. 2 soficas y ont investi.
Il a obtenu le soutien de la région Occitanie.
Le film a été préacheté par Canal+, Multithématiques, France 2 et C8.
Gaumont a tous les mandats de distribution sans avoir donné de minimum garanti.
Le précédent film de Philippe Guillard est « Papi sitter » sorti le 4 mars 2020.
Il était déjà produit par Vincent Roget (Same player) et Gaumont pour un budget prévisionnel de 5,7 millions €.
Pour la préparation, 32 jours de tournage et la post-production la rémunération du réalisateur est de 120 000 €, répartie en part égale entre à valoir sur droits d’auteur et salaire de technicien.
France 2 était coproducteur. Le film avait bénéficié du soutien de la région Nouvelle Aquitaine.
Canal+, Multithématiques et France 2 l’ont préacheté.
Gaumont a donné un minimum garanti pour tous les mandats. Sorti dans 445 salles le film avait rassemblé 250 000 entrées.
*www.Cinefinances.info est un site, accessible par abonnement, destiné aux professionnels du cinéma. Il publie le budget, le plan de financement et la répartition des recettes de tous les films français qui sortent (hors les films « sauvages » qui ne déposent pas leurs contrats au registre public et ne demandent donc pas l’agrément qui leur permettrait d’accéder à l’aide du CNC). Il dispose d’un puissant moteur de recherche multicritères et de 10 ans d’archives.